Le Danemark signe un accord pour fournir une technologie de purification de l’eau à l’Etat de Californie

Copenhague, 25/09/2017 (MAP)- Le Danemark a signé récemment un accord pour fournir une technologie de purification de l’eau à l’Etat côtier de Californie aux États-Unis, une transaction qui pourrait rapporter des millions à l’économie du pays nordique.

L’Etat de la côte ouest dépensera des millions de dollars au cours des prochaines années pour améliorer la qualité de l’eau et réduire les déchets.

L’accord signé avec le ministre de l’Alimentation et de l’environnement Esben Lunde Larsen donnera l’opportunité aux entreprises danoises d’être impliquées dans ce développement, a déclaré le ministère dans un communiqué.

Notant que le marché californien était idéal pour la technologie de l’eau danoise, le ministre a indiqué que l’exportation de la technologie de l’eau aux États-Unis valait un milliard de couronnes (161 millions USD).

« Maintenant, avec cet accord, nous assurons l’accès à 52 milliards de couronnes (8,4 milliards USD) dans les années à venir, en Californie à elle seule. Il est clair qu’il existe un grand potentiel », a-t-il déclaré.

Ce montant renvoie à un paquet d’amélioration de l’eau approuvé, en 2014, par l’État de Californie où la consommation d’eau représente le double de celle du Danemark.

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.- Le ministère danois de l’Environnement et de l’alimentation a lancé une enquête pour déterminer la quantité des micro-plastiques dans l’eau potable du pays, suite à des révélations cette semaine faisant état de la présence de micro-plastiques dans des échantillons.

« Nous devons clarifier si les micro-plastiques existent dans l’eau potable danoise et malheureusement nous ne savons pas grand-chose sur les micro-plastiques », a déclaré le ministre de tutelle Esben Lunde Larsen.

« Les chercheurs conviennent qu’il n’y a pas encore une méthode de mesure précise à ce jour, nous avons donc soutenu le développement d’une méthode fiable. Je m’attends à ce qu’elle soit prête à être utilisée en quelques mois, et je demanderai à l’Agence de la protection de l’environnement de mesurer les micro-plastiques dans l’eau potable le plus tôt possible », a-t-il poursuivi.

Il a indiqué que les résultats de ces mesures, qui devraient être révélés au début de 2018, seront incorporés dans un futur plan d’action concernant les plastiques.

Les résultats et les expériences seront également partagés avec le reste de la communauté de l’UE dans le but d’aider à l’élaboration d’une stratégie européenne en la matière.

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.- La capitale danoise abritera, du 27 au 29 avril 2021 au centre des conférences Bella Center, le sommet « WindEurope », une manifestation qui réunira, trois jours durant sous le même toit, plus de 10.000 visiteurs, dont des représentants des entreprises, des chercheurs, des décideurs et des acteurs de l’industrie éolienne mondiale et offshore.
Le Danemark a un avantage concurrentiel dans l’énergie éolienne et le choix de Copenhague en tant que ville hôte pour ce sommet sera une opportunité de mettre en valeur l’expertise du pays dans le secteur.

Cette rencontre permettra de montrer « à quel point nous sommes parvenus dans le domaine des énergies renouvelables, non seulement en terme de transition vers une société plus verte, mais aussi en terme de solutions que nous pouvons offrir au marché mondial », a souligné le ministre danois de l’Energie, des services publics et du climat, Lars Christian Lilleholt.

Le sommet s’appuie sur des conférences similaires tenues en 2012 et 2015, où Copenhague a également été la ville hôte de l’industrie éolienne mondiale.

« Je suis incroyablement fier que nous puissions de nouveau accueillir l’industrie internationale de l’éolien au Danemark. Le pays possède des compétences uniques en énergie éolienne et, par conséquent, Copenhague est le choix naturel en tant qu’hôte du sommet WindEurope en 2021 », a pour sa part relevé le CEO de l’Association danoise de l’industrie éolienne, Jan Hylleberg.

Plus tôt en 2017, Copenhague a été désignée comme ville hôte de la conférence Offshore Wind Energy 2019, qui réunira au Bella Center, l’association mondiale des éoliennes offshore.

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.- Helsinki – La consommation totale d’énergie en Finlande au premier semestre 2017 s’est élevée à 686 petajoles (PJ), soit presque au même niveau qu’au cours de la période correspondante de l’année précédente, selon des données fournies par l’Institut national de la statistique.

Sur la période janvier-juin, la consommation d’électricité s’est située à 44 terawattheures (TWh), soit au même niveau d’un an plus tôt, indique un communiqué de l’Institut.

Les émissions de dioxyde de carbone du secteur de l’énergie sont également demeurées inchangées par rapport à l’année précédente.

La consommation de gaz naturel a diminué de 7% au premier semestre, tandis que celle de charbon a légèrement reculé de 1%.

En outre, la consommation de pétrole et de tourbe est restée au même niveau de l’année dernière. La consommation de combustibles ligneux a augmenté de 4% et constituait la plus grande source d’énergie avec une part de consommation totale de 27%.

D’après le communiqué, le volume d’électricité produite avec l’hydroélectricité a été inférieur de 20% par rapport à la période correspondante de 2016.
Les importations nettes d’électricité ont augmenté de 11% sur un an et leur part dans la consommation totale s’est élevée à 24%.

L’électricité produite avec l’énergie éolienne a grimpé de 87% et sa part dans la consommation totale a cru de 5%.

Au premier semestre 2017, divers produits énergétiques ont été importés en Finlande pour un montant de 4,4 milliards d’euros, soit 31% de plus qu’un an plus tôt.

La plupart des produits énergétiques ont été importés de Russie (63%). Les produits énergétiques ont été exportés à hauteur de 2,2 milliards d’euros, soit 28% de plus qu’un an auparavant. La plupart des produits énergétiques ont été exportés vers les pays de l’Union européenne (UE), ce qui représente 81% de la valeur des exportations.

Les stocks de charbon ont atteint 14 TWh fin juin, soit 18% de moins qu’un an plus tôt. À la fin du mois de juin, on estimait que les stocks de tourbe représentaient 11 TWh de tourbière énergétique, soit une baisse 34% par rapport à la même période de 2016.

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.- Tallinn – Le holding baltique Skinest Group a investi plus de 60 millions d’euros dans des projets d’énergies renouvelables en Géorgie ces deux dernières années, a annoncé ce weekend le groupe.

Le prochain projet d’énergie en Géorgie sera la construction d’une cascade de centrales hydroélectriques d’une capacité de 16 MW, a déclaré à la presse Juliana Polyanskaja, membre du conseil d’administration de Skinest Group.

« Les projets hydroélectriques d’une capacité totale d’environ 50 MW sont également en phase de développement », a indiqué Mme Polyanskaya.

Elle a ajouté que Skinest Group considère les investissements dans le développement de projets d’énergie renouvelable en Géorgie comme une contribution au développement durable dans le monde et à la résolution des problèmes climatiques.

D’après l’entreprise, les investissements dans le secteur des énergies renouvelables contribueront à réduire les émissions polluantes et à ralentir le réchauffement climatique.

Récemment, la centrale hydroélectrique de Kintrishi d’une capacité de 6,6 MW a été commandée, a fait savoir Mme. Polyanskaya.

Fondé en 2005, le holding opère en Estonie, en Lettonie, en Lituanie, en Finlande, en Russie, en Pologne, en Ukraine, en Croatie et en Géorgie. Il emploie plus de 900 personnes.