ActualitésL’élevage au Burkina Faso constitue l’une des poutres centrales de l’économie nationale

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17 Juin

L’élevage au Burkina Faso constitue l’une des poutres centrales de l’économie nationale

Ouagadougou –  Le ministre des Ressources animales et Halieutiques, Sommanogo Koutou a, au cours d’une conférence de presse tenue mardi dernier à Ouagadougou, fait le bilan d’une série d’activités menées par son département dans le but d’accroître les productions animales et de rendre l’élevage burkinabè plus compétitif et respectueux de l’environnement.

L’élevage au Burkina Faso constitue l’une des poutres centrales de l’économie nationale.

Face aux journalistes, le 13 juin dernier, le ministre a marqué sa détermination à porter haut le flambeau de l’élevage burkinabè et à œuvrer, via des innovations, à faire du secteur un pôle de croissance autour duquel va désormais s’organiser des chaînes de valeur portée par des filières professionnelles tournées vers le marché et qui vont contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté dans le pays.

Voici, par ailleurs,  le bulletin quotidien de l’écologie de l’Afrique :
Sénégal :

— La deuxième réunion du Comité d’appui aux réformes du secteur de la gestion des déchets solides s’est tenue le 12 juin à Dakar, l’occasion de soumettre la stratégie de financement et de recouvrement des coûts à l’appréciation des participants, rapportent des médias.

L’objectif est de permettre aux communes bénéficiaires d’améliorer la qualité du service public de propreté et d’impulser une dynamique intercommunale dans la gestion des déchets solides.

Le responsable de l’Unité de coordination et de gestion (Ucg) des déchets, Ibrahima Diagne, a préconisé un mécanisme de co-financement axé sur les résultats. « Il faut un plan d’actions pour porter cette stratégie. S’il y a une synergie d’actions, il peut y avoir des résultats. Il faut que la commune ait un plan de gestion des déchets, parce que c’est très difficile d’accompagner celui qui ne sait pas où il va », a-t-il déclaré.

Centrafrique :

— Le Fonds des Nations Unies pour l’Environnement mondial (FEM) va financer pour 5 milliards 7 cent millions de FCFA (1 euro équivaut à 656 FCFA), la restauration des forêts en République centrafricaine.

L’annonce a été faite suite à la validation du document qui comporte le projet de restauration des forêts en soutien au renforcement de la résilience et à l’amélioration des moyens d’existence des communautés centrafricaines.

Le document validé comporte des initiatives du gouvernement visant à promouvoir le développement local à travers la mise en œuvre de ses engagements internationaux en matière de forêts, de biodiversité et de défense de l’environnement.

L’objectif est de consolider et améliorer les moyens d’existence des communautés locales et ainsi réduire la pauvreté dans le pays.

Togo :

— La réserve de biosphère transfrontière de Mono, située entre le Bénin et le Togo, fait partie des 23 nouveaux sites ajoutés au Réseau mondial des réserves de biosphère par le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’Homme et la biosphère, réuni à Paris du 12 au 15 juin.

Située au sud-ouest du Bénin et du Togo, la réserve de Mono s’étend sur une superficie de 346.285 ha dans la plaine alluviale et les zones du delta et des rives du fleuve du même nom.

« Cette réserve de biosphère transfrontière qui unit les réserves de biosphères nationales éponymes du Bénin et du Togo, est composée d’une mosaïque de paysages et d’écosystèmes comprenant principalement des mangroves, de la savane, des lagunes, des plaines inondables ainsi que des forêts, notamment des forêts sacrées », explique un communiqué de l’UNESCO.

Et selon la même source, « la zone couverte par la réserve abrite près de deux (2) millions d’habitants et les principales activités sont l’agriculture à petite échelle (palmiers à huile et noix de coco), le pâturage, la sylviculture et la pêche ».

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