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21 Déc

La Russie appelle le Japon à interdire l’évacuation des déchets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima vers l’océan

Varsovie – La Russie a appelé le Japon à interdire l’évacuation des déchets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima vers l’océan, invoquant les préoccupations de Moscou concernant des informations de médias sur cette question.

Le ministère russe des Affaires étrangères a exprimé sa préoccupation sur les plans d’une société japonaise responsable de l’exploitation de la centrale de Fukushima, pour décharger vers l’océan un grand volume de déchets radioactifs accumulés à la suite de l’accident de mars 2011.

Il a appelé le gouvernement japonais à interdire le déversement l’eau contaminée par les radiations dans l’océan et à trouver des moyens sûrs pour traiter les déchets de la catastrophe de Fukushima, ajoutant que « si le Japon ne dispose pas des technologies nécessaires, il peut demander l’aide de la communauté internationale ».

En mars 2011, un tremblement de terre de magnitude 9 sur l’échelle de Richter a provoqué trois vagues de tsunami qui ont endommagé la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, provoquant la pire catastrophe nucléaire depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.

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Pologne :

Le gouvernement polonais a exprimé, mercredi, son appui à la décision de l’Union européenne de ne pas permettre aux centrales électriques au charbon de bénéficier d’un soutien financier.

La Pologne soutient cette décision bien qu’elle puisse affecter son industrie liée à l’utilisation du charbon, vu son objectif de « réduire la pollution atmosphérique, protéger l’environnement et la santé publique », notant que la décision européenne est conforme à la politique future de la Pologne, notamment lorsqu’il s’agit de centrales électriques dont les émissions dépassent 550 grammes de dioxyde de carbone par KW.

La Pologne a également déclaré que la décision de ne pas octroyer d’aide financière aux centrales électriques au charbon, à l’exception de celles ayant des contrats de cinq ans expirant avant 2030, « est logique et conforme à sa stratégie nationale à moyen terme ».

L’importance de la décision de l’Union européenne se traduit par un changement du fonctionnement du marché de l’énergie au niveau de l’Europe, l’accélération du développement des sources d’énergie renouvelables, la réduction progressive des émissions de dioxyde de carbone et la suppression du cofinancement des centrales à charbon.

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Balkans occidentaux :

Les pays des Balkans occidentaux (Bosnie-Herzégovine, Kosovo, république de Macédoine, Serbie et Monténégro) seront appelés à partir du 1er janvier prochain à réduire les émissions de gaz à effet de serre pour être en phase avec les normes européennes.

Et pour cause, le volume des rejets polluants des 16 centrales thermiques basées dans la région équivaut à celui des 296 centrales dans les pays membres de l’Union européenne.

Selon les rapports des organisations environnementales, la réduction de la pollution atmosphérique dans les pays des Balkans occidentaux pourrait sauver des milliers de vies et aussi réduire les dépenses de santé à hauteur de 2,624 milliards d’euros.

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Autriche :

Les zones aquifères s’étendent sur près d’un tiers du territoire autrichien. La quasi-totalité de l’eau potable consommée dans le pays est de l’eau souterraine, une situation unique en Europe.

En 2010, un programme spécial de surveillance a été lancé sur certains sites de contamination par les pesticides. Une attention particulière a été portée aux substances actives de pesticides et de leurs métabolites qui n’avaient pas été contrôlées auparavant.

Au total, 121 substances ont été contrôlées sur 201 sites. Sur 92 sites, soit 46 pc, les valeurs mesurées dépassaient les valeurs seuils pour au moins une substance. Sur 33 sites, plusieurs dépassements ont été relevés.

Sur les 121 substances contrôlées, 50 ont pu être détectées dans les eaux souterraines mais à des doses bien inférieures aux doses journalières acceptables définies pour l’eau potable.

Les types de contamination des eaux souterraines différaient souvent de manière significative et ont pu être corrélés aux usages agricoles. Les mesures effectuées dans les stations de surveillance des cours d’eau n’ont pas révélé de dépassement des normes actuelles de qualité de l’environnement mais plusieurs substances pour lesquelles aucune norme n’a encore été définie étaient présentes à des concentrations élevées.

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