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04 Déc

La BM annonce la mobilisation de 200 milliards de dollars de financements pour aider les pays en développement face au changement climatique

Varsovie – La Banque mondiale a annoncé lundi la mobilisation d’environ 200 milliards de dollars de financements de 2021 à 2025 pour aider les pays en développement face au changement climatique, soit un « doublement » par rapport à la période précédente.

Cette annonce faite après l’ouverture de la 24e Conférence de l’ONU sur le climat en Pologne (COP24,) « envoie un signal important à la communauté internationale, pour qu’elle fasse de même », a estimé la Banque dans un communiqué.

Les pays développés se sont engagés à porter à 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020 les financements (publics et privés) des politiques climatiques des pays en développement. Mais même si les flux augmentent, selon l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), les pays du Sud réclament des engagements plus clairs du Nord.

Alors que les financements concernant le climat se concentrent en majorité sur les actions de réduction des émissions de gaz à effet de serre, notamment sur le développement des énergies renouvelables, la Banque a décidé d’insister pour son plan 2021-2025 sur le soutien à l’adaptation aux effets des dérèglements climatiques.

Augmentation du niveau des mers, inondations, sécheresses… Face aux effets dévastateurs des aléas climatiques qui les frapperont de plus en plus, les besoins des pays en développement sont énormes.

Les quelque 200 pays réunis à Katowice jusqu’au 14 décembre doivent finaliser les règles d’application de l’accord de Paris, qui vise à limiter le réchauffement à +2°C, idéalement +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle.

Par ailleurs, voici le Bulletin de l’écologie de l’Europe orientale
Russie :

Une équipe scientifique de l’Institut russe de radiologie et d’écologie de l’agriculture et de l’Institut de recherche nucléaire «Obenisk Atomic Energy», sous la houlette de l’Université nationale de Russie, estime que l’exposition à des rayons chroniques perturbe les schémas de l’environnement et la structure génétique des plantes, sans que cela nuise à leur capacité de reproduction.

Les scientifiques ont étudié les effets biologiques sur les groupes de pins dans les zones contaminées par les radiations sur 14 ans.

«Nous savons que des niveaux élevés de contamination radioactive peuvent perturber les processus environnementaux fondamentaux et avoir un impact significatif sur la croissance des plantes, la vie animale et les changements d’habitat » a déclaré le docteur en biologie, Stanislav Guiraskin.

« Cependant, malgré de nombreuses études menées dans des zones contaminées, certains des effets des radiations chroniques de groupes de plantes et d’animaux font toujours l’objet de vives discussions dans la communauté scientifique » a ajouté le scientifique.

À la suite des observations obtenues au cours de nombreuses années, les scientifiques ont conclu que la présence de groupes spécifiques dans les conditions d’exposition aux radiations à petites doses pouvait modifier la dynamique des anomalies génétiques du groupe, mais n’affectait pas en même temps les indicateurs de reproduction.

Les chercheurs de l’Institut russe ont décidé de surveiller à l’avenir l’exposition des biopsies de plantes à longue vie à de faibles doses de rayonnement, choisissant les pins pour faire l’objet de recherche régulière.

Les scientifiques ont trouvé que cet arbre est une souche de type semence sans plante, montrant la même sensibilité élevée aux rayonnements ionisant.

Quatre zones d’étude, situées dans les zones les plus irradiées de la région de Bryansk, à environ 200 kilomètres de Tchernobyl, ont été sélectionnées par l’équipe.

Au cours de l’étude, la fréquence des cellules présentant des anomalies chromosomiques dans la lignée arborescente « de jeunes plants » dans des sites contaminés par des radionucléides a largement dépassé les niveaux de contrôle.

Des analyses ultérieures ont montré un effet intéressant et il a été démontré que la fréquence des troubles génétiques cellulaires se modifiait dans des groupes spécifiques sous forme d’ondes.

 

Grèce:

La scientifique britannique, Jane Goodall, connue à l’échelle mondiale par ses initiatives et ses recherches en faveur de la protection de l’environnement, effectue une visite dans plusieurs villes grecques, dont Athènes où elle animera une série de conférences sur des questions relatives à la sauvegarde de la nature.

Ces conférences seront également consacrées à la situation des espèces menacées, en particulier les chimpanzés, le but étant d’encourager les populations à s’impliquer plus dans les efforts déployés afin que le monde soit un meilleur endroit pour les hommes, les animaux et l’environnement.

En juillet 1960, Mme Goodall s’est rendue sur les rives du lac Tanganyika, en Tanzanie dans la perspective de réaliser une étude sur les chimpanzés sauvages, et depuis lors, son plaidoyer en faveur de l’environnement a commencé à se développer, suscitant une prise de conscience énorme à tous les niveaux.

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