Mali : rencontre sur le rôle des femmes dans la protection de l’environnement

Dakar – Une rencontre sur le rôle des femmes dans la protection de l’environnement a été tenue récemment au Parc national à Bamako, selon la presse locale.

Mali :

— Une rencontre sur le rôle des femmes dans la protection de l’environnement a été tenue récemment au Parc national à Bamako, selon la presse locale.

A cette occasion, l’accent a été mis sur la contribution des femmes engagées porteuses de solutions pour préserver la nature et la biodiversité et améliorer le cadre de vie.

Les intervenantes ont traité diverses thématiques dont le «rôle des femmes dans les activités de sauvegarde du fleuve Niger» et «Femmes et utilisation des sachets plastiques à Bamako».

Pour le ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable, Mme Kéita Aida M’Bo, ces thèmes, qui constituent quelques points saillants des enjeux et de la vision du ministère, figurent en droite ligne des recommandations formulées lors de la COP22 à Marrakech.

Elle a précisé que les actions menées sont conformes aux orientations fixées par la déclaration de politique générale du Premier ministre qui met en exergue la préservation et l’aménagement des forêts et des grands fleuves, la conservation de la biodiversité, l’adaptation aux changements climatiques.

Kenya.

— Le Service kényan de la Protection de la Faune (KWS) a démenti les informations faisant état que les animaux sauvages dans le parc national de Hell’s Gate, à Naivasha, ont commencé à mourir en raison de la sécheresse prolongée qui frappe plusieurs région du pays, ont rapporté des médias locaux.

Contrairement à ces informations, le nombre de la faune sauvage au sein de ce parc est en hausse, a assuré l’officier en charge du parc, Hapicha Ellema, cité par les médias.

Cependant, des rapports publiés auparavant faisaient état que la faune, notamment les buffles, à proximité des zones de Kedong, Kongoni, Marula et Kassarani, étaient en train de mourir durant les deux derniers mois en raison des conditions climatiques difficiles, souligne-t-on.

Côte d’Ivoire :

— Le président de l’entreprise ‘’Powerchina International’’, Song Dongsheng a exprimé mardi à Abidjan sa volonté de mettre en fonction le premier groupe du barrage de Soubré dans un mois.

Intervenant au terme d’une audience que lui a accordée le chef du gouvernement ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, M. Dongsheng, a relevé que sa rencontre avec le 1er ministre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération sino-ivoirienne, notant avoir fait le point sur l’état d’avancement des travaux pour l’installation du siège social de l’entreprise en Côte d’Ivoire .

La société Sinohydro, une filiale de Powerchina, est en charge de la construction de l’aménagement hydroélectrique du barrage de Soubré. Il s’agit de la plus grande centrale en cours de finition en Côte d’Ivoire. D’un coût global de 286 milliards FCFA, dont 85 pc est financés par la Chine, ce barrage de Soubré, long de 4,5 km, pourrait être le plus puissant et le plus grand centre de production électrique dans la sous-région, avec une puissance installée de 275 MW et un productible annuel de 1.100 gigawatt heure (GWH).

Sénégal :

— Les députés ont voté mardi à l’unanimité un projet de loi portant modification de l’Office du lac de Guiers (OLAG), rapporte la presse locale.

L’Office des lacs et cours d’eau (OLAC), est la nouvelle structure qui va gérer tout le réseau hydrographique national.

« La mise en œuvre de cette nouvelle approche sectorielle de valorisation du potentiel hydrographique national s’appuie sur une parfaite maîtrise de tous les lacs et cours d’eau intérieurs », a expliqué le rapporteur de la commission du développement et de l’aménagement du territoire, Mariame Kane.

La députée a cité les différents affluents et défluents des fleuves Sénégal, Casamance, Kayanga et Gambie ainsi que les cours d’eau des vallées intérieures et des mares pérennes.

— Un panel sur le thème « Enjeux, opportunités et défis des migrations pour des économies plus résilientes au changement climatique » se tient jeudi à Dakar, à l’initiative de l’organisation IED Afrique (Innovation, Environnement, Développement), indiquent des médias locaux.

Ce panel s’inscrit dans le cadre des activés d’engagement des parties prenantes, en partenariat avec l’Institut africain de Gouvernance (IAG), précise la même source, notant que plusieurs problématiques seront abordées au cours de cette rencontre, dont celles liées aux rapports entre migration, transferts et résiliences de l’économie.