Argentine : le ravitaillement en combustible de la centrale nucléaire « Embalse » est achevé

Buenos Aires – L’autorité énergétique argentine gouvernementale “Energia Argentina” a annoncé, mardi, que le processus de ravitaillement en combustible de la centrale nucléaire « Embalse » est achevé.

Les experts de la centrale ont travaillé pendant 20 jours sur le ravitaillement du réacteur en combustible, précise la même source, en relevant que ce processus comprenait 380 canaux du réacteur.

Près de 3 millions d’Argentins bénéficieront de la mise en service de ce réacteur dans la prochaine étape, souligne Energia Argentina.

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Brésil :

La peau du fruit du jaboticaba, un arbre fruitier de la région du Minas Gerais, dans le sud-est du Brésil, prévient le diabète et améliore la fonction hépatique, selon une étude publiée récemment dans le « Journal of Functional Foods ».

Selon cette recherche effectuée par l’Institut de biologie de l’Université de Campinas (Unicamp) sur des souris âgées, l’extrait de la peau de ce fruit qui a pour particularité de pousser directement sur le tronc, a favorisé la réduction de la graisse et de la taille du foie, ainsi que la prévention du pré-diabète.

« Nous avons observé que l’ingestion d’extrait de peau de jaboticaba par des souris âgées soumises à un régime riche en graisses entraînait une diminution de la prise de poids, une augmentation des graisses dans le sang et un excès de glucose dans le sang, ainsi qu’une amélioration du cholestérol HDL (bon cholestérol) », précise cette étude menée sur une durée de quatre ans.

L’extrait d’écorce du jaboticaba a été mis au point dans le cadre d’un partenariat entre des chercheurs de l’Institut de Biologie de Campinas et de la faculté d’ingénierie alimentaire relevant de la même université.

En pharmacopée traditionnelle brésilienne, la décoction de peaux séchées de fruits de jaboticaba est utilisée pour lutter contre l’asthme, la diarrhée, les angines et d’autres maux.

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Chili :

Le gouvernement du Chili a officialisé, mardi, la création du Parc national de Patagonie, portant désormais à 40 le nombre de parcs répertoriés au sein du Système national de zones naturelles protégées (SNASPE).

Le nouveau parc naturel protégé est d’une superficie de 304.500 hectares et se trouve dans la région sud d’Aysén, à environ 1.400 kilomètres au sud de la capitale Santiago, a indiqué la Corporation nationale forestière (Conaf) dans un communiqué.

Le Parc national de Patagonie est situé dans la zone de transition entre « la steppe aride de la Patagonie argentine et les forêts tempérées du « coigüe » (arbre indigène) de la Patagonie chilienne », a relevé la même source.

Avec la création du Parc national de Patagonie, le système de zones protégées comptera 102 unités, dont 40 parcs, 46 réserves et 16 monuments nationaux, d’une superficie globale de 15 millions d’hectares, soit 20% du territoire continental du Chili.

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Colombie :

Plusieurs activistes environnementaux ont organisé un sit-in devant le ministère de l’Environnement à Bogotá pour réclamer l’interdiction du plastique à usage unique.

« Le pays fait face à un tsunami de plastique et il est inconcevable que le ministre (de l’Environnement) Ricardo Lozano ne prenne pas des mesures fermes pour le freiner », a déclaré Silvia Gomez, directrice de Greenpeace Colombia, ONG organisatrice de ce sit-in.

Après avoir indiqué que « les citoyens ont commencé à prendre conscience quant à la gravité de l’usage du plastique et que des entreprises se sont engagées à éliminer le plastique à usage unique », Mme Gomez a estimé qu’ »il n’y aura aucun changement concret et véritable sans l’implication résolue de la haute autorité environnementale » en allusion au ministère de tutelle.

Selon des données de l’ONG, chaque colombien produit 24 kg de déchets plastiques par an.

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Pérou :

La ministre de l’Environnement, Fabiola Muñoz, a déclaré que le Pérou a décidé d’agir rapidement pour atteindre les objectifs d’atténuation et d’adaptation aux effets du changement climatique.

« Il est temps d’accroître notre ambition en matière de lutte contre le changement climatique car il n’y a pas de Plan B », a-t-elle déclaré lors de sa participation à la Conférence des Nations Unies sur le climat (COP 24) à Katowice, au sud de la Pologne.

« Nous subissons aujourd’hui les effets de la sécheresse et des phénomènes météorologiques extrêmes. Nos populations autochtones, en particulier les femmes vivant dans les zones rurales, sont en danger », a-t-elle ajouté.

La ministre a également réitéré l’engagement du Pérou en matière de changement climatique, notant que le gouvernement péruvien avait défini 62 mesures pour atténuer les effets du changement climatique, ainsi qu’une feuille de route pour mettre en œuvre ces mesures.