L’IMT Lille Douai lance un Mastère en ingénierie environnementale et de l’économie circulaire en partenariat avec l’ENSM de Rabat

Paris- Un Mastère en ingénierie environnementale et de l’économie circulaire de l’économie circulaire, fruit d’un partenariat entre IMT Lille Douai et l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat au Maroc sera lancé pour la rentrée 2020-2021, annonce, jeudi, l’IMT Lille Douai, une grande école d’ingénieur de l’Institut Mines Télécom et partenaire de l’Université de Lille.

«IMT Lille Douai annonce l’ouverture des inscriptions de son Mastère Spécialisé en Ingénierie de l’Économie Circulaire au Maroc pour la rentrée 2020. Cette formation, proposée en collaboration avec l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat (ENSMR), vise à former des experts de l’ingénierie environnementale et de l’économie circulaire, capables de répondre aux nouveaux défis écologiques et d’accompagner les entreprises et les collectivités dans la transition vers un modèle vertueux, basé sur l’économie des ressources naturelles et le recyclage », indique un communiqué de l’IMT Lille Douai, parvenu à la MAP.

Ce Mastère spécialisé développé en partenariat avec ENSMR permet aux étudiants d’acquérir les compétences clés dans les domaines du développement durable, de l’éco-innovation et de l’écoconception qui en feront des experts en ingénierie de l’économie circulaire, souligne-t-on de même source.

Il est ouvert aux titulaires d’un diplôme d’ingénieur habilité par la CTI (Bac+5, d’un diplôme universitaire de niveau Master M2 (Bac+5), d’un diplôme étranger de niveau équivalent (Bac+5 ou d’un diplôme universitaire de niveau Master M1 (Bac+4) ou Maîtrise (Bac+4) assorti de trois années d’expérience professionnelle, précise le communiqué qui souligne que l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat pilotera le recrutement des élèves marocains et africains francophones, alors que l’IMT Lille-Douai centralisera les autres candidatures.

La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 10 juillet pour la 1ère session de recrutement, et au 20 septembre pour la seconde phase, indique la même source.

Cette formation renforce les liens scientifiques et académiques forts qui unissent IMT Lille Douai et ENSMR. Outre les enseignants chercheurs des deux écoles, le Mastère Spécialisé Ingénierie de l’Économie Circulaire accueillera des intervenants extérieurs professionnels spécialisés et profitera d’un accompagnement d’acteurs industriels, souligne le communiqué.

La formation dure 12 mois et se compose de deux semestres. Le premier consacré aux enseignements théoriques et pratiques et aux projets, le second dédié à un stage de fin d’études. Les enseignements sont organisés en cinq unités : Ressources, Économie et Développement Durable; Économie Circulaire et Environnement; Technologie et Co Produits Industriels; Management et gestion des projets éco-innovants; et Projet d’innovation appliqué.

Grâce à cette formation, assure l’IMT Lille Douai, les étudiants se dotent de compétences et d’une expertise très recherchées, tant dans le secteur public que par les entreprises.

L’IMT Lille Douai est une grande école d’ingénieur de l’Institut Mines Télécom et partenaire de l’Université de Lille. Située au cœur de l’Europe, elle réunit tous les talents et forme les cadres dont le monde a besoin pour porter les transitions énergétique, industrielle et numérique. Avec 2000 élèves, plus de 500 diplômés par an, un réseau de 14.000 alumni, elle compte parmi les plus grandes écoles d’ingénieurs au nord de Paris.

Quant à l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat (ENSMR), anciennement École Nationale de l’Industrie Minérale (ENIM), elle est l’une des plus anciennes et grandes écoles marocaines d’ingénieurs d’État. Membre de la Conférence des grandes écoles françaises (CGE), Mines Rabat, soumise à la tutelle de l’autorité Gouvernementale chargée de l’Énergie et des Mines, assure la formation d’ingénieurs d’État de haut niveau destinés à servir dans tous les domaines, dans l’Industrie, les administrations et les établissements publics, les sociétés d’économie mixte et le secteur privé.