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23 Juin

Le Danemark a généré près de la moitié de sa consommation d’électricité à partir de l’énergie éolienne en 2017

Copenhague – Le groupe danois A.P. Moller Holding, qui contrôle le géant du transport maritime A.P. Moller-Maersk, prévoit d’entrer dans le marché du chauffage de l’eau pour soutenir le passage du pays aux énergies renouvelables.

Le Danemark a généré près de la moitié de sa consommation d’électricité à partir de l’énergie éolienne l’année dernière.

Maersk a déclaré qu’il voit le chauffage géothermique jouer un rôle central dans la transition verte pour l’approvisionnement en chauffage du pays.

« A.P. Moller Holding examine la possibilité de fournir des solutions géothermiques, avec la possibilité de couvrir jusqu’à 30% de tout le chauffage urbain (au Danemark) », a affirmé le directeur général Robert Maersk Uggla.

A.P. Moller Holding, la société d’investissement de la famille Maersk, serait responsable de l’exploration, de la construction et de l’exploitation des usines, selon un communiqué.

Les réseaux de chauffage urbain génèrent de la chaleur dans les centrales et pompent de l’eau chaude dans les maisons via des réseaux souterrains.

« Notre modèle est plutôt simple : nous fournissons l’eau chaude aux sociétés de chauffage urbain qui la distribuent aux consommateurs », a indiqué Samir Abboud, responsable du projet géothermique, dans un communiqué.

Le même responsable a assuré que l’investissement serait dans les deux milliards de couronnes.

Il faudrait de cinq à six ans d’exploration jusqu’à ce que la centrale géothermique fournisse de l’eau chaude aux sociétés de chauffage urbain, qui approvisionnent environ 64% des ménages danois.

Aujourd’hui, moins de 1% du chauffage urbain au Danemark provient de l’énergie géothermique.

L’année dernière, la Commission européenne a publié un document de stratégie pour le chauffage et la climatisation – qui représente environ 40% de la consommation d’énergie de l’UE – visant à stimuler le chauffage urbain et l’utilisation des énergies renouvelables.

.- Un élan sauvage a été observé récemment au Danemark pour la première fois depuis près de 20 ans, a confirmé l’Agence danoise de la nature.

Un habitant a repéré l’animal près de la ville de Helsinge dans le nord de l’île de Zealand la semaine dernière, a indiqué l’Agence dans un communiqué.

« Le citoyen a pris quelques photos et une vidéo et sur cette base nous pouvons conclure que c’est un wapiti. C’est probablement une génisse, c’est-à-dire une femelle âgée d’environ deux ans », a déclaré Niels Worm, consultant auprès de l’Agence.

Bien qu’il soit difficile de savoir comment l’animal a atteint le Danemark, Worm a affirmé qu’il aurait pu nager à travers le détroit de l’Øresund depuis la Suède.

La dernière observation d’un wapiti au Danemark remonte à 1999, bien qu’il y ait eu plusieurs observations non confirmées, en particulier en 2001, 2010 et 2012, dans la région d’Helsingør où les observations de la semaine dernière ont eu lieu.

Beaucoup de ces observations se sont révélées plus tard être des cerfs, dont la population a augmenté ces dernières années au nord de Zealand.

En 1999, un wapiti a nagé pour atterrir dans la zone naturelle de Hornbæk Plantage et a ensuite été vu dans plusieurs endroits de la région. Mais l’animal a connu une fin tragique quand il a été écrasé par un train de marchandises à un croisement entre Roskilde et Ringsted en mai 2000.

Selon le directeur scientifique du Zoo de Copenhague, Bengt Holst, tous ceux qui se trouvent dans la région pour repérer les nouveaux wapitis devraient se considérer chanceux.

« J’ai vu beaucoup de wapitis dans ma vie, c’est un spectacle fantastique. C’est un animal merveilleux de la taille d’un cheval », a affirmé M. Holst.

Bien qu’il n’y ait aucune raison de craindre l’animal, il faut veiller à ne pas l’effrayer en s’approchant trop près, a-t-il ajouté.

Selon lui, la probabilité de voir une population de wapitis s’établir au Danemark reste faible, car « cela nécessiterait à la fois un mâle et une femelle de venir ici en même temps, de se retrouver et de se reproduire ».

Le Danemark n’a pas une population de wapitis depuis 5000 ans.

Lille Vildmose, une zone marécageuse dans le nord du Jutland, a une petite colonie d’élans, mais vit dans un périmètre.

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.-Stockholm – La société suédoise de technologie solaire Midsummer AB vient d’être cotée au Nasdaq First North Stockholm après avoir réalisé une introduction en bourse (IPO) fortement sursouscrite.

La société a émis 100 millions de couronnes suédoises (11,2 millions d’USD/ 9,7 millions d’euros) en actions nouvelles et son offre a été sursouscrite de 400%.

L’introduction en bourse soutiendra la croissance de Midsummer, y compris les plans d’expansion de la capacité de production du système de fabrication de panneaux solaires DUO à couches minces et le lancement du produit de toiture métallique intégré photovoltaïque BIPV Clix, a déclaré le PDG et cofondateur de la société Sven Lindström.

Le bénéfice avant impôt en 2017 a bondi de 135% à 24,5 millions de couronnes, tandis que les revenus ont augmenté de 94% à 115 millions de couronnes.

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.-Helsinki- Le groupe finlandais technologique Wärtsilä a annoncé l’introduction d’une nouvelle solution hybride de production et de stockage de l’énergie solaire photovoltaïque (PV).

« Wärtsilä Hybrid Solar intègre la production et le stockage d’énergie solaire photovoltaïque pour fournir une véritable solution +renouvelable en tant que base+ non seulement respectueuse du climat, augmentant la résilience et l’efficacité, mais pouvant être soutenue par l’infrastructure de réseau existante », explique un communiqué de l’entreprise.

« Hybrid Solar permettra aux services publics de transformer l’efficacité et la fiabilité de leurs systèmes grâce à une centrale solaire photovoltaïque adaptable capable de répondre à leurs besoins de base », a déclaré Magnus Miemois, responasable chez Wärtsilä Energy Solutions.

« Alors que notre écosystème énergétique mondial évolue, Hybrid Solar représente une approche novatrice de la production d’électricité et de la production d’électricité », a-t-il ajouté.

Le communiqué rappelle que lm’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que d’ici 2040, la capacité de production mondiale totale augmentera de 60%, et les sources d’énergie renouvelables, comme l’énergie solaire, éolienne et hydraulique, représenteront plus de 45%.

Alors que le monde évolue vers une énergie 100% renouvelable, les services publics, les producteurs d’électricité indépendants et d’autres fournisseurs d’énergie sont motivés à exploiter son potentiel.

Un élément essentiel dans la maximisation de la valeur de la solution hybride est la plate-forme logicielle et de contrôle qui optimise ses performances.

Wärtsilä a présenté le nouveau Hybrid Solar à Intersolar Europe 2018, le salon leader mondial de l’industrie solaire, au centre des expositions Messe München à Munich.

.- Le Finlandais UPM, géant du papier et des produits forestiers, se réjouit de l’accord initial trouvé au niveau des institutions européennes sur la directive révisée sur les énergies renouvelables.

L’accord crée un mandat obligatoire de mélange de biocarburants dans tous les États membres de l’UE, à partir de 0,2% en 2022 pour atteindre 3,5% en 2030, rappelle l’entreprise dans un communiqué.

« UPM Lappeenranta Biorefinery, la première usine au monde à produire du diesel renouvelable à base de bois à une échelle commerciale, a prouvé son potentiel en tant que producteur important de biocarburants avancés réellement durables. UPM BioVerno, qui réduit les émissions de GES de 80% par rapport aux combustibles fossiles, a trouvé un solide marché. L’accord renforcera l’intérêt pour les biocarburants les plus durables et renforcera la position des carburants avancés, tels que UPM BioVerno, qui ont un risque minime de causer des émissions indirectes ou un changement d’utilisation des terres », déclare Sari Mannonen, vice-président d’UPM Biofuels.

UPM a établi une position forte sur les marchés de biocarburants avancés en accordant une attention particulière à la qualité des produits, aux émissions élevées de GES et aux émissions locales, et à l’excellence en matière de durabilité, y compris la certification.

« Nous saluons le fait que les biocarburants avancés sont maintenant reconnus comme une voie rapide vers la décarbonisation des transports dans l’UE et que de plus en plus de pays travaillent sur leurs plans nationaux de décarbonisation des transports et que les biocarburants durables jouent un rôle important pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris », a déclaré Marko Janhunen, directeur des affaires publiques chez UPM.

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.- Vilnius – Le parlement lituanien a adopté jeudi un projet de loi relative à la mise à jour de la stratégie nationale visant à atteindre l’autonomie énergétique Dans le texte, la Lituanie se fixe comme objectif à long terme une autosatisfaction énergétique, avec un accent particulier mis sur le développement de l’énergie « verte ».

Le projet de loi a été soutenu par 103 législateurs lituaniens, sans vote contre avec deux abstentions.

La stratégie stipule l’intégration du système énergétique lituanien au système de l’Union européenne, qui inclura la synchronisation du système électrique avec l’Europe continentale et la mise en œuvre de l’Interconnexion gazière Pologne-Lituanie (GIPL) qui permettra d’utiliser efficacement le terminal de gaz naturel liquéfié (GNL) à Klaipeda.

Selon la stratégie, la part de l’énergie produite localement devrait représenter 35% de l’énergie totale consommée en Lituanie en 2020, et cette part devrait atteindre 70% d’ici 2030 et 100% en 2050.

La part de l’énergie produite à partir de sources d’énergie renouvelables atteindra 30% en 2020, 45% d’ici 2030 et 80% en 2050.

Les énergies renouvelables deviendront la principale source d’énergie dans tous les secteurs, y compris la production et la transmission d’électricité, le chauffage et le refroidissement.

La stratégie nationale d’autonomie énergétique vise également à faire de la Lituanie un pays qui crée et exporte des technologies énergétiques.

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