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08 Juin

La 17-ème édition du festival du Film Européen de la nature : 41 films de dix pays européens au concours officiel

Varsovie – La 17-ème édition du festival du Film Européen de la nature a débuté, mercredi soir à Lodz (centre de la Pologne), avec la participation au concours officiel de 41 films de dix pays européens.

Le programme de cet événement environnemental et culturel comprend, outre le Grand prix du Festival, des ateliers sur le thème de l’environnement et le cinéma, des expositions et des séminaires axés sur le thème de l’environnement et le milieu écologique, le rôle de l’éducation et du cinéma dans la sensibilisation à l’importance de l’environnement et au comportement positif humain vis-à-vis de l’environnement.

Selon les organisateurs, ce festival, qui prend fin dimanche prochain, tend à faire connaitre l’importance de l’exposition et la documentation des films sur l’environnement pour gagner les défis que doit relever ce domaine vital, impliquer les enfants et les jeunes dans la défense des questions environnementales à travers les moyens de communication, l’audiovisuelle et l’acte cinématographique sérieux et la mise à profit des influences cinématographiques en vue de vulgariser les questions environnementales et l’importance de la cohabitation humaine avec la nature.

La moitié des films participant à ce festival, organisé cette année sous le thème « les forêts dans la scène culturelle européenne », est produite par les jeunes, étudiants et élèves polonais aux côtés de contributions des Pays-Bas, de Hongrie, de Suède, d’Ecosse, d’Allemagne, de France, d’Autriche, de Monténégro et de Slovaquie.

Voici, par ailleurs, le bulletin de l’écologie de l’Europe Orientale:

Turquie:

La Société financière internationale (SFI), membre du Groupe de la Banque mondiale, et la Banque néerlandaise de développement entrepreneurial (FMO) vont fournir un prêt à long terme à Finans Leasing, une société turque de crédit et filiale de QNB Finansbank

Le financement permettra à Finans Leasing de stimuler les prêts aux petites et moyennes entreprises (PME) en Turquie en les aidant à investir dans des projets écologiques, à réduire les coûts de production et à protéger l’environnement, selon un communiqué de ces institutions.

La SFI étend à Finans Leasing un prêt de cinq ans en livres turques (TL) équivalant à 50 millions de dollars et le FMO fournira un prêt supplémentaire également en TL de 35 millions de dollars.

Ce financement appuiera le programme d’énergie durable de Finans Leasing, qui fournit aux entreprises des équipements et des machines éco énergétiques, soutient la mise à niveau de la ligne de production et favorise les énergies renouvelables tout en préservant les ressources naturelles du pays.

Finans Leasing prévoit aussi d’augmenter ses prêts d’efficience énergétique de 35 pc au cours des trois prochaines années.

Autriche:

Le produit des taxes liées à l’environnement représente un pourcentage du PIB et des recettes fiscales supérieurs à la moyenne des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), note un rapport de cette organisation qui observe cependant que la taxe sur les produits énergétiques ne reflète pas toujours les externalités environnementales associées à leur utilisation.

Dans cet examen environnemental consacré à l’Autriche, les experts de l’OCDE relèvent aussi que les taux appliqués à l’essence et au gazole sont inférieurs à la moyenne européenne, ce qui favorise le « tourisme à la pompe », ajoutant que « bien que l’Autriche ait supprimé certains allégements fiscaux bénéficiant aux utilisateurs des produits énergétiques, il n’en reste pas moins que d’autres formes de subventions ont été maintenues, lesquelles pourraient avoir un impact négatif sur l’environnement et apparaissent socialement régressives ».

Les subventions qui encouragent la possession et l’usage d’une voiture et la périurbanisation en sont un exemple, soutient-on de même source, estimant que l’Autriche gagnerait à engager une vaste « réforme fiscale socio-écologique » qui lui permettrait d’adresser un signal-prix du carbone cohérent à l’échelle de toute l’économie, de réformer les subventions qui ont un effet pervers sur l’environnement, de réduire les taxes relativement élevées sur la main-d’œuvre et de promouvoir la croissance et l’emploi.

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