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01 Sep

Dakar: Mis en place d' »un important dispositif » chargé de nettoyer les lieux de culte, les marchés, de la veille au lendemain de la fête de l’Aïd-el-Kébir

Dakar – L’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (UCG) a mis en place « un important dispositif » chargé de nettoyer les lieux de culte, les marchés et les grandes artères de Dakar, de la veille au lendemain de la fête de l’Aïd-el-Kébir

Sénégal :

–L’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (UCG) a mis en place « un important dispositif » chargé de nettoyer les lieux de culte, les marchés et les grandes artères de Dakar, de la veille au lendemain de la fête de l’Aïd-el-Kébir ou Tabaski, annonce un communiqué.

Ce « dispositif » sera également chargé d’ »enlever la surproduction d’ordures ménagères » à Dakar, selon le texte.

Le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire, Abdoulaye Diouf Sarr, « va faire l’état des lieux de la propreté de la capitale » sénégalaise, lors d’une tournée prévue vendredi, à 9 heures.

— Six forages polarisant 58 villages ont été mis en service en août dans quatre régions du Sénégal, a indiqué le directeur national du Programme d’urgence de développement communautaire Cheikh Diop.

« Nous avons mis en service durant le mois d’août, six systèmes qui donnent de l’eau à 40.000 personnes dans cinquante-huit villages », a-t-il déclaré mercredi en marge de la cérémonie d’inauguration du forage de Depal Mbaye, dans la région de Louga (nord-ouest).

Ces six structures hydrauliques toutes situées dans les régions de Louga, Saint-Louis, Diourbel et Kaolack, devraient aussi permettre d’alimenter en eau à peu près 200.000 têtes de bétail, a ajouté Cheikh Diop.

Selon lui, au-delà de ces infrastructures réalisées pour le compte de la première phase du PUDC, il va s’agir aussi de favoriser l’économie rurale.

Voici par ailleurs, le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du vendredi 1er septembre :.

Cameroun :

— Depuis quelque temps, le charbon écologique ou l’éco-charbon développé à partir du cortex (coques de cabosses) de cacao par des étudiants de l’Institut universitaire technologique (UIT) de Douala, la capitale économique du Cameroun, est expérimenté dans le processus du séchage du cacao par le Conseil Interprofessionnel camerounais du Cacao et du Café (CICC), selon la presse.

En vue de produire un cacao haut de gamme sollicité par les maîtres-chocolatiers, le CICC est en train de doter des bassins de production du cacao des Centres d’excellence de traitement post-récolte, pour un cacao de qualité.

D’après le secrétaire exécutif du CICC, Omer Gatien Malédy, les fours de séchage du cacao seront alimentés par l’éco-charbon, en lieu et place du bois. Le recours à l’éco-charbon évite ainsi aux producteurs de cacao de détruire l’écosystème forestier pour obtenir le bois de chauffe devant servir au séchage du cacao après fermentation.

Burundi :

— Les eaux du lac Tanganyika, situé entre quatre pays à savoir le Burundi, la République Démocratique du Congo, la Tanzanie et la Zambie, sont exposées à une pollution continue, a conclu un rapport du ministère burundais chargé de la bonne gouvernance.

Cette pollution « omniprésente » véhiculée notamment par des déchets solides et liquides qui sont déversés quotidiennement dans cet écosystème lacustre, menace ainsi la biodiversité du lac, a souligné le rapport.

« En effet, les ménages de la province de Bujumbura-Mairie (capitale burundaise) déversent plus de 62 mille m3 d’eaux usées par jour dans le lac Tanganyika. A cette quantité, s’ajoute des eaux usées provenant des usines implantées dans la ville de Bujumbura, qui sont déversées aussi dans ce lac, alors qu’elles devraient être acheminées vers une station d’épuration installée dans la zone urbaine de Buterere (nord de Bujumbura) », a noté le rapport, relayé par des médias.

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