ActualitésPlus de 150 manifestations, seront organisées du 15 juin au 30 septembre, tout au long des 1300…

Actualités

05 Juin

Plus de 150 manifestations, seront organisées du 15 juin au 30 septembre, tout au long des 1300 kilomètres de la façade maritime de la Tunisie

Tunis – Plus de 150 manifestations de toute nature, seront organisées du 15 juin au 30 septembre, tout au long des 1300 kilomètres de la façade maritime de la Tunisie, dans le cadre de la grande manifestation « la Saison Bleue », dont la finalité est de rassembler de nombreuses initiatives ou manifestations mettant en valeur l’exceptionnel potentiel maritime du pays, ont indiqué lundi les organisateurs.

Portée par l’Alliance française, en partenariat avec l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES) et l’Association Notre Grand Bleu (Monastir), la Saison Bleue proposera, en quatre mois, un véritable circuit culturel, scientifique, économique et touristique, qui s’adressera directement, à plusieurs centaines de milliers de participants, et ce en passant par les ports, les marinas, les cités maritimes, les festivals, les plages et les îles de la Tunisie bleue.

Tous les sujets portés par la mer et l’économie bleue y seront abordés, sous toutes les formes, y compris les plus festives, pour faire de cet été « bleu jasmin », un évènement à forte valeur ajoutée de communication, tout en touchant aux activités de tourisme, loisirs balnéaires et sports nautiques, culture, défense et sécurité maritime, environnement, transport et commerce maritime, construction navale, infrastructures portuaires, pêche et aquaculture, énergies marines renouvelables…

L’objectif de cette manifestation est de proposer une nouvelle image aux touristes et les inciter à respecter un écosystème d’une inestimable valeur et d’encourager tous les acteurs de la mer, en Tunisie comme à l’international, à travailler de concert et à construire ensemble une véritable conscience citoyenne.

La Saison Bleue trouvera son point d’orgue fin septembre 2018, par l’organisation à Bizerte de la première édition du « Forum méditerranéen de la Mer ».

=====

Alger-. Les changements climatiques marquant l’Algérie à la fin de l’hiver et au début du printemps, sont à l’origine du recul notable de la population des hirondelles, cette année dans les wilayas du centre du pays, a indiqué, lundi, le président de l’Association des chasseurs d’Alger, Saoudi Mohamed.

Dans une déclaration à la presse, M. Saoudi a précisé que les membres de l’association, à travers les wilayas du centre, avaient soumis, à l’Association, des rapports faisant état d’un recul notable du nombre de la population des hirondelles, cette année, estimant que ce recul était le plus important depuis la disparition graduelle de ces oiseaux migrateurs depuis la saison de migration de 2015.

Il est probable que les changements climatiques que connaissent les wilayas du nord, notamment à la fin de l’hiver et au début de printemps, soient à l’origine de cette absence remarquable, avancent les adhérents de l’association. Les hirondelles qui migrent, habituellement, en Algérie, à partir du mois de janvier jusqu’au mois de mars, ne se sont pas acclimatées à ces changements, caractérisés notamment par les vagues de froid », souligne-t-on.

Des adhérents de l’association des chasseurs des wilayas de Blida, de Bouira, de Boumerdes, de Tizi Ouzou et d’Alger ont remarqué la disparition « quasi totale » de la population des hirondelles, auparavant estimée en centaines de milliers, mais elle est absente aujourd’hui dans les zones de leur migration », a ajouté le président de l’Association.

=====

-. Les projets de création des Centres d’enfouissement technique (CET) et la gestion des déchets en Algérie sont confrontés à plusieurs obstacles dont le principal est le refus affiché par les citoyens quant à l’implantation de tels centres dans leurs localités, selon le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables.

Le fait que les représentants du peuple ne jouent pas le rôle de médiateur pour l’incitation du citoyen à s’impliquer dans ces projets d’intérêt général entraine des accumulations qui impacteront et retarderont, pour plusieurs années, les projets programmés, souligne-t-on.

La même source déplore par ailleurs l’existence de plusieurs décharges sauvages que le même département œuvre à éradiquer dans les zones urbaines.

Voir Aussi