ActualitésL’UE améliore sa législation en matière de denrées alimentaires et de protection des consommateurs

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26 Sep

L’UE améliore sa législation en matière de denrées alimentaires et de protection des consommateurs

Bruxelles – La Commission européenne a publié, mardi, un guide afin d’améliorer l’application de la législation de l’UE en matière de denrées alimentaires et de protection des consommateurs pour mettre fin au double niveau de qualité des denrées alimentaires.

Ce guide aidera les autorités nationales à déterminer si une entreprise enfreint la législation de l’UE lorsqu’elle vend des produits dont la qualité varie selon les pays. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, a ainsi déclaré dans le discours sur l’état de l’Union: «Je n’accepterai pas que dans certaines régions d’Europe, les gens se voient proposer des produits alimentaires de moindre qualité que dans d’autres pays, sous des marques et des emballages pourtant identiques ».  »Il nous reste à renforcer les moyens dont disposent les autorités nationales pour réprimer toute pratique illégale partout où elle est constatée », a-t-il dit.

Par ailleurs, voici le bulletin de l’écologie de l’Europe occidentale pour la journée du 26 septembre 2017 :

Paris,_ Le Premier ministre français Edouard Philippe a dévoilé lundi un plan d’investissement pour les cinq prochaines années qui prévoit notamment en enveloppe de 20 milliards d’euros à la transition écologique.

Sur les vingt milliards consacrés à la transition écologique, 9 milliards seront destinés à « amplifier l’effort de rénovation thermique des bâtiments », et 7 milliards d’euros au « développer les énergies renouvelables », selon le plan présenté par M. Philippe à la presse.

– Le préfet de la Haute-Garonne, Pascal Mailhos, a annoncé, la semaine dernière, la mise en place d’ici fin 2017 d’une circulation différenciée, à Toulouse, les jours de pics pollution.

Pour pouvoir rouler lors de ces moments où l’atmosphère est très chargée en particules fines, les conducteurs devront démontrer que leur voiture, deux-roues ou poids lourd est peu polluant.

Pour cela, une vignette Crit’air devra être apposée sur le pare-brise. Cette vignette sera de différentes couleurs, en fonction de la première date de mise en circulation du véhicule et de son type de carburant.

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Madrid,_ La qualité de l’air s’est «légèrement améliorée» en Espagne en 2016 par rapport à l’année précédente, même si les niveaux des émissions de dioxyde d’azote (NO2) ont dépassé les limites autorisées à Madrid, Barcelone, Grenade, Valence et, pour la première fois, San Sebastian de la Gomera (îles Canaries), selon les données du ministère de l’Agriculture, de la pêche, de l’alimentation et de l’environnement.

Dans un rapport, le ministère note une légère baisse, sur l’ensemble du territoire, dans les concentrations de NO2 dans l’atmosphère, même si les nouveaux d’émissions ont dépassé les limites pour la santé publique dans plusieurs villes.

Le ministère note en particulier une amélioration de la qualité de l’air à Madrid, ainsi qu’une baisse du nombre des zones où les particules fines (PM10) ont dépassé les seuils autorisés.

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-Les forêts les plus riches en biodiversité sont celles qui résistent le mieux à la sécheresse, l’une des principales conséquences du réchauffement climatiques, affirme une étude publiée dans la revue Nature Ecology & Evolution, élaborée par des chercheurs du Conseil supérieur espagnol des recherches scientifiques (CSIC) en collaboration avec des chercheurs de Malaisie et du Royaume-Uni.

Les chercheurs ont analysé la résistance à la sécheresse d’arbres tropicaux de la jungle de Bornéo (Malaisie) dans leur phase initiale de croissance.

L’étude a montré que les arbres de différentes espèces partagent mieux les ressources en eau que s’ils étaient de la même espèce, ce qui leur permet de survivre à des périodes de sécheresse.

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Londres,_Deux projets, qui vont permettre aux Britanniques de développer une puissance installée totale de 2.300 MW, viennent d’être remportés aux enchères à un tarif garanti de 57,50 livres sterling pendant 15 ans (soit 63,10 euros le MWH).

L’énergéticien portugais EDP Renováveis et son homologue français Engie ont remporté un contrat portant sur le développement d’un parc éolien offshore en Grande-Bretagne. Cette concession a été obtenue par la joint-venture Moray Offshore Windfarm (détenue à 77 pc par EDP et 23 pc par Engie) à la suite d’un appel d’offres du ministère britannique des Entreprises, de l’Énergie et de la Stratégie industrielle.

Le contrat s’étalera sur une durée de 15 ans « pour la fourniture de 950 MW d’électricité d’origine éolienne offshore, à un prix de 57,50 livres sterling par MWh », expliquent les deux partenaires dans leur communiqué de presse.

Pour sa part, l’énergéticien danois Dong Energy a décroché le contrat de construction de la ferme éolienne Hornsea Project Two. Ce projet, situé à 89 kilomètres des côtes du Yorkshire, affiche une puissance de 1.396 MW : il est à l’heure actuelle le plus grand parc en développement dans le monde.

Lors de sa mise en service, également prévue d’ici 2022, Hornsea Project Two permettra de répondre aux besoins électriques de près de 1,3 millions de foyers britanniques au prix de 57,5 livres sterling.

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Lisbonne,_ »Dans une économie neutre en carbone, comment le Portugal pourra-t-il créer des emplois et se développer? » C’est à cette question que l’initiative Meet 2030, un projet qui rassemble l’association BCSD Portugal – le Conseil entrepreneurial pour le développement durable, l’Institut Supérieur Technique et une trentaine d’entreprises portugaises, veut répondre, en partenariat avec le journal Dinheiro Vivo.

Depuis le début de l’année, trois workshops ont été organisés alors que le quatrième et dernier est prévu ce mardi. Pendant ces rencontres des scénarios, des stratégies commerciales et des opportunités de croissance ont été discutés.

« Le Portugal va croître et créer des emplois dans une économie neutre en carbone s’il reconnaît que l’énergie – productivité énergétique – joue un rôle important dans la croissance du PIB », souligne l’économiste Sofia Santos, secrétaire général de la BCSD.

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– Un nouveau système de climatisation alimenté par énergie solaire thermique est développé par un groupe de chercheurs de Porto, a déclaré une source impliquée dans le projet.

« Le SOLAR-TDF a été conçu dans le but d’assurer que le confort thermique puisse être garanti tout au long de l’année au moindre coût et en utilisant une énergie propre, qui, dans ce cas, est l’énergie solaire thermique », a déclaré le chercheur Szabolcs Varga, de la Faculté d’ingénierie de l’Université de Porto (FEUP), l’un des responsables du projet.

L’énergie utilisée dans ce système, qui selon le chercheur est le premier du genre au Portugal, provient de l’eau chaude chauffée dans les capteurs solaires.

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Genève, _Le canton suisse de Genève a baissé de 29 pc sa consommation d’énergie fossile grâce notamment à une consommation d’électricité et thermique en baisse, a indiqué mardi Antonio Hodgers, conseiller d’Etat chargé de l’aménagement et de l’énergie.

« Genève est en bonne voie pour atteindre les objectifs qu’il s’était fixés, en adéquation avec la stratégie énergétique 2050 de la Confédération, à savoir une société à 2.000 Watts sans nucléaire », a souligné M. Hodgers qui présentait le bilan de la politique énergétique dans le canton.

Il a rappelé que l’office local de l’énergie est chargé de mettre en œuvre cette transition qui s’articule autour de la diminution de la consommation d’énergie électrique, la planification énergétique territoriale, la valorisation des ressources renouvelables et locales et l’encouragement de partenariats.

Le projet « société à 2000 watts » vise sur le long terme à diviser par trois la consommation énergétique globale et à développer les énergies renouvelables pour couvrir les trois quarts des besoins.

-. Malgré une bonne qualité, les eaux du Léman en Suisse (sud-ouest) comportent des micropolluants et des microplastiques, une forme de pollution qui préoccupe la commission internationale pour la protection des eaux de ce lac.

« Les eaux du Léman sont globalement de bonne qualité, mais la présence de certains micropolluants et de microplastiques appelle à la vigilance », a estimé la commission dans un communiqué.

Des analyses sur les sédiments ont révélé la présence de microplastiques, pour la plupart issus de la fragmentation de plus gros objets comme des sacs en plastique ou des emballages. Tous les compartiments lacustres sont aujourd’hui touchés: l’eau, les sédiments et les organismes aquatiques, selon la même source.

En 2016, les contrôles ont montré que la concentration moyenne en phosphore est restée stable à 19.1 microgrammes par litre, en net recul par rapport aux valeurs d’il y a quelques dizaines d’années. Les efforts pour diminuer les apports en phosphore doivent être poursuivis.

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