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03 Avr

Vestas reçoit une commande ferme et inconditionnelle de MidAmerican Energy Company pour 46 turbines V110-2.0 MW pour le projet Wind XI

Copenhague – Le fabricant danois des éoliennes Vestas a annoncé avoir reçu une commande ferme et inconditionnelle de MidAmerican Energy Company, filiale de Berkshire Hathaway Energy, pour 46 turbines V110-2.0 MW pour le projet Wind XI.

La commande inclut la fourniture et la mise en service des éoliennes ainsi, qu’un contrat de service de cinq ans, l’ensemble complet de services de Vestas qui maximise la disponibilité et la production d’énergie.

Les turbines seront fabriquées dans les usines de Vestas au Colorado et la livraison débutera au quatrième trimestre 2018.

La grande majorité des principaux composants éoliens étant d’origine locale, la fabrication d’éoliennes est un important moteur de croissance pour l’industrie américaine.

En 2017, Vestas a dépensé plus de 1,4 milliard de dollars dans sa chaîne d’approvisionnement basée aux États-Unis pour soutenir la production, le transport et l’exploitation des éoliennes.

« Le projet historique Wind XI exploitera l’énergie éolienne à faible coût pour les clients de MidAmerican Energy, tout en améliorant la fiabilité et la résilience du réseau. Vestas est fier de livrer sa technologie de pointe dans ce projet qui générera des centaines de millions de dollars en avantages économiques, y compris les paiements de location, les paiements d’impôts et les emplois sécurisés à long terme », a déclaré Chris Brown, président de la division des ventes et services de Vestas aux États-Unis et au Canada.

MidAmerican Energy est le plus important propriétaire d’énergie éolienne réglementée des États-Unis. Lorsqu’il sera pleinement opérationnel, le projet Wind XI fera en sorte que le service public génère environ 90% de sa consommation d’énergie éolienne au détail.

Le projet Wind XI comprend plusieurs sites dans l’Iowa qui seront mis en service entre 2017 et 2019. Les prises de commandes futures potentielles dans le cadre de l’accord devraient être des livraisons partielles au titre du contrat-cadre.

Avec plus de 40 GW installés dans 45 pays sur six continents depuis ses débuts, la plate-forme de 2 MW de Vestas est la plate-forme la plus largement installée dans l’industrie.

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.- Stockholm- Des vétérinaires et des gardiens du parc animalier de Kolmården (centre de la Suède) ont radiographié l’une des girafes du zoo, devenant ainsi le premier pays en Scandinavie à effectuer ce type d’examen.

La girafe, Garp, a été entraînée pendant plusieurs mois avant de subir le test, qui consistait en une radiographie de sa mâchoire.

Les animaux sauvages vivants tels que les girafes ne sont généralement pas capables de rester immobiles dans la mesure où des images radiographiques précises doivent être prises.

Mais il y a plusieurs avantages scientifiques à l’essai, ainsi qu’une réduction des risques associés à la tranquillisation d’une grosse bête de la taille d’une girafe.

« Les enquêtes et les traitements qui peuvent être effectués sur des animaux conscients qui coopèrent avec les gardiens du zoo réduisent le risque de stress et de blessures qui peuvent survenir en association avec la tranquillisation », a déclaré Bim Boijsen, vétérinaire à Kolmården.

« Former les animaux pour subir des tests sanguins, des médicaments et des rayons X contribue à accroître la sécurité des animaux, ainsi que celle des vétérinaires et des gardiens de zoo », a-t-il ajouté.

Le zoo souhaiterait maintenant que les traitements aux rayons X deviendront une partie importante des options de soins préventifs pour ses animaux..- L’intérêt pour les voitures électriques suédoises utilisées est en pleine expansion dans la Norvège voisine, mais ce trend pourrait signifier que la conversion vers un transport privé plus propre en Suède pourrait prendre plus de temps, a prévenu l’organisation industrielle « Bil Sweden ».

Près de la moitié de toutes les voitures électriques d’occasion exportées de Suède en 2016 étaient destinées à la Norvège.

Ce chiffre était encore plus élevé pour les véhicules hybrides. Les deux tiers des moteurs usagés de ce type ont trouvé leur place dans des garages en Norvège, selon les chiffres de l’autorité suédoise d’analyse du trafic Trafikanalys, qui s’attend à ce que la tendance se poursuive.

Par rapport aux exportations totales de voitures d’occasion, qui ont également augmenté de manière significative ces dernières années, le commerce des voitures électriques usagées reste faible.

En 2016, environ 660 véhicules hybrides et 100 véhicules électriques ont fait la traversée pour se réinscrire en Norvège.

Bil Sweden affirme que la tendance est préoccupante, malgré les chiffres relativement faibles.

« C’est un problème évident, car ces voitures sont importantes pour atteindre les objectifs climatiques que la Suède s’est fixés », a déclaré le PDG Mattias Bergman.

L’association suédoise des propriétaires des voitures électriques a également déclaré avoir noté la tendance.

« Nous avons des membres qui se sont vu refuser des baux sur des voitures électriques parce qu’ils ont acheté des concessionnaires norvégiens », a déclaré le porte-parole de l’association, Magnus Johansson.

L’intérêt norvégien pour les véhicules électriques s’applique également aux nouveaux modèles, avec plus de la moitié des nouvelles voitures immatriculées en Norvège l’année dernière soit des modèles électriques ou hybrides.

Les subventions élevées accordées aux acheteurs de voitures électriques, les incitations fiscales et les règles permettant aux conducteurs de véhicules électriques d’éviter les péages sont des facteurs qui contribuent à cette tendance.

Bergman a déclaré que des mesures de ce type seraient également bénéfiques pour le marché suédois des voitures électriques.

« Pour réaliser une flotte de véhicules plus propre en Suède, nous aurons besoin de voitures électriques et hybrides pour tous les groupes de clients. Afin de garder les voitures d’occasion dans le pays, de meilleures règles sont nécessaires pour leur utilisation, et pas seulement pour les nouveaux modèles. C’est la seule façon d’atteindre une masse critique de voitures électriques et hybrides en Suède », a déclaré M. Bergman.

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.- Tallinn – EG Ehitus AS, une filiale de l’entreprise estonienne de gaz naturel et d’électricité Eesti Gaas, construira la partie en surface de Balticconnector, un gazoduc sous la Baltique reliant la Finlande à l’Estonie.

D’une longueur de 55 kilomètres, cette partie doit être achevée en un an et demi, et la construction coûtera 43,4 millions d’euros, hors TVA, a indiqué lundi Eesti Gaas.

« Pour nous, il s’agit d’un projet de grande envergure et diversifié avec une grande responsabilité, mais en même temps c’est une reconnaissance que nous pouvons contribuer au plus grand projet de gaz dans un avenir proche », a déclaré Ants Noot. Il a ajouté que l’entreprise dispose des meilleures capacités et compétences sur le marché pour mener à bien le projet et à temps.

« Les travaux de conception se termineront à la fin de cette année, mais nous avons divisé la conception en étapes, afin que nous puissions commencer les travaux de construction en août ou septembre », a déclaré le PDG d’EG Ehitus, Ahto Aruväli.

Il a ajouté que d’ici la fin de l’été 2019, la partie estonienne du gazoduc doit être prêt, ce qui signifie qu’il devrait être possible de transporter du gaz naturel du réseau estonien vers le réseau finlandais.
« C’est le plus grand projet de construction d’un réseau de gaziers après le rétablissement de l’indépendance de l’Estonie », a déclaré Taavi Veskimägi, PDG du gestionnaire de réseau de transport Elering.

Après cela, la procédure d’acceptation et de formation commencera et durera de deux à trois mois. La livraison finale des travaux est prévue en octobre 2019.

Balticconnector, qui devrait être achevé d’ici à 2020, vise à relier la Finlande au reste du marché énergétique européen afin de réduire sa dépendance de la Russie, actuellement son unique fournisseur en gaz.

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.- Vilnius – Le groupe lituanien Achema Group a annoncé avoir achevé le processus d’acquisition de plusieurs parcs éoliens en République tchèque et en Croatie, dans le cadre de sa stratégie visant la promotion des énergies renouvelables.

L’électricité produite par ces éoliennes sera vendue aux opérateurs de réseaux d’électricité des deux pays. L’achat des éoliennes a été finalisé par la société Renerga et financé par SEB Bank et un montant significatif a été investi par le groupe Achema lui-même.

« L’énergie renouvelable est l’une des orientations stratégiques du Groupe et, pour atteindre nos objectifs, nous recherchons constamment des opportunités d’investissement intéressantes, aussi bien en Lituanie qu’à l’étranger. Les pays que nous avons sélectionnés pour cet investissement ciblé avaient déjà mis en œuvre des plans de développement de l’énergie éolienne », a déclaré Lidija Lubienė, présidente du groupe Achema, citée dans un communiqué.

Elle a expliqué que ces pays ont un environnement d’investissement et d’affaires clair et un système de soutien transparent.

« De plus, la qualité des projets est pleinement en ligne avec nos attentes. À mesure que le développement des parcs éoliens en Lituanie s’est arrêté, nous sommes encouragés à rechercher des opportunités d’investissement à l’étranger. En dehors de cela, la stratégie énergétique en Lituanie n’a pas encore été approuvée et les environnements d’affaires et d’investissement sont instables. Nous ne voyons pas ici de perspectives à long terme dans le secteur », a-t-elle estimé.

« En tant que l’un des principaux bailleurs de fonds de l’énergie éolienne en Lituanie, nous remarquons une augmentation significative de la consommation d’électricité générée par les sources d’énergie renouvelables. En 2016, un dixième de l’électricité totale consommée en Lituanie a été généré par des éoliennes », a relevé pour sa part Vilius Juzikis, membre du conseil d’administration et directeur de la division Corporate Banking de SEB Bank.

Évidemment, le prix de l’électricité ainsi produite diminuera dans le futur grâce au développement des technologies éoliennes et à leur utilisation croissante », a-t-il dit.

Le parc éolien acquis par le Groupe en Croatie offre une puissance installée de 42 MW. En outre, cet achat comprend une infrastructure prête à être développée et se trouve à seulement 45 km du port de Zadar. Le parc éolien a été créé il y a trois ans et se compose de 14 éoliennes fournies par le fabricant danois Vestas.

Le parc éolien en Croatie constitue environ un dixième de la capacité du marché éolien du pays (environ 400 MW).

Un grand nombre d’investisseurs financiers et stratégiques étrangers participent au secteur de l’énergie éolienne en Croatie « en raison de ses formes de subventions favorables, de ses perspectives d’intégration à l’UE et ses vents forts et réguliers », a ajouté la même source.

 

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