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11 Jan

Pologne: Le Parlement approuvé des amendements concernant la réduction des émissions de dioxyde de carbone

Varsovie – Le Parlement polonais a annoncé que la Commission de l’environnement a approuvé les amendements adoptés par la Conférence de Doha sur le changement climatique concernant la réduction des émissions de dioxyde de carbone.

L’approbation de ces amendements par la commission de l’environnement au Parlement « reflète l’engagement de Varsovie à respecter les dispositions du Protocole de Kyoto et la réduction des émissions de dioxyde de carbone de 20 pc d’ici 2020.

Elle traduit aussi la détermination à donner la priorité à une politique environnementale efficace, à travers laquelle la Pologne aspire à contribuer à la mise en œuvre des décisions internationales visant la lutte contre la pollution, la préservation de la qualité de l’’air et la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) d’au moins 5 pc, indique-t-on de même source.

Selon la même source, la Pologne avait réduit les émissions de dioxyde de carbone de plus de 30 pc par rapport aux niveaux de 1990, en conformité avec les recommandations et les décisions des protocoles internationaux y afférents.

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Autriche :

En matière de politique environnementale, l’Autriche fait partie des pays européens qui se disent les plus concernés par la protection de l’environnement.

Ce pays alpin est soucieux de la protection des biotopes humides qui, dans le passé, avaient été fortement endommagés par des assèchements. C’est pourquoi les plus fragiles d’entre eux ayant une valeur écologique importante sont soumis aux dispositions de la Convention internationale de Ramsar pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

Cette convention, signée par les États lors d’une conférence internationale le 2 février 1971 à Ramsar en Iran et entrée en vigueur le 21 décembre 1975, s’assigne pour objectifs la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides par des actions locales, régionales et nationales et par la coopération internationale, en tant que contribution à la réalisation du développement durable dans le monde entier.

Et pour cause, les zones humides sont parmi les écosystèmes les plus divers et les plus productifs. Elles fournissent des services essentiels et toute notre eau douce. Toutefois, elles continuent d’être dégradées et transformées pour d’autres usages.

En conséquence, la Convention a adopté une large définition des zones humides comprenant tous les lacs et cours d’eau, les aquifères souterrains, les marécages et marais, les prairies humides, les tourbières, les oasis, les estuaires, les deltas et étendues intertidales, les mangroves et autres zones côtières, les récifs coralliens et tous les sites artificiels tels que les étangs de pisciculture, les rizières, les retenues et les marais salés.

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Grèce :

La commission européenne a publié une note sur l’application de l’accord de Paris (COP 21) dans les pays des Balkans occidentaux, destiné à accompagner les pays de cette région candidats à rejoindre l’Union européenne, à réussir une transition économique en phase avec les normes européennes en matière de respect de l’environnement et au niveau du volume fixé sur le plan de la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Les projets desdits pays dans le domaine des énergies renouvelables devront être soumis au plus tard à la Commission pour décider de leur financement et ce, pour un montant total d’environ deux millions d’euros.

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Turquie :

La Turquie a connu, en 2017, la pire sécheresse en 44 ans en raison d’une baisse substantielle des précipitations, a déclaré le ministre de l’Eau et des Forêts Veysel Eroglu.

« La Turquie, située dans une région semi-aride, n’est pas riche en eau. Et les niveaux de pluie ont considérablement diminué », selon M. Eroglu, relevant que c’est grâce aux barrages du pays que les autorités ont pu fournir de l’eau durant l’année écoulée, « la plus sèche des 44 dernières années ».

Le ministère des Forêts a entrepris des investissements de 158 milliards de livres turques (environ 42 milliards de dollars) au cours des 15 dernières années, correspondant à la construction de 7.200 nouvelles installations, dont 513 centrales hydroélectriques, selon Eroglu.

En 2017, 111 barrages, 38 étangs artificiels, 184 ouvrages d’irrigation, 28 installations d’eau potable, 147 installations de prévention des inondations, 14 groupes de zones de boisement et deux installations de météorologie ont été construits, a-t-il ajouté.

Toutefois, « même s’il y a eu une sécheresse les deux prochaines années, il n’y aura pas de pénurie d’eau à Istanbul » grâce au barrage Melen (Nord-Ouest) qui a une capacité de 1,77 milliard de mètres cubes par an, a-t-il déclaré.

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