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26 Jan

Chine : Une initiative conjointe pour optimiser le fonctionnement des climatiseurs et réduire les émissions des

Pékin- Une initiative conjointe a été lancée jeudi pour optimiser le fonctionnement des climatiseurs en Chine et réduire ainsi les émissions de gaz à effet de serre.

Initié par l’Energy Foundation China (EFC) et le Programme d’efficacité du refroidissement (K-CEP China), le projet vise à améliorer l’indice énergie des habitations et des immeubles commerciaux entre 2018 et 2020.

Le K-CEP China fait partie d’une large collaboration mondiale impliquant 18 fondations qui se sont engagées à investir conjointement 52 millions de dollars pour soutenir la transition des pays en développement vers une climatisation énergétiquement efficace, respectueuse du climat et abordable.

La Chine est le plus grand fabricant et consommateur d’équipements de climatisation au monde, avec plus de 130 millions de climatiseurs produits chaque année et une part d’environ 70% du marché mondial, selon le K-CEP.

Voici par ailleurs le bulletin de l’écologie de l’Asie-Océanie pour ce vendredi :

Vietnam :

Le contenu des déchets non traités dans un étang de l’entreprise Starch JSC dans la province de Dien Bien a dépassé les normes nationales, a indiqué le département provincial de la police de l’environnement.

Les médias locaux ont rapporté mercredi que des centaines de mètres cubes d’eaux usées s’écoulaient dans le ruisseau Nam Nua après la rupture d’une citerne de vidange appartenant à l’usine de traitement de fécule de manioc.

Selon le rapport détaillé du département de la police de l’environnement, les échantillons d’eaux usées prélevés dans l’étang ont plus de 58 fois de composants solides que les normes nationales, alors que la teneur en cyanure dépasse de 3 fois le seuil réglementaire.

Thaïlande:

Les autorités maritimes Thaïlandaises ont annoncé des résultats probants d’une campagne de lutte contre des filets de pêche interdits qui causent d’énormes dégâts aux ressources halieutiques.

Les filets aux émailles fines sont déployés de façon permanente au large de Krabi (côte sud-ouest de la Thaïlande). Ce genre de filets aux maillages interdits, capture en masse les différents types de poissons et nuit à la capacité de régénération des différentes espèces.

Selon les autorités maritimes, des indemnisations ont été accordées aux pêcheurs pour arrêter l’usage de ces filets. Depuis le début de l’opération, une superficie de 64.000 ha le long de la côte ont été libérées de ces filets fixes ce qui a permis une nette amélioration de la diversité marine dans cette zone.

Japon:

Le Japon examine la conclusion d’une éventuelle coopération avec l’Indonésie pour la conservation de la rivière Citarum située à l’ouest de l’île de Java et dont le coût total d’assainissement a été estimé à 14 milliards de dollars.

Le projet de partenariat s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération environnementale entre les deux pays asiatiques, relève la ministre des Affaires étrangères, Retno Marsudi, rappelant que la rivière constitue la source d’eau potable pour 27,5 millions de personnes vivant à Java Occidental et à Jakarta et la source d’irrigation pour 420.000 hectares de rizières.

Citarum constitue le deuxième fleuve le plus pollué au monde, selon une récente déclaration du ministre indonésien de la Coordination des affaires maritimes, Luhut Pandjaitan.

Australie:

Les récifs de la région Asie-Pacifique sont jonchés de plus de 11 milliards de morceaux de plastique de plus de 5 centimètres, selon un article publié jeudi dans une revue Science.

Si ces pièces étaient alignées l’une à côté de l’autre, elles feraient le tour de la Terre près de 14 fois, fait ressortir une étude menée par l’Université Cornell dans les récifs de l’Australie, la Thaïlande, l’Indonésie et Myanmar.

« La probabilité de la maladie des coraux augmente de 4% à 89% lorsqu’ils sont en contact avec le plastique », estiment les chercheurs de cette étude.

Inde :

Les habitants du village de Mahisagar au Gujarat, dans l’ouest de l’Inde, ont découvert au cours d’une opération de terrassement un œuf appartenant à l’un des dinosaures disparus.

Les médias locaux ont rapporté que la population locale a remis l’œuf de dinosaure aux autorités locales de l’Etat, qui l’a envoyé à l’Institut indien de géologie pour voir si l’œuf appartenait au plus grand dinosaure disparu.

Une archéologue, qui étudie les œufs des dinosaures, a visité l’endroit où l’œuf a été découvert pour évaluer son importance scientifique, ajoute les médias locaux, notant que des scientifiques indiens avaient découvert un parc d’œufs de dinosaures à Narmada dans l’Etat de Gujarat qui date d’il y a 65 million d’années.

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