InitiativesSénégal : plus de 680.000 plants pour la présente campagne de reboisement

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09 Août

Sénégal : plus de 680.000 plants pour la présente campagne de reboisement

Dakar – L’Inspection régionale des eaux et forêts de Kaffrine (centre) envisage de produire pour la présente campagne de reboisement 681.650 plants toutes espèces confondues, a déclaré son directeur, colonel Oulimatou Faye.

‘’Pour la présente campagne de reboisement 2018, nous avons l’objectif de produire 681.650 plants toutes espèces confondues’’, a-t-elle déclaré lors de la célébration de la de la journée régionale de l’arbre, à Gniby, dans le département de Kaffrine.

Selon le colonel Faye, « malgré les difficultés liées à la mise en place des intrants, à Kaffrine, force est de reconnaître que d’énormes efforts ont été fournis dans le cadre de la production de plants en réalisant en mi-parcours une production de 577 505 plants soit un taux d’exécution de 84,72%’’, a salué le colonel Oulimatou Faye.

— Le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural (MAER) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ont procédé, mardi à Diamniadio (30Km de Dakar), au lancement officiel du projet « Renforcer la résilience des femmes vulnérables au Sénégal et au Sahel à travers l’adaptation au changement climatique, l’agroécologie et la diversification des moyens d’existence ».

Dans une note à la presse, la FAO renseigne que le lancement de ce projet du gouvernement sénégalais marque la mise à l’échelle de la phase pilote de l’initiative « 1 million de citernes pour le Sahel » mise en œuvre dans 3 zones agro-écologiques du Sénégal : les régions de Louga, Kaolack et Tambacounda qui font face à différents défis en matière d’accès à l’eau pour la consommation et développer le maraichage, respectivement la faible pluviométrie, la salinité et le difficile accès aux eaux souterraines.

« L’objectif du Gouvernement à travers ce projet est de permettre à des milliers de personnes de s’adapter aux changements climatiques, d’améliorer leur sécurité alimentaire et nutritionnelle et de renforcer leur résilience », explique la source.

Congo :

— Le Directeur de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable, Jean Pierre Ndoutoum s’est engagé au nom de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à renforcer les capacités humaines et financières de la Commission du Bassin du Congo, a indiqué le ministère congolais du Tourisme et de l’Environnement.

Cet engagement de l’OIF a été scellé par la signature, vendredi dernier à Brazzaville, d’un partenariat entre le Directeur de l’institut de la Francophonie pour le développement durable, Jean Pierre Ndoutoum et la ministre congolaise du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan Nonaut, par ailleurs coordinatrice du Bassin du Congo.

« Notre façon de participer à cette initiative régionale est notamment d’avoir un partenariat qui repose sur des actions concrètes. Pour ce faire, le premier partenariat que nous engageons avec la commission climat est celui du renforcement des capacités par la formation », a déclaré le directeur de l’institut de la Francophonie pour le développement durable, Jean Pierre Ndoutoum.

Ghana:

Des mesures renforcées ont été enclenchées pour que le Ghana élimine progressivement les articles et les produits chimiques contenant du mercure conformément à la Convention de Minamata sur le mercure, a fait savoir le directeur du Centre de contrôle et de gestion des produits chimiques relevant de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), Sam Adu-Kumi.

Il a souligné les besoins urgents en matière d’éducation du public et de sensibilisation des décideurs, nécessaires pour atteindre cet objectif, compte tenu des effets nocifs du mercure sur l’environnement et la vie humaine.

« Le mercure rejeté dans l’atmosphère et dans l’environnement contamine la chaîne alimentaire des plantes, des animaux et affecte finalement les humains qui les consomment », a-t-il expliqué lors d’un atelier organisé à Accra.

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