ActualitésLes municipalités danoises décident d’augmenter de 80% sur cinq ans les frais de lutte…

Actualités

07 Nov

Les municipalités danoises décident d’augmenter de 80% sur cinq ans les frais de lutte antiparasitaire

Copenhague -Les municipalités danoises ont décidé d’augmenter de 80% sur cinq ans les frais de lutte antiparasitaire pour faire face à un problème croissant dans nombre d’agglomérations.

Plusieurs municipalités ont connu des augmentations de plus de 300%, la plus forte hausse atteignant jusqu’à 693% dans la municipalité d’Allerød au nord de Copenhague, rapporte la presse locale.

*************************

.- Stockholm- Les grandes villes suédoises sont sur le point de faire face à leur hiver le plus froid en cinq ans, selon les nouvelles prévisions d’un météorologue.

Nitzan Cohen, qui a compilé des données et étudié les tendances atmosphériques afin d’évaluer le temps le plus probable entre décembre et février, suggère que l’hiver prochain sera semblable à celui que le pays a connu en 2012-2013.

« Il pourrait faire un peu plus froid que d’habitude dans le sud et des zones plus vastes risquent d’être recouvertes de neige », a-t-il expliqué.

« A l’intérieur des terres dans le Norrland et dans les collines, il y aura toujours de la neige, mais il sera peut-être perçu comme un peu plus doux », a-t-il ajouté.

En 2012-13, la Suède a connu un blizzard de décembre qui a causé des ravages dans les transports à travers le pays, et même en mars, les choses ne s’étaient pas beaucoup améliorées.

Si la prédiction de cet expert devait se réaliser, les grands centres de population de Suède, Stockholm, Göteborg et Malmö (qui se trouvent tous dans la moitié sud du pays) connaîtront un temps plus froid que d’habitude.

***********************

.- Reykjavík- Les touristes étrangers qui visitent l’Islande, en hiver, se disent plus heureux de leur expérience dans les lieux touristiques populaires du pays que ceux qui s’y rendent durant l’été, selon les données d’une enquête réalisée dans le sud et l’ouest de l’Islande.

Seulement 74% des touristes d’hiver ont déclaré que la nature était la principale raison de leur visite en Islande, comparativement à 83% des touristes d’été. Un pourcentage plus important de touristes séjourne dans la région de la capitale en hiver qu’en été.

Les données de cette étude ont été basées sur plus de 19.000 réponses de l’été 2014 et de l’hiver 2015 dans des endroits populaires de l’ouest et le sud du pays, tels que Geysir, Þingvellir et la lagune glaciaire Jökulsárlón.

Anna Mjöll Guðmundsdóttir, professeur adjoint d’études touristiques, estime que les résultats de l’enquête peuvent être utiles pour évaluer la capacité et la gestion durable des destinations touristiques, « parce qu’il est si important d’obtenir des impressions des touristes et avec un si grand échantillon, il y a de très bonnes données ».

« Une conservation et une concentration sur la nature beaucoup plus fortes sont nécessaires dans toutes les politiques », a-t-elle souligné.
.- Helsinki – Le ministre finlandais de l’Environnement, de l’énergie et du logement, Kimmo Tiilikainen, conduira la délégation de son pays durant la deuxième semaine de la 23ème Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP23), qui s’est ouverte lundi à Bonn, en Allemagne.

« Les émissions mondiales doivent diminuer sur les cinq prochaines années. Cela ne peut être atteint que si l’engagement mondial en faveur du climat reste fort. Ce que j’attends de Bonn, c’est la preuve d’un tel engagement, y compris des mesures concrètes pour rédiger les règles de mise en œuvre de l’Accord de Paris », a déclaré M. Tiilikainen, cité dans un communiqué.

Il a insisté sur l’importance du « leadership climatique » de l’UE maintenant que les États-Unis ont déclaré leur retrait de l’accord.

« La lutte contre le changement climatique est gagnée ou perdue dans les villes. En Finlande, les émissions provenant notamment du chauffage urbain et des transports doivent être réduites rapidement », a souligné le ministre.

« Nous devons faire en sorte que la volonté politique et l’esprit de Paris continuent de se manifester. Les détails de l’accord devraient être finalisés d’ici la fin de l’année, donc il n’y a pas de temps à perdre à Bonn », a fait observer de son côté Outi Honkatukia, négociateur en chef pour le changement climatique au ministère de l’Environnement, qui dirige la délégation finlandaise durant la première semaine de la COP 23 présidée par les Fidji.

L’accord de Paris est entré en vigueur il y a un an et a été ratifié par 169 parties. En Finlande, la stratégie nationale pour l’énergie et le climat a été adoptée en novembre 2016 et le plan de politique à moyen terme sur les changements climatiques jusqu’en 2030 dans le cadre de la loi sur les changements climatiques a été achevé cet automne. Helsinki a également fixé comme objectif d’être neutre en carbone d’ici 2045.

************************

.- Vilnius – Les Emirats arabes unis sont intéressés par l’expérience de la Lituanie dans les projets de gaz naturel liquéfié (GNL) à petite échelle, ainsi que dans les technologies innovantes de l’énergie solaire, a affirmé le ministre lituanien de l’Energie, Zygimantas Vaiciunas.

Le mémorandum signé entre la Lituanie et les Émirats arabes unis à Dubaï la semaine dernière facilite la coopération dans les domaines des énergies renouvelables et des économies d’énergie, a-t-il déclaré à la presse, ajoutant qu’il était encore trop tôt pour parler de contrats spécifiques.

« L’un des domaines est la production d’éléments solaires et de technologies connexes, tandis que le second concerne nos compétences dans le domaine du gaz naturel liquéfié, en particulier en ce qui concerne les opérations de GNL à petite échelle », a expliqué M. Vaiciunas.

Selon lui, les EAU extraient actuellement environ les deux tiers du gaz qu’ils utilisent et importent le tiers restant via des terminaux d’importation de GNL terrestres et maritimes.

« Ils voient en effet un potentiel en termes de gestion de projets à petite échelle et qu’ils pourraient éventuellement travailler avec l’opérateur lituanien de produits pétroliers et de terminaux méthaniers Klaipedos Nafta. Nous parlons de technologies et de compétences que nous avons développées et testées « , a relevé le ministre.

En outre, il a indiqué que les EAU cherchent à réduire les effets négatifs sur l’environnement et à s’intéresser à l’utilisation du GNL dans les transports lourds.

****************************

.- Oslo – La surveillance écologique menée par la Norvège fournit une preuve importante dans le dialogue avec les autorités russes afin de réduire les émissions polluantes de l’industrie dans les zones frontalières, a estimé l’Agence environnementale norvégienne.

La réduction des émissions offriront un meilleur environnement en Russie, où les problèmes de pollution sont supérieurs à la Norvège, a affirmé la directrice de l’Agence, Ellen Hambro, citée dans un communiqué, précisant que les émissions des fonderies russes continuent de polluer le comté frontalier de Finnmark.

« Les autorités norvégiennes suivent de près les développements dans les zones frontalières avec la Russie. La Direction de l’environnement collabore avec les autorités russes pour surveiller les émissions atmosphériques et nous nous rencontrons régulièrement pour comparer les résultats », a-t-elle expliqué.

Les données de mesure préliminaires de cette année montrent que la valeur limite de l’oxygène diurne pour le dioxyde de soufre n’a pas été dépassée dans le sud de Varanger. La valeur limite pour le bois a été dépassée une fois dans la vallée du Karp et deux fois à Svanvik.

« Les résultats peuvent être largement expliqués par la direction du vent, qui a transporté la pollution beaucoup plus qu’avant dans une direction autre que les région norvégiennes », explique le chercheur Tore Flatlandsmo Berglen.

« Il y a maintenant une demande croissante de nickel dans le monde entier, car c’est un composant important des batteries, en particulier pour les voitures électriques. Il est donc réaliste que la production russe de nickel se poursuive », a souligné l’Agence. Elle a jugé aussi nécessaire de continuer la collaboration étroite avec Moscou en vue de prendre des mesures concrète pour réduire les effets des émissions polluantes de cette industrie sur l’environnement des deux pays.

Voir Aussi