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06 Mar

Près de 1,7 million d’enfants décèdent chaque année en raison de la pollution environnementale (Médias argentins)

Buenos Aires –  Près de 1,7 million d’enfants décèdent chaque année en raison de la pollution environnementale, rapportent les médias argentins en citant les derniers chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Plus d’un quart des décès d’enfants de moins de 5 ans est attribuable à la pollution de l’environnement, précisent les médias, en relevant que les risques environnementaux – pollution de l’air intérieur et extérieur, tabagisme passif, insalubrité de l’eau, manque de moyens d’assainissement et hygiène insuffisante – sont les principales causes de décès.

Selon l’OMS, la diarrhée, le paludisme et la pneumonie sont les principales causes de décès liés aux risques environnementaux.

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Une polémique a émergé récemment en Argentine suite à l’octroi d’une licence d’exploitation d’un site naturel et archéologique protégé à une société opérant dans le domaine de la métallurgie, rapportent les médias locaux.

Les organisations environnementales de la province de Santa Cruz ont saisi la justice pour annuler la licence d’exploitation autorisant la compagnie à s’adonner à ses activités dans la région de « Los Toldos » qui abrite la grotte de « Los Manos » et 80 sites historiques, précise la même source.

Voici le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud :

-Brésil :

Le Brésil prendra part à la réunion préparatoire à la conférence des Nations Unies sur les océans, qui se tiendra du 5 au 9 juin prochain à New York, a annoncé le ministère brésilien de l’environnement.

Cet événement international vise à rechercher un soutien pour la mise en œuvre globale de l’objectif 14 des objectifs de développement durable concernant la lutte contre les déchets marins, la conservation et l’utilisation durable des océans, des mers et des ressources marines.

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Pour célébrer le mois de l’eau et alerter sur la crise hydrique que connaît le pays, le ministère de l’environnement, l’Agence nationale de l’eau et les partenaires ont prévu une série d’activités tout au long du mois de mars.

Ainsi, l’ensemble de l’Esplanade des Ministères au centre de la capitale sera illuminé en bleu pour rappeler l’importance de l’eau, annonce le ministère brésilien de l’environnement, en relevant que d’autres événements auront lieu sur le lac Paranoa et des séminaires se tiendront pour célébrer le 20è anniversaire de la promulgation de la loi sur l’eau.

Selon le ministre de l’Environnement, Sarney Filho, « il est essentiel d’ériger la gestion de l’eau en tant qu’outil pour surmonter la crise de l’eau que connaît actuellement le pays afin d’assurer le bien-être de la population et de répondre aux besoins de développement socio-économique ».

En mars 2018, le Brésil accueillera le 8e Forum mondial de l’eau, le plus grand événement international sur l’eau à être organisé dans l’hémisphère sud. Cette rencontre sera axée sur les moyens de réaliser les objectifs de développement durable (ODD) liés aux ressources en eau et à la lutte contre les changements climatiques.

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La ville de Brasilia célébrera, le 25 mars prochain, l’heure de la terre, un acte symbolique lancé par le Fonds mondial pour la nature(WWF), qui consiste à éteindre les lumières pendant 60 minutes pour sensibiliser à la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.

A cette occasion, l’éclairage des monuments situés sur l’Esplanade des ministères sera éteint à 20h30, heure à laquelle commencera une balade nocturne à vélo autour de la zone.

-Chili :

Les médias chiliens rapportent que le réchauffement climatique a fait monter les températures à des niveaux jamais enregistrés de l’histoire de l’humanité, en précisant que les océans ont contribué à réduire l’impact de ce réchauffement.

Les changements climatiques et la pêche illégale menacent les ressources halieutiques dans les zones tropicales et au niveau des deux pôles, avertissent les médias locaux.

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