Pologne : Avancement du projet de construction d’une centrale nucléaire en Pologne (minisre)

Varsovie – Le ministre polonais de l’Energie Krzysztof Tchorzewski a fait état de l’avancement du projet de construction d’une centrale nucléaire en Pologne avec des critères stricts respectueux de l’environnement.

Le gouvernement est près de créer un modèle financier pour la réalisation de ce projet et recherche actuellement les mécanismes de financement, a dit le ministre, ajoutant que la Pologne doit investir dans une source d’énergie qui n’émet pas d’émissions.

Selon le site du ministère, Krzysztof Tchorzewski a indiqué que la construction de trois unités de la centrale nucléaire d’ici 2040 coûtera environ 75 milliards de zlotys (plus de 18,750 milliards d’euros), ajoutant que le première unité pourrait être lancée en 2030.

Il a souligné que la construction de la première centrale nucléaire sera financée à 100 % par des fonds polonais, considérant que les coûts de production d’électricité de la centrale nucléaire seront inférieurs à ceux dans les centrales au charbon.

Par ailleurs, voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Orientale pour la journée du lundi 22 janvier 2018

Autriche :

Le développement de la petite hydraulique en Autriche est encouragé par des avantages fiscaux et des tarifs d’achat garantis, par exemple 10 pc maximum de l’investissement pour des puissances allant jusqu’à 10 MW, plafonné à 400 euros/kWh.

La petite hydraulique ou hydroélectricité consiste à générer de l’électricité grâce à la force d’écoulement de l’eau en recourant à des équipements de petite capacité d’une puissance inférieure ou égale à 10 MW.

La petite hydraulique permet de produire de l’électricité à petite échelle. L’électricité produite peut être utilisée pour alimenter des sites énergétiquement isolés ou revendue à un réseau public de distribution.

Contrairement aux grandes centrales hydroélectriques, les PCH (petites centrales hydroélectriques) ont un impact très faible sur la biodiversité. Ces dernières, construites au fil de l’eau, ne nécessitent ni retenues, ni vidanges ponctuelles. Elles ne perturbent, par conséquent, ni l’hydrologie ni la biologie.

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Russie :

La capitale russe Moscou accueillera, le 26 janvier courant, l’un des plus grands festivals de la faune en Russie.

Le programme, organisé par les ministères des Ressources naturelles et de la Culture, l’Agence fédérale du tourisme, la Société géographique russe et le gouvernement de Moscou, comprend une exposition de photographies soigneusement sélectionnées montrant la diversité de la Russie ainsi que de nombreuses œuvres uniques représentant les réserves naturelles russes et les parcs nationaux.

Le programme comprend également la discussion de nombreux sujets sur l’environnement et la nature en Russie et les problèmes de leur préservation.

Il présentera un certain nombre de projets, y compris les phases finales des jeunes lauréats russes dans le concours de photographie de la faune, et la projection des meilleurs documentaires russes et des films sur la nature.
Kosovo :

Des experts pensent que le Kosovo ne peut pas produire son énergie sans recourir aux centrales de charbon qui ont un impact négatif avéré sur l’environnement et la santé des populations.

Dans une déclaration à l’agence de presse des Balkans, Agron Dida note que le Kosovo dispose d’importantes réserves de charbon mais qu’il n’a pas assez de ressources hydriques et autres pour promouvoir des productions propres à partir des énergies renouvelables.

Il indique que la production de l’électricité à partir des centrales hydrauliques ne représente que 4 pc dans ce petit pays des Balkans, ajoutant qu’à défaut de force suffisante de vent, il ne peut pas ériger des centrales éoliennes tout comme pour les centrales solaires en raison de leur coût.

A noter qu’une étude publiée en mars 2016 par l’Alliance pour la santé et l’environnement (HEAL), les centrales de charbon au Kosovo et d’autres pays des Balkans, souvent vétustes car héritées de la Yougoslavie communiste, sont responsables d’une facture sanitaire évaluée entre 2,9 et 8,5 milliards d’euros, au détriment des habitants de la région mais aussi d’autres pays européens, car les polluants voyagent, portés par les vents.

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Turquie :

Un centre commercial de la capitale turque (ANKAmall) va contribuer, lors des vacances scolaires d’hiver débutées samedi dernier, à familiariser les enfants et écoliers sur l’environnement afin de communier avec la nature.

Avec des événements amusants et instructifs pour les enfants, il leur présentera la nature grâce à son « école botanique », une zone thématique de 60 mètres carrés du centre, où ces derniers prendront connaissance des différentes plantes, du sol, de la plantation et de la récolte ainsi qu’à biner, élaguer et à fertiliser activement tout au long du programme.

Les participants découvriront également les serres afin de fournir l’environnement approprié pour les plantes. Et après, ils auront à peindre des pots de fleurs colorés, les ensemencer et avoir leurs propres plantes à en prendre soin.

Cet apprentissage sera réalisé de manière interactive avec des professionnels qui soutiendront la créativité et la collaboration des enfants permettra ainsi à ces derniers d’être informés sur enfants le monde vert et curatif des plantes.