ActualitésLa consommation de gaz naturel au Portugal atteint un nouveau record au début du mois de décembre

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14 Déc

La consommation de gaz naturel au Portugal atteint un nouveau record au début du mois de décembre

Bruxelles – La consommation de gaz naturel au Portugal a atteint un nouveau record au début du mois de décembre en raison de la forte utilisation de cette ressource pour la production d’électricité en raison la baisse de la production hydroélectrique, a indiqué la société portugaise d’électricité REN.

Le nouveau record historique de consommation du gaz naturel qui a été enregistré le 5 décembre totalisant 263 GWh, a dépassé un précédent record qui avait été atteint le 19 janvier dernier, lorsque la consommation de gaz naturel s’est établie à 247,1 GWh, a précisé REN dans un communiqué.

« La consommation de gaz naturel cette année a atteint un niveau jamais enregistré, avec 66.490 GWh, soit 15 pc de plus que le précédent record enregistré en 2010 », a-t-on ajouté de même source.

« La forte utilisation des centrales du gaz naturel pour la production d’électricité, est due à la sécheresse qui affecte le Portugal et par conséquent à la baisse de la production des centrales hydroélectriques et aussi le fait que le système électrique portugais est fortement exportateur cette année », a expliqué le distributeur d’électricité.
– Les incitations à l’achat de véhicules électriques au Portugal, dans le cadre du Fonds de l’environnement, ont totalisé 1.914.750 euros, qui correspondent à 1.236 demandes à ce jour, selon des données du ministère de l’Environnement.

Selon le ministère, la «clôture des comptes devrait avoir lieu à la fin de la semaine prochaine» et il existe une liste d’attente avec environ 40 demandes, qui ne peuvent être admises qu’en cas d’exclusion ou de retrait.

Dans le budget de l’État pour 2018, l’incitation à l’introduction de véhicules à faibles émissions, » qui sera financé par le Fonds pour l’environnement est restée maintenue à la valeur actuelle de 2.250 euros pour l’achat de voiture électrique.

Voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Occidentale pour la journée du jeudi 14 décembre 2017:

– Les additifs chimiques à base de phosphate, nécessaires pour mieux structurer des morceaux de viande, seront autorisés dans la viande de « kebab » vendue dans l’Union européenne, après que le Parlement européen ait échoué mercredi, de justesse, à bloquer cette mesure.

Une résolution s’opposant à l’autorisation des additifs phosphatés dans la viande de kebab n’a pas en effet réussi à rassembler une majorité absolue de 376 députés.

La Commission européenne peut donc désormais confirmer l’autorisation de l’utilisation d’acide phosphorique, de diphosphates, de triphosphates et de polyphosphates (E338-452) dans la viande de kebab, qu’elle soit issue du mouton, de l’agneau, de veau, du bœuf ou de la volaille.

Selon la Commission européenne, l’utilisation de phosphates est nécessaire pour une extraction et une dégradation partielles des protéines de viande qui permettent de former un film protéique sur les broches de viande verticales, afin de lier les morceaux de viande entre eux et de garantir une congélation et une cuisson homogènes.

La résolution présentée par la commission de la santé publique et de la sécurité alimentaire a reçu 373 voix en faveur, 272 contre et 30 abstentions, manquant de peu les 376 voix nécessaires à son adoption.

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Londres – La Terre est de plus en plus inondée de lumière artificielle, ce qui affecte la santé humaine, les animaux et les plantes, selon les conclusions d’une étude scientifique parue dans le magazine Science Advance

D’après les chercheurs, qui s’inquiètent des retombées de cette pollution lumineuse grandissante, l’éclairage planétaire s’est intensifié d’environ 2 pc par an de 2012 à 2016. L’accroissement de la lumière artificielle se produit presque partout sur le globe.

Plus inquiétant, des régions peu éclairées précédemment sont désormais baignées d’une luminescence nettement plus importante, précisent les auteurs de cette étude, l’une des toutes premières à examiner depuis l’espace les effets de la transition en cours dans le monde vers l’éclairage LED, moins gourmand en énergie.

Les résultats indiquent que les économies d’électricité résultant de cette nouvelle technologie sont plus faibles qu’attendues. Vu que les lampes LED produisent la même quantité de lumière avec nettement moins d’électricité, les experts pensaient que les dépenses notamment des villes dans le monde consacrées à l’éclairage public auraient diminuées.

Mais les chercheurs ont conclu que les économies d’énergie réalisées grâce à la technologie LED ont apparemment été investies pour installer encore plus d’éclairages extérieurs au lieu d’économiser de l’énergie et de réduire la pollution lumineuse.

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Genève – La planète a produit 44,7 millions de tonnes de déchets électroniques l’an dernier, soit 8 pc de plus qu’en 2014, révèle un rapport des Nations unies publié mercredi.

Ce taux à la hausse devrait s’accélérer pour atteindre 17 pc d’ici à 2021, soit l’augmentation la plus rapide de l’ensemble des ordures ménagères du monde.

Télévisions, téléphones mobiles, ordinateurs ou encore réfrigérateurs et panneaux solaires : l’accumulation de ces déchets, le plus souvent nocifs pour l’environnement et la santé, représente l’équivalent de 4.500 tours Eiffel, précise l’étude publiée par l’Université de l’ONU et l’Union internationale des télécommunications (UIT).

Seuls 20 pc de ces déchets générés en 2016 ont été collectés et recyclés. Les 80 pc restants ont été incinérés, entreposés dans des décharges en plein air ou enfouis dans le sol, malgré la présence de composants de valeur comme l’or, l’argent et le cuivre qui pourraient être récupérés.

– Les Suisses, en particulier les plus jeunes, prennent le réchauffement climatique très au sérieux, selon un rapport commandé par la Société suisse de radiodiffusion (SSR) et publié dernièrement.

Selon les conclusions de cette étude, une large majorité des Suisses (85 pc) considèrent le changement climatique comme une réalité avérée, même si ceux qui en sont le plus convaincus sont ceux âgés de 15 à 29 ans.

Plus de la moitié estime que quelques conséquences seulement se font déjà sentir, et presque tous les autres (47 pc) trouvent même que les impacts sont nettement perceptibles.

Les deux tiers des personnes interrogées jugent la perspective d’une hausse de 3 degrés Celsius de la température moyenne en Suisse d’ici la fin du siècle « alarmante », voire « très alarmante ».

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Paris- En marge du One Planet Summit qui a réuni des chefs d’État et des centaines d’acteurs du développement économique et financier pour mettre la finance au service du climat, le ministère français de la Transition écologique et solidaire a organisé mercredi une rencontre sur la solidarité climatique : un enjeu national et international à la croisée de l’Accord de Paris et des objectifs du développement durable.

« Le changement climatique soulève des enjeux de justice et de solidarité. Parce qu’il frappe des hommes, des femmes, des enfants qui subissent les conséquences d’un phénomène qu’ils n’ont pas provoqué. Cela pose des questions de responsabilité dont on en peut pas de dédouaner », a indiqué le ministre français de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot.

Ce colloque avait pour objectif, au-delà de l’atténuation et de l’adaptation au changement climatique, de partager une vision et les voies d’un engagement commun pour accompagner les pays et populations vulnérables.

Des pistes d’action en matière de coopération technique, d’autonomisation et de transferts de compétences ont été énoncées à cette occasion.

– Un séminaire « Pour une nouvelle économie des plastiques » autour de l’objectif « 100% de plastiques recyclés en 2025 » a été organisé, mercredi à Paris, ministère de la Transition écologique et solidaire et le ministère de l’Economie et des Finances.

Ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la feuille de route « économie circulaire », lancée le 30 octobre dernier, dans le cadre du plan climat de juillet 2017.

Cette feuille de route doit permettre d’atteindre deux objectifs principaux à savoir la diminution de moitié de la mise en décharge et le recyclage de 100 pc du plastique d’ici 2025.

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