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04 Juin

Autriche: La version finale de l’équipement de 100.000 toits avec des panneaux photovoltaïques sera présentée dans les prochains jours

Varsovie –  La version finale de la nouvelle stratégie autrichienne pour le climat sera présentée dans les prochains jours avant d’entrer en vigueur. Le programme insiste sur l’e-mobilité‚ l’équipement de 100.000 toits avec des panneaux photovoltaïques et l’adaptation thermique de bâtiments, avec pour objectif d’abandonner le chauffage au pétrole.

Selon la ministre du développement durable et du tourisme, Elisabeth Köstinger (ÖVP-parti conservateur), qui en a fait dernièrement l’annonce, l’un des éléments clés de cette stratégie est la rénovation et l’isolation thermique des bâtiments.

En effet, le chauffage des bâtiments et le chauffage de l’eau sont responsables de 16 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur. Dans le budget actuel, plus de 70 millions d’euros sont dédiés à cet objectif, a rappelé Mme Köstinger qui est également en charge de l’agriculture.

Voici le Bulletin de l’écologie de l’Europe orientale

Pologne :

Certaines régions de Pologne en particulier du centre, connaissent l’arrivée de cigognes noires, qui habituellement, ne se  trouvent pas dans ces zones qu’il s’agisse d’oiseaux migrateurs ou sédentaires, un phénomène que les scientifiques expliquent par le changement climatique.

Selon des scientifiques, cités par les médias polonais en fin de semaine dernière, cette espèce de Cigognes passe les saisons de printemps et d’été et une partie de l’automne dans le sud de la Pologne, mais le changement climatique, le manque de précipitations et la sécheresse ont contraint ces oiseaux à se déplacer vers le centre et le nord du pays.

Selon les experts de l’environnement polonais, les Cigognes noires (Ciconia nigra) nécessitent une attention particulière, d’où l’importance d’un programme scientifique visant à préserver cette espèce d’oiseaux rares au niveau de l’Europe centrale, y compris la Pologne, où leur nombre est estimé à 1200 couples seulement.

Grèce :

Selon le dernier rapport annuel de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) et de la Commission européenne, la quasi-totalité des 21.801 sites de baignade contrôlés l’an dernier dans toute l’Europe, dont 21.509 situés dans les 28 États membres de l’Union (soit 95,9 %), satisfaisaient aux exigences minimales de qualité prévues par les règles de l’Union. La Grèce se positionne au quatrième rang, indique le rapport qui relève que l’Albanie et la Suisse ont également contrôlé leurs 292 sites de baignade et ont donné des informations sur la qualité de l’eau.

Les résultats spécifiques des contrôles ont indiqué une légère baisse du nombre de sites de l’Union respectant les exigences les plus élevées en matière de qualité (excellente) et les exigences minimales de qualité fixées par la directive de l’Union européenne sur les eaux de baignade. Le pourcentage de sites dont la qualité des eaux de baignade est qualifiée d »’excellente » dans toute l’Europe a légèrement diminué, passant de 85,5 % en 2016 à 85 % l’année dernière.

De même, le pourcentage de ceux dont la qualité de l’eau a été jugée  »suffisante » est passé de 96,3 % à 96,0 %. Cette légère baisse était principalement due à l’effet des pluies d’été sur les résultats des tests ainsi qu’aux changements au niveau de la méthode d’analyse en Roumanie et en Suède.

Le pourcentage de sites dont la qualité des eaux de baignade a été globalement évaluée  »insuffisante » est resté pratiquement inchangé depuis 2016 dans toute l’Union, en Albanie et en Suisse, passant de 1,5 % en 2016 à 1,4 % en 2017.

Russie :

La pollution de la Volga, plus grand fleuve d’Europe, reste aujourd’hui l’un des problèmes environnementaux les plus pressants de la Russie. D’où, le lancement d’un vaste programme visant à préserver les ressources de ce fleuve, supervisé par le ministère des ressources naturelles et de l’environnement.

La création d’une succession de bassins artificiels le long de la Volga a entraîné le développement d’industries gourmandes en eau et nocives pour l’environnement.

Leurs eaux usées constituent la principale cause de pollution dans la zone. Le tiers des eaux usées de Russie sont déversées dans bassin de la Volga, selon les études des scientifiques.

Les eaux de la Volga sont principalement contaminées par des substances organiques à acidification élevée, qui entrent en décomposition, absorbant l’oxygène de l’eau sans en laisser pour la respiration des poissons.

 

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