InitiativesFrance: des vétérinaires appellent à interdire l’utilisation des animaux sauvages dans les cirques

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07 Mai

France: des vétérinaires appellent à interdire l’utilisation des animaux sauvages dans les cirques

Bruxelles – Une centaine de vétérinaires français ont envoyé une lettre au ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot pour l’appeler à interdire les cirques utilisant des animaux sauvages en France, attestant de la détresse des animaux captifs dans ces exploitations itinérantes, où ces êtres sensibles sont détenus à vie, subissent un dressage violent et des conditions de vie frustrantes et incompatibles avec les besoins d’espèces sauvages.

«Nous, vétérinaires exerçant en France, nous souhaitons vous apporter notre avis de professionnels sur la condition des animaux captifs dans les établissements itinérants, », lit-on dans cette lettre publiée par l’Association Pour une Ethique dans le traitement des animaux (PETA).

«Celui-ci est très clair : la détention, le transport et le dressage des animaux utilisés dans les cirques infligent à ces êtres sensibles des restrictions comportementales, sociales et physiques et donc de la souffrance. », ajoutent ces vétérinaires.

Ils rappellent par ailleurs que la Fédération des vétérinaires d’Europe avertit que « les besoins des mammifères sauvages ne peuvent être satisfaits dans un cirque itinérant, en particulier quant aux conditions de vie et à la possibilité d’exprimer des comportements normaux ».

Voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Occidentale pour la journée du lundi 07 mai 2018:

– Bruxelles a décroché la 27e place du palmarès des villes les plus vertes publié récemment par le site de réservation de vacances TravelBird, avec 23% d’espaces verts.

TravelBird a analysé 50 villes de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) à travers plusieurs critères: les espaces naturels, les espaces verts créés par l’homme et les espaces agricoles.

A Bruxelles, 12,8% des espaces verts sont composés de bois et 6% de parcs.

Le site a également dressé un classement tenant compte du nombre de mètres carrés de végétation par habitant. Dans ce classement, Bruxelles arrive 39e avec 19,61 m2 d’espace vert par résident, devancée par Anvers (33e avec 36 m2/habitant).

Reykjavik (410 m2), Auckland (357 m2), Bratislava (333 m2) et Sydney (236 m2) arrivent en tête, tandis qu’Athènes (6,45 m2), Istanbul (5 m2) et Tokyo (4 m2) clôturent le palmarès.

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Genève, – Les émissions suisses de gaz à effet de serre, calculées en termes d’empreinte, se sont élevées en 2015 à 116 millions de tonnes d’équivalents CO2, selon les données de l’Office fédéral de la statistique (OFS).

Les gaz émis à l’étranger, soit quelque 76 millions de tonnes d’équivalents CO2, représentent près des deux tiers de l’empreinte totale de la Suisse.

L’empreinte gaz à effet de serre est la quantité totale émise à l’étranger et en Suisse pour satisfaire la demande finale de biens et de services du pays. L’inventaire des gaz, lui, est établi dans le cadre du protocole de Kyoto et ne prend en compte que ceux émis en Suisse.

L’empreinte et les émissions intérieures ont évolué différemment au cours du temps: l’empreinte a augmenté de 7% entre 2008 et 2015 pour atteindre 116,2 millions de tonnes d’équivalents CO2, soit 14 tonnes par habitant.

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-. Des scientifiques suisses ont exclu les risques d’inondations en raison de l’importante fonte de neiges observée depuis le début de l’année à cause des températures élevées.

« Il n’y a pas de risque pour l’instant, ni pour les jours à venir », ont assuré dernièrement des experts du département de l’environnement et de l’agriculture du canton de Genève, expliquant que  la fonte des neiges ne constitue pas à elle seule un danger d’inondation.

Le département a affirmé que si la hausse des températures entraîne l’augmentation des débits des fleuves de l’Arve et de l’Allondon, ils restent raisonnables en l’absence de précipitations importantes.

Plusieurs conditions doivent être réunies pour provoquer une crue printanière, a relevé Michèle Oberhänsli, hydrologue à l’Office fédéral de l’environnement (OFEV), citant notamment un début de fonte des neiges en avril et des précipitations abondantes et persistantes.

Lisbonne  –  Cet été, la région de l’Algarve (sud) sera à nouveau en tête du classement des régions ayant le plus de pavillons bleus au Portugal, avec 93 drapeaux répartis sur 89 plages et quatre ports de plaisance (Albufeira, Lagos, Portimão et Vilamoura). Cette année, la région compte également deux Centres bleus à Loulé et à Faro.

En 2018, l’Algarve reçoit un pavillon de plus que l’année précédente, à l’occasion de la réintégration de la plage de Pintadinho dans la municipalité de Lagoa. Les plages d’Albufeira disposent toutes (25) de pavillons bleus et cette région devient la commune du pays avec le plus de pavillons bleus.

Cette reconnaissance de la qualité environnementale intervient quelques jours après l’ouverture officielle de la saison balnéaire à Albufeira et Lagoa, qui se déroule cette année sur une période prolongée entre le 15 mai et le 15 octobre.

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Madrid, – Plus d’un millier de vétérinaires du monde entier participent au 34ème Congrès mondial vétérinaire (WVAC), qui s’est ouvert dimanche à Barcelone sous le thème «Prendre soin des animaux c’est prendre soin de la planète».

Lors de l’ouverture de cet événement, les participants ont mis en garde contre les risques que représente l’augmentation de la mobilité des animaux, qui peuvent transporter avec eux des maladies transmissibles aux humains.

Ce congrès, qui constitue le rendez-vous mondial le plus important pour la profession et qui est organisé pour la première fois à Barcelone, veut «revendiquer le rôle des vétérinaires dans la santé globale» et approfondir la réflexion sur le concept de «biosécurité».

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-Les villes ont commencé à adhérer au mouvement pour une économie circulaire et il est temps à présent d’implanter ce concept également dans le monde rural, a estimé Ion Irizar, docteur en ingénierie industrielle à l’Université de Navarre (nord).

Dans une déclaration à l’agence EFE, le chercheur, qui coordonne le projet européen CircRural4.0, a relevé que ce projet vise à optimiser la gestion des stations d’épuration de l’eau dans les zones rurales, une expérience «pionnière» en matière d’implantation de l’économie circulaire dans le monde rural.

La gestion des petites et moyennes stations d’épuration de l’eau dans le monde rural doit obéir au principe d’économie circulaire et tirer profit au maximum des ressources disponibles, aussi bien hydrauliques qu’énergétiques, a-t-il souligné.

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Le préfet de la Haute-Savoie Pierre Lambert a réagi à la plainte déposée par 14 habitants de la région contre l’Etat français pour « carence fautive » dans le dossier de la pollution de la vallée de l’Arve, exprimant sa « surprise » à l’annonce de cette plainte.

Lors d’une conférence de presse, il a affirmé que l’Etat « assume ses responsabilités », expliquant que « c’est sous la conduite de l’Etat que les plans de protection de l’atmosphère dans la vallée de l’Arve ont été construits, en travaillant avec les collectivités locales, les entreprises et les associations ».

« Que l’inquiétude latente existe, j’en prends acte. C’est légitime. On peut être inquiet pour sa santé quand on lit une étude qui dit qu’on peut mourir de matière prématurée à cause de la pollution », a-t-il en outre ajouté.

14 habitants de Haute-Savoie ont déposé plainte mercredi dernier contre l’Etat pour « carence fautive » dans le dossier de la pollution de la vallée de l’Arve dans la région de Chamonix. Ils réclament aux alentours de 100 000 euros par personne.

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