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25 Déc

Argentine : Des pêcheurs ont tué un jaguar dans la région du Chaco

Buenos Aires  – Des pêcheurs ont tué un jaguar dans la région du Chaco, qui ne contient que 20 animaux de cette espèce menacée d’extinction, selon les médias locaux.

L’incident s’est produit il y a quelques mois mois il n’a pas été annoncé par la Direction des animaux du Chaco ou par le Département des parcs nationaux et le Département de la faune, qui est responsable de la protection de cette espèce.

Selon Jaguar Network, une organisation à but non lucratif, il n’y a pas d’informations concernant l’ouverture ou pas d’une enquête judiciaire sur l’incident.

En Argentine, il n’y a que 250 jaguars qui vivent dans différentes parties du pays.

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Brésil:

La direction de la centrale hydroélectrique d’Itaipu, un barrage transfrontalier géré conjointement par le Brésil et le Paraguay, soumettra, au cours de la première moitié de 2018, une proposition au Conseil international de coordination du Programme sur l’Homme et la biosphère de l’UNESCO pour étendre le statut de réserve de la biosphère d’Itaipu à la partie brésilienne.

En juin dernier, les zones naturelles préservées par la centrale du côté paraguayen ont été incluses dans le réseau mondial des réserves de la biosphère de l’UNESCO.

Le réseau mondial des réserves de biosphère de l’UNESCO est composé de 669 réserves de biosphère réparties dans 120 pays, dont 20 sites transfrontaliers.

Le réseau vise à assurer la durabilité environnementale, économique et sociale, et à développer un réseau mondial de sites qui servent de zones de démonstration et d’apprentissage en vue de maintenir la diversité culturelle et écologique.

Les zones naturelles préservées du côté paraguayen couvrent une superficie de plus d’un million d’hectares et comprennent une zone de forêt subtropicale encore appelée forêt atlantique du Haut Paraná.

Il s’agit de l’un des écosystèmes les plus importants pour la conservation de la diversité biologique à l’échelle mondiale en raison de son nombre élevé d’espèces endémiques, de la richesse des espèces et de son couvert d’origine.

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Chili :

Le Bureau national chilien des urgences (Onemi) a annoncé que les prévisions météorologiques font part d’une importante hausse des températures dans les régions métropolitaine et O’Higgins, entre samedi 23 et lundi 25 décembre, mettant en garde contre un risque accru d’apparition et de propagation d’incendies de forêt.

La Corporation nationale des forêts (CONAF) a également annoncé un renforcement de la surveillance par le suivi précis et rigoureux des conditions de risques et des vulnérabilités outre la coordination et l’activation du système de protection civile pour agir en temps opportun en cas de situation d’urgence, a expliqué l’Onemi.

Selon la Direction météorologique chilienne, les températures maximales dans les deux régions atteindront entre samedi et lundi les 30ºC et 32ºC.

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Pérou:

Le président de l’Association péruvienne des énergies renouvelables, Juan Coronado, a récemment annoncé que les entreprises d’énergie renouvelable sont prêtes à investir 2 milliards de dollars au Pérou au cours des 18 prochains mois.

M. Coronado a ajouté que le pays sud-américain a un grand potentiel pour produire des énergies renouvelables telles que l’énergie éolienne et solaire, notant que ce type d’énergie est actuellement le plus économique.

Selon le président de l’Association, plus d’un milliard de dollars ont été investis jusqu’à présent pour la réalisation de projets d’énergie renouvelable dans le pays sud-américain.

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Colombie :

L’action en matière de préservation des zones protégées, menée en 2017 par le gouvernement du président Juan Manuel Santos, a été qualifiée de « positive » par plusieurs experts environnementalistes, selon le site colombien « El Tiempo.com ».

Le président Santos s’est distingué notamment dans le domaine de création et d’élargissement des zones protégées, estiment-ils dans des déclarations au site.

En tenant ses engagements dans ce domaine, M. Santos passera à l’histoire comme « l’un des champions en matière de création de parcs naturels nationaux », ajoutent les quatre experts, qui critiquent toutefois le bilan « négatif » du chef de l’Etat concernant la protection des écosystèmes.

Entre 2016 et 2017, 1.400.000 hectares d’écosystèmes naturels ont subi des dégradations, ont-ils déploré, mettant en garde que si cette tendance se poursuit, dans 18 ans, la moitié des écosystèmes du pays sera « ruinée ».

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