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10 Juil

Ghana : Volonté de poursuivre toute personne qui brûle les déchets électroniques

Accra – L’Environmental Protection Agency (EPA) a fait part de sa volonté de poursuivre toute personne qui brûle les déchets électroniques et autres types de déchets.

« Toute personne impliquée dans tous les actes de brûlage à ciel ouvert serait arrêtée et poursuivie conformément à la loi », a affirmé M. John A.Pwamang, directeur exécutif par intérim de l’EPA, lors d’une réunion des parties prenantes sur les moyens de lutter contre la pollution de l’air, causée principalement par les ferrailleurs à Agbogbloshie et ses environs.

Le Kenya va désormais s’aligner sur les normes écologiques de la Société financière internationale (IFC), filiale privée du Groupe de la Banque mondiale, pour développer son programme de logements abordables, a assuré Charles Hinga, secrétaire principal au ministère du Logement et du Développement urbain lors d’une réunion virtuelle.

Selon le responsable, les autorités kényanes optent désormais pour des logements à faible émission de carbone afin de lutter contre le changement climatique. De ce fait, des accords ont été signés avec des investisseurs privés pour «construire des maisons respectueuses de l’environnement afin d’aider le Kenya à atténuer et à s’adapter aux effets négatifs du changement climatique», a-t-il affirmé.

De récents travaux scientifiques viennent confirmer l’impact dramatique du réchauffement climatique sur les cultures céréalières en Afrique de l’Ouest, cultures extrêmement importantes pour la sécurité alimentaire en Afrique.

Ces travaux réalisés par deux agro-climatologues de l’Institut de recherche pour le développement (France) démontrent que les changements climatiques ont eu un impact sur les rendements agricoles à partir du 20e siècle et mettent en péril la sécurité alimentaire de nombreuses populations.

Leur méthode, basée sur la modélisation, a consisté à imaginer deux situations climatiques. La première, sans l’empreinte de l’Homme, telle qu’elle était au 19e siècle et l’autre avec des conditions climatiques altérées par l’Homme.

Des simulations de rendement ont été lancés pour le mil, le sorgho et le maïs dans l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest. Et c’est le mil qui semble être plus affecté par le changement climatique que le sorgho dans les deux modèles de culture, selon l’étude rapportée jeudi par le site adiac-congo.com.

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