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13 Fév

Thaïlande : Une multinationale prévoit d’investir 1,76 milliard de dollars pour installer des parcs éoliens

Bangkok  – La plus importante entreprise d’énergie renouvelable de Thaïlande, Superblock PCL, prévoit d’investir 1,76 milliard de dollars pour installer des parcs éoliens d’une capacité totale de 700 mégawatts au Vietnam, a indiqué récemment son président, Jormsup Lochaya, rapporte la presse locale.

Le coût de la première phase de l’investissement est estimé à 653,7 millions de dollars et comprendra trois plateformes côtières d’une capacité de 142 MW dans la province de Bac Lieu, 98 MW dans la province de Soc Trang et 100 MW dans la province de Ca Mau.

Les travaux de construction ont déjà été lancés et une exploitation commerciale de la production des parcs est prévue en 2020.

Par ailleurs, voici le bulletin de l’écologie de l’Asie-Océanie pour le mardi 13 février 2018 :

Thaïlande-pollution

Les autorités thaïlandaises ont décidé de recourir aux techniques de l’insémination artificielle des nuages afin de provoquer des pluies sur la capitale Bangkok dans l’espoir de dissiper le smog qui étouffe la ville depuis début février.

Des avions d’insémination artificielle des nuages sillonnent les cieux au-dessus de la métropole depuis dimanche, a annoncé, lundi, le ministère thaïlandais de l’agriculture qui précise qu’une équipe spécialisée s’emploie à provoquer des pluies à partir des passages nuageux sur la capitale.

Selon le département de contrôle de la qualité de l’air, le taux de la pollution atmosphérique (indice PM2.5 mesurant la concentration des particules fines) a atteint ces derniers jours des pics de 150 microgrammes/M3 dans plusieurs grandes villes comme Bangkok, Lampang, Chiang Mai et Khon Kaen. Le seuil de tolérance au PM2.5 est fixé à 25 microgrammes/M3 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les experts du département attribuent ce taux de pollution record à la fin de la saison des pluies et l’absence des vents qui ont causé une stagnation de l’air favorisant une forte concentration de la pollution issue de la circulation urbaine et de deux centrales à charbon situés à l’est de la capitale.

Indonésie-flore

Des plantes cultivés en Indonésie pourraient contribuer à la régénération des sols dégradés par l’activité humaine en raison de leur grande capacité d’extraire et de stocker le nickel, le zinc ou encore l’arsenic, relèvent les médias locaux.

Découvertes dans les années 30, ces plantes dépolluantes qualifiées « d’hyperaccumulatrices » ont longtemps été rangées dans l’étagère des curiosités botaniques.

Elles sont capables de prélever, par leurs racines, les métaux contenus dans les sols pour les emmagasiner dans les feuilles. Elles ont la capacité d’absorber jusqu’à mille fois plus de métaux que les autres plantes.

Nouvelle-Zélande-oiseaux

Les amoureux de la faune sauvage en Nouvelle-Zélande pleurent la mort de Nigel, le fou austral surnommé «l’oiseau le plus solitaire au monde» en raison de l’absence de tout congénère sur l’île de Mana, au large de la côte de Wellington, où il avait élu domicile.

L’oiseau marin a passé plusieurs années parmi une colonie de faux oiseaux en béton installée par les défenseurs de l’environnement pour attirer les oiseaux sauvages.

Le volatile solitaire avait été aperçu en train de nicher avec une des statues et même de tenter des accouplements.

Chine-satellite

L’Université de Beijing (BNU) et la China Great Wall Industry Corporation (CGWIC) ont signé un accord de coopération et publié un plan pour développer un microsatellite d’observation polaire BNU-1.

Le microsatellite BNU-1 sera conjointement développé par la BNU, la CGWIC et la Shenzhen Aerospace Dongfanghong Development Ltd. Il sera le premier petit satellite destiné à  des expériences scientifiques menées par une université chinoise en utilisant la télédétection pour étudier le climat polaire et surveiller l’environnement.

Le BNU-1, pesant 20 kg, surveillera l’Antarctique et l’Arctique une fois tous les deux jours et capturera des données de télédétection multi-spectrale de haute qualité et à  haute fréquence dans les régions polaires. Il fournira aussi un service de données fiables aux navires naviguant dans les zones glacées.

Le lancement du satellite est prévu en décembre prochain.

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