ActualitésMexique: Iberdrola obtient l’aval du gouvernement pour la construction d’un parc éolien à San Felipe

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06 Mar

Mexique: Iberdrola obtient l’aval du gouvernement pour la construction d’un parc éolien à San Felipe

Washington – La société d’énergie Iberdrola a annoncé avoir obtenu l’aval du gouvernement de l’Etat de Guanajuato pour la construction d’un parc éolien à San Felipe, évalué à 160 millions de dollars.

Ce nouveau centre de production d’énergie éolienne, qui va générer quelque 600 postes d’emploi, vient renforcer le secteur de l’énergie à Guanajuato, a indiqué dans un communiqué le gouverneur de cet Etat du centre du Mexique, Miguel Marquez Marquez.

Il s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la transition énergétique, qui vise l’augmentation à 35 pour cent la part de l’énergie provenant de sources propre en 2024.

La production énergétique de cette nouvelle usine contribuera à atténuer l’émission de 150 mille tonnes de CO2 dans l’atmosphère chaque année, a-t-il relevé.

Le groupe espagnol Iberdrola confirme ainsi son fort intérêt pour ce pays d’Amérique centrale dont le marché de l’électricité est en pleine libéralisation et qui devrait devenir dans les années 2020, son premier marché. Ce grand producteur privé d’électricité est la deuxième société d’énergie éolienne aux Etats-Unis et la première société de distribution au Brésil.

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Etats-Unis d’Amérique :

Les électeurs milléniaux (ceux âgés de 20 à 35 ans) sont prêts à conduire le débat sur le changement climatique aux Etats-Unis et pourraient avoir un impact significatif sur 10 élections législatives compétitives cette année, selon les résultats de deux nouvelles études.

La première étude, publiée la semaine dernière par le Centre de recherche « Pew » (PRC), a montré que les milléniaux sont considérablement plus libéraux que leurs aînés sur une variété de questions, y compris le changement climatique, et qu’ils sont beaucoup plus enclins à soutenir les candidats démocrates au Congrès.

Représentant 28% de la population adulte américaine, ces jeunes sont sur le point d’avoir un impact démesuré sur les échéances électorales cette année et par la suite, selon le PRC.

« Les différences générationnelles ont longtemps été un facteur dans la politique américaine », lit-on dans l’étude. « Ces différences sont maintenant aussi larges qu’elles l’ont été depuis des décennies, avec un potentiel de façonner la politique dans le futur ».

En ce qui concerne le changement climatique, environ les trois quarts du public pensent qu’il existe des « preuves solides » que la Terre s’est réchauffée, et 53 pc croient qu’elle est attribuable à l’activité humaine, selon l’étude. Mais cette croyance est la plus répandue parmi les milléniaux: 81% croient au réchauffement climatique et 65% croient que l’activité humaine en est la principale cause.

Même les milléniaux républicains et les sympathisants de ces derniers sont d’accord: 57% pensent qu’il existe des preuves solides que la Terre se réchauffe, bien que seulement 29% pensent que l’activité humaine en est la principale cause. Parmi les milléniaux démocrates et les sympathisants de ces derniers, le sentiment est presque unanime: 94% reconnaissent le réchauffement climatique et 87% pensent que l’activité humaine est à blâmer.

La deuxième étude, également publiée la semaine dernière par le Centre d’information et de recherche sur l’apprentissage civique et l’engagement à l’Université Tufts, a montré les 10 districts du Congrès où les électeurs milléniaux pourraient potentiellement faire la plus grande différence lors des élections de mi-mandat en novembre prochain. Huit des dix districts se trouvent dans les États du Midwest ou des Plaines.

Le Centre a créé un indice de l’importance électorale des jeunes, en utilisant les données démographiques, les tendances électorales historiques et la compétitivité projetée pour produire un classement des circonscriptions du Congrès où les jeunes (18-29 ans) ont le plus grand potentiel d’impact sur les élections de 2018.

L’étude a identifié 10 circonscriptions « swing » avec de grandes populations de jeunes, y compris des campus universitaires.

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Canada :

– Le gouvernement de la Colombie-Britannique a demandé l’avis des citoyens à propos des meilleurs moyens de protéger les côtes et les eaux de la province en cas de déversement de pétrole et ce, à l’aide d’un questionnaire en ligne.

Au terme de cette période de consultation, qui se déroule du 28 février au 30 avril, un résumé des résultats sera publié et fera partie des recommandations pour la stratégie sur l’environnement et le changement climatique.

La consultation porte sur quatre critères : le temps de réponse rapide, les ressources pour assurer une intervention immédiate, les compensations pour les pertes environnementales et publiques, et l’optimisation des règles lors d’un déversement de pétrole.

« Nous devons assurer que les voix des Britanno-Colombiens se font entendre sur les prochaines étapes dans la protection de notre environnement », a déclaré, dans ce sens, le ministre de l’Environnement, George Heyman.

Le ministère de l’Environnement de la Colombie-Britannique a également publié un document de 41 pages détaillant son plan d’intervention après des déversements de pétrole.

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Panama:

Le Panama a célébré samedi dernier la Journée mondiale de la vie sauvage, au cours de laquelle il a été décidé de célébrer le premier samedi de chaque année comme Journée nationale des chats sauvages, en vue de sensibiliser à l’importance de la protéger cette espèce menacée d’extinction.

Au Panama, il y a six espèces de ces animaux, dont cinq sont menacées d’extinction, ce qui a incité le gouvernement à adopter une journée nationale pour sensibiliser à la nécessité de les protéger.

Par cette décision, le gouvernement panaméen cherche à impliquer les organisations gouvernementales, les entreprises privées et les institutions publiques dans les initiatives de protection des chats sauvages, selon Jorge Garcia, chef du service de la faune au ministère de l’Environnement.

Le nombre de chats sauvages dans le monde est en baisse inquiétante en raison de la perte d’habitat et du manque de ressources alimentaires, ainsi que de facteurs tels que la chasse illégale et le trafic.

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