La nouvelle directrice du PNUE promet de s’attaquer aux effets de perte de la biodiversité et du changement climatique

Nairobi-  La nouvelle directrice du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) basé à Nairobi, la Danoise Inger Andersen, a promis de rallier les efforts de l’ensemble des acteurs autour d’actions visant à atténuer les effets de la perte de la biodiversité, du changement climatique et de la pollution de l’air.

« Une bonne gestion de l’environnement n’a jamais été aussi importante. Le changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution sous toutes ses formes constituent un danger clair pour la santé humaine et planétaire, ainsi que pour la prospérité », a déclaré l’économiste et environnementaliste Andersen dont le mandat de quatre ans à la tête du PNUE est entré en vigueur samedi.

« Dans les semaines et les mois à venir, je travaillerai avec le personnel engagé et compétent du Programme des Nations Unies pour l’environnement, ainsi que l’ensemble de nos partenaires et donateurs, pour définir les priorités d’une organisation qui est au cœur de nos aspirations d’un monde durable et équitable », a ajouté Mme Anderson, dont la nomination a été approuvée par l’Assemblée générale des Nations Unies en février.

Avant sa nomination à ce nouveau poste, Andersen a été directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature entre janvier 2015 et mai 2019.

Elle a également occupé divers postes à la Banque mondiale, notamment celui de vice-présidente pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.

Andersen succède à Joyce Msuya, qui a assumé la fonction de directrice exécutive par intérim du PNUE depuis la fin de l’année 2018.