Actualités« Black cabs », nouvelle usine pour produire des véhicules hybrides rechargeables

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27 Mar

« Black cabs », nouvelle usine pour produire des véhicules hybrides rechargeables

Bruxelles – Le constructeur des célèbres taxis londoniens « black cabs » s’apprête à ouvrir une nouvelle usine pour produire des véhicules hybrides rechargeables afin de renouveler le parc britannique et de se développer à l’international.

.- Londres – Le constructeur des célèbres taxis londoniens « black cabs » s’apprête à ouvrir une nouvelle usine pour produire des véhicules hybrides rechargeables afin de renouveler le parc britannique et de se développer à l’international.

La London Taxi Company (LTC) a investi 350 millions d’euros sur son site de Coventry (centre de l’Angleterre) pour construire cette usine, la première au Royaume-Uni entièrement dédiée à ce type de véhicule.

La technologie hybride rechargeable permet de réduire le coût d’utilisation de ces véhicules et de rouler à « zéro émission » sur une certaine distance. Pour les distances plus longues, un moteur à essence installé sous le capot prend le relais pour éviter tout problème de capacité.

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. – Le gouvernement britannique s’est engagé à fermer, d’ici 2025, toutes ses centrales électriques fonctionnant au charbon, mais il veut remplacer le charbon par le gaz et le nucléaire, plutôt que par des alternatives propres.

Certains dirigeants britanniques se prononcent en faveur d’une énergie sécurisée à un prix abordable, en encourageant la compétition.

En supprimant les aides gouvernementales au solaire et à l’éolien, Londres dit vouloir stimuler la concurrence afin de contraindre les technologies propres à baisser leur coût pour les rendre viables à l’échelle nationale.

La Grande-Bretagne, qui ne peut plus dépendre des centrales électriques au charbon de 50 ans, soutient des solutions sûres, économiques et écologiques.

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.- Greenpeace demande au groupe français Total « l’abandon pur et simple de ses projets d’exploration à proximité du récif de l’Amazone ».

L’ONG écologiste dénonce une « course toujours plus effrénée aux nouveaux gisements », qui a conduit le pétrolier français à trouver « son nouvel eldorado au Brésil où il a noué un partenariat stratégique de 2,2 milliards de dollars avec Petrobras, la compagnie pétrolière brésilienne ».

Total « compte démarrer cette année l’exploration avec le forage du premier puits », au large de l’embouchure de l’Amazone. Or, dans cette région, se trouve le récif de l’Amazone, « un réseau corallien unique qui pourrait être un nouveau biome, avec sa propre biodiversité, microclimat et géographie », souligne l’ONG anglaise.

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.- Quelque 2.500 bénévoles ont nettoyé dimanche les plages de la mer du Nord en Belgique de 5,3 tonnes de déchets, dans le cadre de la 8è édition de l’’’Eneco Clean Beach Cup’’. C’est moins que l’année dernière, où pas moins de 7,1 tonnes de détritus avaient été ramassés.

‘’Un million d’oiseaux de mer et 100.000 tortues meurent chaque année à cause des déchets plastiques qui atterrissent dans les océans’’, déplore l’organisateur de l’’’Eneco Clean Beach Cup’’, Sven Fransen.

Selon lui, des mesures sont actuellement sur la table afin d’inverser la tendance mais elles sont insuffisantes. ‘’C’est pourquoi nous continuons à tirer la sonnette d’alarme. En nettoyant les plages, nous pouvons donner plus de visibilité à l’ampleur du phénomène. », a-t-il poursuivi.

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.- L’Assemblée générale de ‘’Touche pas à mes certificats verts’’, association qui regroupe plus de 18.000 petits producteurs d’énergie verte, s’est tenue dimanche après-midi à Marche-en-Famenne (sud). Ses membres ont été informés d’une action civile en cours de préparation à l’encontre de la Région wallonne.

Ces certificats sont délivrés à un producteur d’énergie, comme preuve que l’électricité qu’il produit utilise une installation certifiée comme ‘’verte’’ et une source d’énergie renouvelable.

La réduction de la durée d’octroi des certificats verts de 15 à 10 ans fait l’objet d’un double recours en annulation devant le Conseil d’État. »On attend l’arrêt. Mais quoi qu’il arrive devant le Conseil d’État, on souhaite assigner la Région wallonne pour sa gestion globale du photovoltaïque. Depuis le départ, jusqu’aux points de rupture qui sont intervenus avec les arrêtés de 2014 et 2015’’, explique M. Aurélie Kettels, avocate au sein du cabinet Misson qui représente les intérêts de l’association.

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.- Madrid – Des scientifiques et des naturalistes viennent de mettre en garde contre le danger que court la population du loup ibérique dans la région de Castille la Manche (centre de l’Espagne), appelant à adopter des mesures urgentes pour la sauvegarde de cette espèce.

Cet appel a été lancé lors d’une rencontre organisée dimanche à Guadalajara sur la protection du loup ibérique, à l’initiative de l’Ong Ecologistes en action.

Le loup ibérique, anciennement appelé loup d’Espagne, est une sous-espèce du loup gris endémique de la péninsule ibérique, autrefois très abondante. Sa population actuelle au niveau de la péninsule avoisine les 2.500 individus, dont environ 300 dans le nord du Portugal.

Bien qu’étant une espèce protégée dans l’Europe entière, le loup est craint par les gens dans la Péninsule ibérique depuis longtemps. La prétendue férocité du loup et la prédation d’animaux d’élevage a abouti à la chasse systématique et illégale de ces canidés aujourd’hui en voie d’extinction.

L’animal souffre aussi de la destruction de son habitat, à travers notamment la construction de grandes infrastructures, comme les autoroutes qui fragmentent ses habitats.

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.- L’Espagne doit investir 5 milliards d’euros dans des projets de traitement des eaux usées si elle veut éviter des sanctions de l’Union européenne, selon un rapport du Forum d’ingénierie de l’excellence (Fidex).

L’association relève que quelque 200 projets devront être réalisés dans des localités de la grande majorité des régions autonomes du pays où la Directive de l’Union européenne relative au traitement des eaux urbaines résiduaires n’est pas respectée.

L’Andalousie, Madrid, Castille la Manche, Castille et Léon et Estrémadure sont les régions les plus concernées.

.- Lisbonne  – En vertu d’un protocole signé entre la municipalité de Cadaval et la Coopérative agricole des fruits de Cadaval (COOPVAL), il a été récemment procédé à la production du premier lot de « vermicomposto », un fertilisant naturel, que le conseil municipal va utiliser dans l’entretien des espaces verts, donnant ainsi un usage utile aux déchets résultant de l’étalonnage des fruits.

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.- Au Portugal, pas moins de 140 municipalités ont adhéré à l’initiative « Earth Hour » organisée samedi dans le monde entier avec pour objectif de faire face aux changements climatiques. Il s’agit d’un nombre record de participants dans le pays cette année, a commenté Diario de Noticias.

.- Genève – L’organe de Contrôle fédéral des finances (CDF), une structure relevant du gouvernement suisse, a critiqué le système d’échange de quotas qui n’incite pas les entreprises à baisser leurs émissions de CO2.

« La réglementation en vigueur présente une série de lacunes qui remettent l’efficacité du système en question », souligne un rapport du CDF qui a analysé le fonctionnement actuel du système suisse d’échange de quotas d’émissions.

La taxe sur le CO2, prélevée depuis 2008 sur les combustibles fossiles, est l’instrument principal visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Les entreprises générant beaucoup d’émissions polluantes peuvent en être exemptées. En contrepartie, elles doivent participer au système d’échange de quotas ou s’engager à diminuer leurs émissions en se fixant un objectif.

Plus de la moitié des émissions provenant de combustibles est soumise à la taxe, un tiers est régulé dans le cadre de ce système et 16 pc proviennent d’entreprises s’étant fixés un objectif de réduction.

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.- Une expédition scientifique suisse, qui a réuni 150 chercheurs de 18 pays autour du pôle Sud, s’est achevée cette semaine au Cap, en Afrique du Sud.

Partie le 20 décembre dernier, cette expérience initiée par le Swiss Plar institute (SPI) a permis de récolter en trois mois une masse de données dans le cadre des 22 projets scientifiques, ont indiqué les responsables du projet lors d’un point de presse.

Les domaines de recherche touchés vont de l’océanographie à la climatologie en passant par la biologie. L’objectif est de parvenir à une meilleure compréhension de l’Océan austral et de l’Antarctique dans le contexte du réchauffement climatique, ont-ils expliqué.

« Cette expédition constitue une première à plusieurs égards », a souligné David Walton, responsable scientifique, notant que « personne n’avait jusque-là récolté des données sur un tour et une saison entière ni mené simultanément des travaux scientifiques terrestres, marins et atmosphériques offrant une image complète » de cette région.

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.- Paris – L’Union nationale de l’apiculture française (UNAF) a contesté une étude du ministère de l’Agriculture qui concluait que les pesticides ne jouent qu’un rôle minime dans la mortalité des abeilles, très élevée depuis des années.

L’UNAF relève des « dysfonctionnements graves » au niveau de la collecte des données. Dans un communiqué, le président de l’UNAF, Gilles Lanio, a indiqué qu’ »au regard de ces éléments, le dispositif de surveillance des mortalités massives aigües d’abeilles mis en œuvre au niveau national est défaillant et non-fiable ».

« En cas de mortalités massives aigües, et afin de recommander à ses adhérents de s’engager dans des déclarations en cas de troubles, l’UNAF demande que le processus de collecte des données, leur qualité et leur exploitation soient évalués au plan national par un comité d’experts indépendants rassemblant les parties prenantes, y compris les apiculteurs au travers de leurs organisations syndicales ».

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.- La Cour des comptes a estimé, dans un récent rapport, que si l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) parvient à assumer de façon globalement satisfaisante les nombreuses missions qui lui ont été progressivement déléguées par l’État, elle ne dispose pas des fonds nécessaires pour tenir les engagements pris au nom du ministère de l’Environnement.

« Une attention particulière doit être portée à l’évolution de ses moyens financiers au cours des prochaines années », a estimé la Cour en relevant notamment que les recettes propres dégagées par l’ADEME « représentent en effet à peine 1pc du total de ses ressources, celles-ci étant pour l’essentiel constituées par deux tiers environ du produit de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP), soit de l’ordre de 450 Million d’euros en 2015 ».

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