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14 Août

L’électricité belge est l’une des plus chères d’Europe

Bruxelles –  L’électricité belge est l’une des plus chères d’Europe, rapporte mardi le journal Le Soir sur la base d’une étude du régulateur fédéral belge de l’énergie (Creg).

Il ressort de cette étude qu’en moyenne, un ménage consommant 3.500 kWh par an paye 279 euros (hors TVA) pour le réseau.

La note grimpe à 244 euros à Bruxelles contre 303 euros en Wallonie, ce qui est nettement plus élevé que chez les voisins européens alors que la densité importante de la population en Belgique apparaît pourtant comme un avantage dans la gestion d’un réseau, rapporte Le Soir.

Ces évaluations sont effectuées sur la base d’une étude comparative des frais de réseau en Belgique et dans les pays voisins une fois extraites les diverses taxes intégrées dans les prix pratiqués par les opérateurs.

La Belgique est engagée dans la promotion des énergies renouvelables pour réduire sa facture énergétique, dans le cadre de ses engagements issus de l’accord de Paris sur le climat.

Voici le bulletin de l’écologie de l’Europe occidentale pour la journée du mardi 14 août 2018:

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Paris – L’enterrement écologique est la nouvelle tendance qui commence à émerger en France dans la lignée de ses voisins européens et de l’Australie. Le but: limiter la pollution de l’air et des sols, liée aux émissions lors de la crémation, au traitement du bois des cercueils et aux techniques de conservation des corps, rapporte le journal Le Figaro.

Et pour cause: les dépouilles sont souvent embaumées selon la pratique de la thanatopraxie. Importée des États-Unis dans les années 1960, elle consiste à injecter dans le corps 8 à 10 litres de produits chimiques, comme le formol, pour ralentir le processus de décomposition. C’est ainsi que lors de la crémation ou de l’enterrement, ils contaminent l’air par l’émission de particules fines, ou le sol et l’eau en s’infiltrant dans la terre.

Avec près de 800.000 décès prévus pour 2020 en France contre seulement 600.000 en 2017, des alternatives plus naturelles se développent, affirme la même source ajoutant que les jeunes générations sont particulièrement réceptives à des obsèques respectueuses de l’Homme et de la planète.

Le coût économique de cette nouvelle tendance pourrait la rendre encore plus attractive aux yeux des gens, En effet, ce type de funérailles peut ne pas dépasser les 2000 €, contre 4000 € en moyenne pour un enterrement traditionnel en 2017.

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Madrid – La première liste qui comprend 32 espèces indigènes de la faune et de flore ayant disparu de leur aire naturelle en Espagne, comme le lynx européen, la lamproie de rivière et le faucon de Patagonie, a été publiée lundi au Bulletin officiel de l’Etat (BOE).

Cette liste, approuvée par la Conférence sectorielle sur l’environnement tenue le 26 juillet, comporte les espèces sauvages indigènes disparues. Il s’agit notamment de celles disparues de la nature en Espagne durant la période historique et existent encore dans d’autres lieux ou en captivité, et qui peuvent faire l’objet de projets de réintroduction.

Parmi ces 32 espèces figurent des mammifères, tels que le lynx européen ou la baleine noire, des poissons comme l’esturgeon européen ou la lamproie de rivière, ainsi que près de vingt espèces de plantes.

La liste sera ouverte à de nouveaux ajouts, à travers une demande scientifiquement justifiée adressée au ministère de la transition écologique, qui fait référence à des espèces ou sous-espèces spécifiques présentes dans le passé et dont l’absence actuelle dans la nature est confirmée en Espagne.

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– Les 29 lynx ibériques évacués du Portugal resteront provisoirement un mois et demi de plus dans les centres espagnols, où ils ont été transférés suite aux dommages subis par le Centre national de reproduction de cette espèce menacée, à cause de l’incendie ayant ravagé plus de 20.000 hectares dans plusieurs localités de l’Algarve.

« Il semble que ces lynx resteront un mois et demi de plus dans les centres espagnols », ont indiqué des sources du ministère espagnol de la Transition écologique, notant que ces espèces devraient rester en Espagne jusqu’à une remise en état de la structure endommagée au Portugal.

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Lisbonne – La capitale portugaise compte bannir les gobelets en plastique à partir de 2020, année durant laquelle Lisbonne portera le label de « capitale verte européenne », délivré par la Commission européenne (CE).

La municipalité de la ville, qui compte réduire sa consommation d’objets en plastique à usage unique, a déjà initié sa démarche auprès des commerçants et des marques de boissons.

Cette décision constitue un des objectifs de la municipalité pour devenir en 2020 la « capitale verte européenne », un label, créé en 2006 par la CE et remporté par Lisbonne en juin 2018.

La ville devra réaliser les efforts nécessaires pour servir d’exemple pendant 12 mois en termes d’objectifs environnementaux et d’aménagements urbains.

 

 

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