Les jeunes électeurs suédois considèrent les changements climatiques comme les questions majeures d’aujourd’hui

Copenhague – Réalisée par l’institut Novus, l’enquête a montré que 14% des 1 003 personnes interrogées pensent que le changement climatique et l’environnement sont les questions les plus importantes aujourd’hui.

Ce sondage auprès des jeunes revêt une importance particulière du fait que la Suède s’apprête à tenir ses élections générales en septembre 2018, alors même que 57% des interrogés estiment que les questions d’immigration et d’intégration seront les plus importantes lorsque le pays nordique décidera de son prochain gouvernement.

« Aucun parti ne devrait éviter les questions environnementales ou les autres questions que les jeunes jugent importantes aux élections et, en tant que telles, cela ne doit pas être aussi décevant que ce sondage le suggère », a déclaré le ministre de l’Education et député du Parti Vert, Gustav Fridolin.Le plan permettra aux deux sites d’essai de s’étendre sur deux bancs d’essai chacun, ce qui signifie un total de 16 points pour les turbines prototypes. Il permettra également des hauteurs de pointe plus élevées, pour tester la prochaine génération d’éoliennes offshore.

Selon le ministère de l’Economie et des affaires, les principaux partis du pays se sont mis d’accord pour étudier la possibilité d’augmenter sa capacité d’essai.

Depuis lors, une étude d’impact sur l’environnement a été réalisée avec la contribution des parties prenantes locales et des résidents aux sites d’essai.

« L’expansion des sites d’essai est essentielle pour maintenir la position du Danemark en tant que leader mondial dans le domaine de l’éolien, ainsi que pour maintenir la compétitivité des centres d’essais danois », a déclaré le ministre danois de l’Energie et du climat, Lars Lilleholt.

« Les centres d’essais soutiennent l’industrie éolienne afin que de nouvelles turbines plus efficaces puissent être développées à l’intérieur du pays et contribuent à atteindre l’objectif du gouvernement selon lequel l’énergie danoise doit être couverte par au moins 50% d’énergie renouvelable en 2030 », a-t-il ajouté.

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Copenhague :
La chaîne de supermarchés danoise Dansk Supermarked a annoncé, mardi, qu’à compter du 2 janvier les clients pourront acheter une alternative végétarienne à la viande hachée dans les 600 supermarchés qu’elle contrôle, dont Netto, Bilka et Føtex.

Pour Rune-Christoffer Dragsdahl, secrétaire général de l’Association végétarienne danoise, cette initiative constitue une première mondiale.

« C’est le premier produit au monde qui combine une grande accessibilité à un prix comparable à celui de la viande hachée conventionnelle. C’est très unique! », s’est félicité M. Dragsdahl.

La « viande » hachée végétarienne est faite entièrement à partir de matériel végétal, comme le blé, le soja, la betterave, les tomates et les champignons qui, combinés, donnent la même structure, la même protéine, la même couleur et le même goût que la viande hachée.

Baptisé « Naturli’Hakket », ce produit est l’œuvre de l’un des principaux producteurs d’aliments végétaux au Danemark, la société Naturli ‘Foods, basée à Aarhus.

.- Le gouvernement danois a soumis un nouveau projet de loi pour prolonger les sites d’essais des éoliennes Østerild (nord-ouest) et Høvsøre (ouest).
.- Stockholm- Les jeunes électeurs suédois considèrent les changements climatiques et l’environnement comme les questions majeures d’aujourd’hui, bien avant l’école et l’éducation en deuxième place, et l’immigration en troisième position, selon les résultats d’un nouveau sondage publié mardi.
.- Vilnius – Le groupe public lituanien d’énergie Lietuvos Energija et la société finlandaise Fortum Heat Lietuva ont lancé la construction d’une centrale de cogénération de 150 millions d’euros à Kaunas, ont annoncé lundi les deux entreprises.

« Il y avait une cérémonie inaugurale symbolique vendredi, c’est la première étape, tout se passe comme prévu », a déclaré Vitalijus Zuta, PDG de Fortum Heat Lietuva.

Selon lui, les travaux sur le chantier ont commencé il y a deux semaines et devraient être achevés d’ici l’automne 2019.

Baumgarte Boiler Systems, Konecranes Finland, LAB et Siemens construiront l’installation et fourniront les équipements dans le cadre de contrats d’une valeur totale de 75 millions d’euros.

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.- Oslo – Une analyse des particules dans les colonies de moules sur la côte norvégienne a montré que quatre mollusques sur cinq contiennent des micro-plastiques, ont rapporté lundi des médias locaux.

L’Institut norvégien pour la recherche sur l’eau a mené la recherche pour le compte de l’Agence de l’environnement du pays.

« Les micro-plastiques sont susceptibles de se trouver principalement dans le système digestif de l’animal. Mais puisque nous mangeons toute la moule, les micro-plastiques pourraient trouver leur place dans les tables à manger norvégiennes », a déclaré Ellen Hambro, directrice de l’agence pour l’environnement, au quotidien local VG.

Treize essais différents ont été effectués sur 252 moules, 193 d’entre elles contenant des micro-plastiques.

« Il y a une prise de conscience croissante autour de ce problème. On s’inquiète de plus en plus des conséquences de la consommation de moules contenant des micro-plastiques », a relevé pour sa part la chercheuse Amy Lusher.

Les micro-plastiques sont de petites particules de plastique dans l’environnement qui peuvent être produites par l’industrie ou par la destruction de plus gros morceaux de plastique.

Les particules peuvent trouver leur chemin dans les organes humains, a estimé Mme Lusher.

L’Agence de l’environnement voit la pollution plastique comme une menace pour la faune sur les côtes et dans l’océan.

« La Norvège va essayer de résoudre le grave problème environnemental de la pollution des océans à travers des initiatives locales, nationales et internationales », a souligné Mme Hambro.

Le plastique affecte également négativement la santé des moules et la façon dont elles se développent.

« Nous devons maintenant évaluer les impacts des plastiques sur les moules, si elles peuvent affecter les populations et les écosystèmes », a expliqué Mme Lusher.

Les chercheurs ont découvert des plastiques synthétiques et semi-synthétiques, écrit VG. Les plastiques semi-synthétiques sont principalement utilisés dans l’industrie textile, tandis que les plastiques synthétiques sont utilisés pour fabriquer des bouteilles en plastique et des produits de consommation.

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.- Helsinki – La centrale à charbon avec les émissions les plus élevées en Finlande en 2016 était celle de Naantali appartenant à la compagnie énergétique régionale Turku Energy, selon des données publiées par l’Institut national de la statistique.

La centrale a pompé 1,4 million de tonnes de carbone dans l’air durant l’année dernière, précise l’Institut dans un communiqué.

Sur la côte ouest, la centrale au charbon de Meri-Pori a plus que doublé ses émissions à 800.000 tonnes.
La semaine dernière, Turku Energy a inauguré une nouvelle centrale électrique à Naantali, qui, selon ses estimations, permettra de réduire les émissions d’environ 30%.

L’énergie renouvelable sous forme de copeaux de bois représentera d’abord la moitié de son combustible, chiffre qui passera à 60-70% l’année prochaine.

Cependant, l’ancienne centrale à charbon de Naantali n’était pas le pire pollueur. L’aciérie de SSAB à Raahe, également sur la côte ouest, a produit 4,1 millions de tonnes de CO2 tandis que la raffinerie de Neste à Porvoo a produit 2,9 millions de tonnes.

Outre SSAB, le plus gros émetteur de CO2 était le service public Helsingin Energia. Il a fait beaucoup de publicité avec ses projets d’énergie solaire et s’est fixé pour objectif de réduire ses émissions de 20% d’ici 2020, par rapport aux niveaux de 1990.

L’année dernière, cependant, ses émissions ont grimpé de 12% à 3,3 millions de tonnes, ajoute l’Institut.

.- Le ministre finlandais de l’Environnement, de l’énergie et du logement, Kimmo Tiilikainen, s’est félicité des engagements ambitieux pris par la communauté internationale au cours de l’Assemblée des Nations Unies sur l’environnement (ANUE), tenue la semaine dernière à Nairobi (Kenya).

Lors de cet évènements, les ministres de l’environnement ont publié une déclaration commune, en réaffirmant leur soutien aux efforts visant à prévenir, atténuer et gérer la pollution de l’air, des terres et des sols, des eaux douces et des océans, indique un communiqué du ministère finlandais de l’Environnement, de l’énergie et du logement.

L’assemblée a adopté 13 résolutions non contraignantes et trois décisions. Parmi elles figuraient des mesures pour faire face aux déchets en mer et aux microplastiques, pour prévenir et réduire la pollution atmosphérique, l’intoxication au plomb présent dans les peintures et les batteries de voiture, protéger les écosystèmes aquatiques contre la pollution, gérer la contamination des sols et la pollution des zones en proie aux conflits et au terrorisme, ajoute-t-on de même source.

Au cours de l’Assemblée, M. Tiilikainen a été élu vice-président du bureau de l’ANUE, l’organe décisionnel le plus important au monde sur les questions environnementales, souligne communiqué.

Le Bureau, composé de dix ministres de l’environnement, est notamment chargé des questions d’une grande pertinence politique, y compris les thèmes abordés par l’Assemblée pour l’environnement. Le ministre de l’Environnement estonien, Siim Kiisler, a été élu président du Bureau.

« Le Bureau joue un rôle clé dans l’intégration des questions environnementales dans l’agenda politique international. J’ai l’intention de travailler activement pour renforcer l’ANUE », a déclaré le ministre finlandais.

Il a rappelé que la troisième Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (UNEA3) a connu la participation de plus de 4.000 chefs d’État, ministres, chefs d’entreprise, représentants des Nations Unies et représentants de la société civile.

La délégation finlandaise à l’Assemblée comprenait l’Association finlandaise des Nations Unies et l’Association finlandaise pour la conservation de la nature. À Nairobi, la Finlande a été particulièrement présente dans les événements liés, entre autres, à l’économie circulaire et au rôle du secteur privé.

M. Tiilikainen a rencontré des sociétés finlandaises et kényanes et a visité un parc éolien en construction au lac Turkana. La Finlande a contribué au financement de ce projet.