ActualitésAlgérie: Pas moins de 1.953 palmiers brulés durant le 1er semestre de 2018

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16 Août

Algérie: Pas moins de 1.953 palmiers brulés durant le 1er semestre de 2018

Alger- Pas moins de 1.953 palmiers ont été détruits par le feu durant le premier semestre de 2018 à travers les palmeraies de la wilaya de Ouargla, ont indiqué les services de la Protection civile.

Ces dégâts ont été enregistrés suite aux 239 incendies déclarés à travers les palmeraies et jardins, souvent mal entretenus, dans différentes communes de la wilaya, et dus à la hausse des températures, à la négligence des agriculteurs, mais aussi à l’action humaine délibérée, a précisé la cellule de communication de la Protection civile de Ouargla.

Les palmeraies de la wilaya subissent chaque année des pertes considérables du fait des incendies. Elles ont subi l’an dernier 510 incendies ayant ravagé 4174 palmiers, selon la même source qui ajoute que la plupart de ces incendies ont été signalés dans les communes de Ouargla (160), Sidi Khouiled (105) et Touggourt (90).

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Tunis, – La Tunisie s’est engagée depuis 2015 à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 41% en 2030, dont 28% des financements doivent être mobilisés auprès des bailleurs de fonds internationaux, particulièrement le Fonds vert pour le climat (GCF).

La Tunisie avait entamé la création d’une instance nationale accréditée auprès du GCF qui finance des projets visant à limiter l’impact des changements climatiques dans les pays en voie de développement.

L’instance, dont le noyau est basé au ministère des affaires locales et de l’environnement, a organisé récemment des consultations sur le financement des projets d’adaptation aux changements climatiques dans plusieurs régions, dont Sfax, Djerba, Jendouba et Bizerte.

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Nouakchott -. « Evaluation des moyens d’action nationaux, définition des priorités et fixation des objectifs pour la gestion des nouveaux pops » est le thème d’un atelier, organisé récemment dans la capitale mauritanienne, par le ministère de l’Environnement et du développement durable, en collaboration avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI).

La rencontre avait pour objectif l’examen des informations recueillies grâce à diverses études dans le but d’identifier les priorités d’action et des objectifs à court et à long termes pour la gestion des polluants organiques persistants, conformément aux dispositions de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants, ratifiée par la Mauritanie en 2004, et visant à protéger l’environnement mondial contre les produits chimiques à haut risque.

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