ActualitésTunisie: le CITET présentera, les 12 et 13 avril 2018, sa vision de l’avenir à l’horizon 2030

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09 Avr

Tunisie: le CITET présentera, les 12 et 13 avril 2018, sa vision de l’avenir à l’horizon 2030

Tunis – Le Centre international des technologies de l’environnement de Tunis (CITET) a annoncé, récemment, qu’il présentera, les 12 et 13 avril 2018, sa vision de l’avenir à l’horizon 2030, dans le cadre de son action de repositionnement de l’environnement aux plans national et international.

Le CITET, créé en 1996, s’est engagé à développer ses capacités nationales dans le domaine de la maîtrise des technologies environnementales aux fins de contribuer au développement durable en Tunisie, dans le monde arabe et dans la région de la Méditerrané, ainsi qu’à mettre à niveau au plan environnemental certaines entreprises, à travers l’offre d’aides techniques.

A ce titre, le Centre organisera du 12 au 13 avril les journées de l’Eco-innovation qui examineront certains sujets relatifs aux perspectives de l’hôtellerie durable et aux enjeux en matière de durabilité de l’hôtellerie en Tunisie. Ces journées seront, aussi, l’occasion de présenter les activités du CITET au service des établissements hôteliers.

Les participants auront à examiner la question du « rôle des médias et de la société civile dans la promotion de l’éco-innovation technologique » et le « rôle de l’éco-innovation dans la promotion du développement durable ». Un espace dédié aux différentes structures du CITET et ses services sera organisé au cours de ces journées, tels que le transfert de la technologie et l’accompagnement technique, la formation, l’analyse, les services de la communication ainsi que la coopération avec les institutions internationales. Le CITET est actif à travers un réseau de relations nationales, composé des structures publiques et privées, universités et centres de recherches ainsi que des organisations non gouvernementales et reçoit un appui étranger de la part des agences internationales, telles que l’Agence allemande de coopération pour le développement (GIZ) et L’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).

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-. « La station de dessalement de l’eau de mer de Djerba entrera, fin avril courant, en phase d’expérimentation ou de marche semi-industrielle. Le démarrage effectif de la distribution de l’eau potable aux citoyens est prévu pour la mi-mai », a annoncé le ministre tunisien de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, Samir Taieb, en visite dans le gouvernorat de Médenine.

Le ministre, a par ailleurs, affirmé que cette station sera une première en Tunisie, en attendant les stations de Zarat (Gabès), Sfax et Sousse, ajoutant qu’elle permettra « de passer la saison estivale sans problèmes d’approvisionnement en eau potable et dans des conditions meilleures que celles des étés derniers ».

Le PDG de la SONEDE, Mosbah Helali, a fait savoir que la station de Djerba permettra de produire 50.000 mètres cubes par jour extensible à 75.000 mètres cubes, ainsi que de couvrir les besoins de Djerba et Zarzis et d’améliorer le système hydraulique dans le sud-est.

« Les travaux de réalisation de la station ont pris fin, il ne reste plus qu’à mettre en place les mécanismes électroniques de gestion et de régulation », a t-il précisé.

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Alger -. Des organisations communautaires se sont associées au gouvernement algérien afin d’entamer une action collective visant à apporter des solutions aux problèmes environnementaux d’Alger, en lançant une initiative destinée à améliorer la durabilité écologique et la gestion des déchets dans la capitale algérienne, a indiqué Oxford Business Groupe (OBG) dans un document publié sur son site web.

Début février, l’association à but non lucratif algérienne SIDRA avait lancé, en collaboration avec le ministère de l’Environnement et des énergies renouvelables et l’Agence belge de Développement, le projet Ecodzair, avec pour objectif d’accroître la coopération entre la wilaya d’Alger et les groupes de la société civile dans le domaine environnemental, indique-t-on. Dans le cadre de cette initiative, dix associations spécialisées dans les questions environnementales proposeront des ateliers afin de renforcer les capacités existantes de la ville et de faire participer la société civile locale à la protection de l’espace public en réduisant les décharges sauvages (ou illégales) et d’autres types de pollution.

SIDRA a profité du lancement de février pour signer un accord de partenariat avec l’APC de Belouizdad où elle mettra en place sa première campagne de sensibilisation. L’annonce de l’initiative Ecodzair a été suivie mi-février de la mise sur pied d’un programme pilote de recyclage auquel participent 20 hôtels. Le programme, issu d’un accord entre les hôtels, le ministère du Tourisme et de l’Artisanat, et l’Entreprise Publique de Gestion des Centres d’Enfouissement Technique, permettra à ses participants de dégager des revenus supplémentaires grâce au recyclage des déchets. Une fois le programme pilote achevé, tous les hôtels, établissements touristiques et restaurants classés participeront à cette initiative de développement durable, souligne-t-on de même source.

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– Plus de 150 participants, parmi eux des membres de la conservation internationale des jardins botaniques (BGCI) et de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), ont pris part, dimanche, à la conférence internationale sur le jardin du Hamma d’Alger, ont annoncé les services de la wilaya d’Alger.

Cette conférence internationale sur le jardin du Hamma d’Alger, une première en Algérie, à laquelle ont été conviés des experts de renommée mondiale dans le domaine de la botanique et de la biodiversité ainsi que des membres du gouvernement, est l’occasion propice pour annoncer le jardin d’Essai (Hamma) comme « jardin botanique du monde » et permettre ainsi son « classement par le réseau international des jardins botanique », a précisé la même source.

Abdelkrim Boulahia, membre du conseil scientifique et directeur du jardin du Hamma, a expliqué que l’Algérie n’a pas adhéré à la Conservation internationale des jardins botaniques, comme elle n’a pas été classée par cette dernière, d’où, a-t-il souligné, l’intérêt de cette conférence internationale sur le jardin d’Essai qui « va permettre de jeter la lumière sur le grand potentiel et les richesses botaniques du Jardin lui permettant d’être élevé au rang des jardins du monde et aussi à un classement adéquat ».
« Quelque soit le classement obtenu par le jardin, ça sera une satisfaction et une motivation pour le conseil scientifique ainsi que le staff technique du jardin pour redoubler leurs efforts, afin d’améliorer à chaque fois ce classement », a-t-il relevé. Pour atteindre cet objectif, des experts internationaux originaires d’Espagne, de France, du Royaume Unis et d’Italie ont été conviés à cette conférence pour voir de près les espèces botaniques du jardin d’Essai, parmi lesquelles figurent des espèces rares.

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