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03 Avr

Turquie : Quelque 4.528 unités vendues sur le marché de l’automobile électrique en Turquie l’an dernier

Varsovie – Quelque 4.528 unités ont été vendues sur le marché de l’automobile électrique en Turquie l’an dernier, dont 4.451 hybrides et 77 véhicules électriques à 100 pc, a indiqué la plate-forme turque des voitures électriques et hybrides (TEHAD).

Selon TEHAD, l’année 2017 a été «l’année d’or» pour les véhicules hybrides, le C-HR de Toyota, produit en Turquie, a représenté 92 pc des ventes totales des hybrides (3.381 unités), suivi de l’autre modèle du constructeur, Yaris, avec 163 unités commercialisées.

Les véhicules 100 pc électriques, dont les ventes connaissent une croissance exponentielle chaque année en Europe, aux Etats-Unis et en Chine, ne suscitent pas assez d’intérêt en Turquie avec seulement 77 unités vendues en 2017 mais en progression par rapport aux 44 unités de 2016.

Pour TEHAD, la tendance à la hausse se poursuivra de manière inévitable, estimant qu’en 2025, quatre véhicules sur dix seront électriques. Pour satisfaire la demande pour ces voitures, elle a appelé à davantage d’investissement dans la technologie automobile et les batteries tout en accordant une importance stratégique à la technologie des batteries au lithium et au stockage d’énergie.

Elle a, en outre, invité à ce que la taxe sur les véhicules à moteur, qui est de zéro dans les véhicules électriques, soit appliquée aux véhicules hybrides de la même manière.

Par ailleuus, voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Orientale pour la journée du mardi 03 avril 2018

Pologne :

Le gouvernement polonais a décidé d’adopter une nouvelle loi portant sur l’interdiction de l’utilisation de la musique forte dans les moyens de transports publics et privés, en tant que l’une des formes de pollution qui affectent les zones urbaines.

La nouvelle loi, entrée en vigueur temporairement à la fin de la semaine dernière, avant d’être appliquée officiellement en mai prochain, indique que la nuisance par le bruit intense et la musique forte dans les moyens de transport engendrent non seulement une gêne pour les gens, mais constitue aussi une forme de pollution nocive pour les écosystèmes.

Le montant des amendes pour les auteurs de nuisance sonore peut aller de 500 zlotys (plus de 125 euros) à 9600 Zlotys (plus de 2400 euros), selon la gravité de l’infraction commise.

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Autriche :

En Autriche, le développement durable se pratique au quotidien : tri sélectif, recyclage des déchets, gestion de l’eau…

D’ici 2020, la part des énergies renouvelables dans la consommation devrait atteindre 34 pc. Plusieurs vallées ont fait du développement durable leur mode de vie: on s’y chauffe aux copeaux de bois et aux panneaux solaires. Des stations de sports d’hiver ont mis en œuvre des solutions innovantes pour limiter notre impact sur l’environnement : elles jouent la carte de la mobilité douce.

En accord avec la nature, les hôteliers, ceux des régions alpines en particulier, sont de plus en plus sensibles à la question du respect des équilibres naturels. Beaucoup d’entre eux privilégient les matériaux de construction locaux et les produits du terroir, proposent à leurs hôtes des aliments bio et des activités en harmonie avec la nature : des  »sorties découverte », au calme, loin du stress, du bruit et de la pollution… Les plus exemplaires en la matière se voient décerner un label récompensant leurs efforts en faveur de la protection de l’environnement et de la promotion de l’écotourisme.

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Grèce :

Dans une déclaration à l’agence de presse grecque, l’astrophysicien grec Christos Zerefos a expliqué les épais nuages de poussières qui ont enveloppé durant la dernière semaine de mars dernier l’île de crête par les effets du changement climatique, mettant en garde contre la multiplication de ce phénomène lors des années à venir comme cela est le cas dans d’autres régions de la Méditerranée.

Le scientifique a, cependant, assuré que ce nuage de poussières ne contient pas de particules chimiques pouvant être nocifs à la santé de l’homme.
Russie :

Le directeur de l’Institut de recherches médicales et vitales de l’Académie des sciences de Russie, Oleg Orlov, a révélé la possibilité d’une augmentation des radiations pour les membres d’équipage des vols habités qui seront lancés sur la Lune.

« Les tâches de l’astronaute sont entourées de grands risques », a déclaré Orlov, indiquant que « le facteur de radiation n’est pas la seule menace pour la santé, mais l’un des plus importants ».

Les astronautes seront, sans doute, exposés lors des longues missions spatiales sur la Lune au risque de radiation aux ions lourds. Mais à ce jour, ce risque reste, en théorie, dans les limites autorisées.

L’académicien russe a également souligné la nécessité de poursuivre la recherche scientifique visant à découvrir d’autres dangers environnementaux susceptibles d’empêcher les astronautes d’accomplir leurs missions en orbite et sur la Lune.

Il existe plus d’un moyen de protection pour les astronautes contre les radiations accrues, y compris les méthodes médicales et physiques, et même l’utilisation de robots de toutes sortes, a-t-il noté, invitant à la conjugaison des efforts internationaux pour empêcher l’exposition des participants à de futures missions spatiales à des risques de radiations ionisantes susceptibles de nuire à leur santé.

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