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27 Avr

Le Maroc sera l’invité d’honneur de la 2è édition de la Semaine des énergies et énergies renouvelables en Afrique (SEERA), prévue du 2 au 7 mai prochain à Ouagadougou

Dakar – Le Maroc sera l’invité d’honneur de la 2è édition de la Semaine des énergies et énergies renouvelables en Afrique (SEERA), prévue du 2 au 7 mai prochain à Ouagadougou, ont annoncé les organisateurs.

« Le Royaume du Maroc a été désigné comme pays d’honneur au regard de ses avancées dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique », ont affirmé les acteurs de l’énergie au Burkina Faso, relayés par le journal électronique ouagalais +Infowakat+.

Placé sous le thème « Promotion du mix énergétique et de l’efficacité énergétique pour un accès durable à l’énergie pour tous », cette 2è édition du SEERA est organisée par le ministère burkinabè de l’Energie en collaboration avec des secteurs publics et privés évoluant dans le domaine de l’énergie.

 

Voici le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du vendredi 27 avril :

Sénégal:

Une journée de formation sur le développement de projets bancables au Fonds vert pour le climat (FVC), s’est tenue, récemment, à Dakar, à l’intention des acteurs du secteur privé, administratif, des collectivités locales et de la société civile.

Cette formation va permettre à chaque groupe de disposer d’une bonne connaissance des priorités de financement des projets climatiques, contribuant à l’effort mondial de réduction des gaz à effet de serre, a expliqué, Madeline Diouf Sarr, chef de la division changement climatique au ministère de l’Environnement et du Développement durable.

Selon Mme Sarr, cette formation va apporter un soutien stratégique et conceptuel à l’élaboration de projets et programmes climatiques, répondant à la politique nationale déclinée dans la contribution nationale déterminée (CDN).

« Le Fonds vert pour le climat offre une grande variété d’instruments financiers flexibles et adaptés », a-t-elle fait remarquer, au cours d’un atelier de formation sur le développement de projets éligibles au FVC et les modalités d’accès.

Côte d’Ivoire :

Des nouveaux camions de ramassage d’ordures seront bientôt en circulation dans la ville d’Abidjan, a annoncé jeudi, la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto qui, en compagnie du directeur général de Ecoti SA, un des nouveaux opérateurs de la filière, a réceptionné ces engins neufs au port d’Abidjan.
« Le grand jour, c’est le jour où les ivoiriens verront ces camions. Ce jour-là sera le top départ pour l’ivoirien nouveau, le changement de comportement », a estimé Anne Ouloto, indiquant que le gouvernement dans la mise en œuvre de sa politique de propreté est en train d’apporter des solutions au cri de cœur des ivoiriens.
Elle a invité les populations à s’inscrire dans la dynamique d’une propreté généralisée de la ville d’Abidjan et au-delà.
« Est-ce que le citoyen comprendra que la ministre, le maire, l’opérateur ne marcheront pas derrière chaque ivoirien pour lui dire de ne rien jeter à terre, c’est une question de conscience nationale maintenant, d’interpellation pour que tous ensemble, nous nous engagions pour atteindre nos objectifs », s’est-elle i
nquiétée cependant.
Pour Anne Ouloto, l’arrivage de ce matériel va donner un coup de fouet à la politique de propreté en cours actuellement. «Nous avons les meilleurs camions possibles. Ces vieux camions, nous n’en voulons plus. Aujourd’hui, nous nous sommes donnés les moyens d’avoir la logistique qui convient. Très bientôt, la transformation d’Abidjan va s’accélérer grâce à notre politique de propreté », a-t-elle déclaré.

Cameroun :

Le ministère camerounais de l’Industrie, des Mines et du Développement technologique (MINMIDT) a mis fin aux contrats d’exploitation minière de certaines sociétés étrangères dans la région de l’Est-Cameroun.

D’après le ministère, ces compagnies auraient fortement contribué à la dégradation de l’environnement à travers la déviation des cours d’eau, l’obstruction des rivières par la boue, ce qui a eu un impact négatif sur l’agriculture et l’élevage.

Kenya:

La compagnie de production d’électricité au Kenya « KenGen » devrait augmenter sa production à partir de ses centrales hydroélectriques à la faveur des fortes précipitations qui se sont battues au cours des trois dernières semaines sur le pays, ont indiqué des médias locaux.

Ces fortes pluies qui continuent de s’abattre sur les différentes du pays ont engendré une augmentation des niveaux d’eau, notamment dans certains barrages comme celui de Masinga, ce qui devrait renforcer la production de l’énergie, souligne-t-on.

Cette situation permettra d’assurer « la stabilité de l’approvisionnement en électricité car cela complétera la contribution de la géothermie après une période prolongée de sécheresse qui a affecté toutes les centrales hydroélectriques à l’échelle nationale », a déclaré la directrice générale de KenGen, Rebecca Miano

 

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