ActualitésArgentine: Elaboration d’une stratégie d’investissement pour lutter contre les incendies.

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les incendies de forêts en AUstralie coûte des millions de dollars australiens
22 Fév

Argentine: Elaboration d’une stratégie d’investissement pour lutter contre les incendies.

Buenos Aires -En Argentine, Le secrétariat chargé des forêts dans la province de Chubut (sud) et l’institution de développement et des services agricoles des provinces continuent à élaborer une stratégie d’investissement portant sur l’achat de l’équipement, la formation des ressources humaines et la construction de l’infrastructure nécessaire pour lutter contre les incendies.

Selon les médias locaux, le gouvernement de la province, Mario das Nieves a annoncé l’octroi d’un crédit de trois millions de dollars par la Banque inter-américaine pour le développement (BID) pour améliorer les ressources des organes chargés de lutter contre les incendies forestiers dans l’ensemble de la province.

Voici, par ailleurs, le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud pour la journée du mercredi 22 février:.

Selon une étude de l’organisation environnementale Greenpeace, près de 7,6 millions de forêts primaires ont été détruites au cours des 25 dernières années, soit l’équivalent de la superficie de la province d’Entre Rios.

Depuis la promulgation de la loi des forêts en 2007, il y a eu une amélioration, mais 2,1 millions de ha de forêts primaires ont été détruites entre 2007 et 2014.

Par ailleurs, poursuit l’étude, 30 pc de la superficie des réserves naturelles a été détruite en raison des incendies.

– Brésil:

Une plateforme brésilienne sur la biodiversité et de services aux écosystèmes a été lancée, mardi au siège de la Fondation de Sao Paulo pour la recherche, en vue de contribuer à la collecte des connaissances scientifiques et à l’élaboration de politiques publiques dans le domaine de l’environnement, rapporte la presse brésilienne.

La plate-forme regroupe 30 chercheurs de différentes institutions de toutes les régions du pays, spécialisés en conservation de l’écologie, économie verte et en développement durable.

« La plate-forme a pour rôle de collecter et synthétiser les informations et connaissances disponibles dans le domaine de l’environnement pour les mettre à disposition des décideurs aux fins de mettre en place des politiques environnementales plus rapides et plus efficaces », a relevé Carlos Joly, professeur à l’Université d’Etat de Campinas (Unicamp) et coordonnateur de cette nouvelle plateforme.

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Des scientifiques de l’Institut Mamiraua ont lancé une nouvelle étude sur l’impact du changement climatique sur la forêt alluviale de l’Amazonie grâce à l’analyse des anneaux de trois espèces d’arbres.

Selon le chercheur Claudio Anholetto de l’Institut Mamiraua, cette étude se concentre sur l’observation des anneaux de croissance des arbres qui apportent de précieuses informations sur les conditions climatiques ayant marqué une période de croissance donnée.

En analysant les anneaux de croissance des arbres, les analyses peuvent interpréter à travers un logiciel spécifique une partie de l’histoire de l’arbre et collecter des données sur les phénomènes météorologiques ayant marqué une durée spécifique.

Les trois espèces choisies pour l’étude sont le Hevea spruceana, le Pterocarpus et le Macrolobium acaciifolium endémiques en Amazonie.

Créé en 1999, l’Institut Mamiraua est une organisation relevant du ministère de la Science, Technologie et de l’Innovation (MCTI) qui vise à promouvoir la recherche scientifique sur la biodiversité ainsi que la gestion et la conservation des ressources naturelles de la forêt amazonienne dans le cadre d’une approche participative et durable ».

– Chili :

Le Chili consomme près de 3.400 millions de tonnes de sacs en plastique, dont 97 pc ne sont utilisés qu’une seule fois avant d’être jetés, rapportent les médias locaux.

Les autorités de 46 municipalités ont pris une série de mesures en vue de réduire l’utilisation de ces sacs en plastique.

Les sacs en plastique, dont la durée d’utilisation ne dépasse pas les 15 à 30 minutes, mettent jusqu’à 400 ans pour être dégradés dans la nature.

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