ActualitésEnviron 7.000 hectares de terres agricoles submergés par les eaux au nord du Ghana

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13 Sep

Environ 7.000 hectares de terres agricoles submergés par les eaux au nord du Ghana

Ghana – Environ 7.000 hectares de terres agricoles ont été submergés par les eaux au nord du Ghana, suite au déversement d’eau excédentaire du barrage de région Bagré, au Burkina Faso.

L’Organisation nationale de gestion des catastrophes du Ghana (NADMO) tente de gérer la catastrophe, vu que des maisons se sont effondrées et submergées par les inondations.

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Sénégal – Le ministère de l’Environnement et du Développement Durable du Sénégal (MEDD) a lancé, mercredi à Dakar, le projet Typha Combustible Construction Afrique de l’Ouest (TyCCAO) qui vise à transformer la plante du Typha « envahissant » en combustible et en matériaux de construction.

« Comme matériaux de construction, le Typha va permettre de nous sortir du tout béton dans lequel la quête de modernité a plongé le bâtiment africain en la coupant malheureusement de sa tradition bioclimatique séculaire », a expliqué le secrétaire général du MEDD, Amadou Lamine Guissé, précisant lors de la cérémonie de lancement que ce projet est élaboré en partenariat avec l’Agence française de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie (ADEME).

La valorisation du typha en matériaux de construction est « une voie bien indiquée » pour promouvoir les matériaux locaux de construction, « éminemment renouvelables et vecteurs de développement local » afin de permettre au plus grand nombre de personnes de se loger plus confortablement et à moindre coût, a poursuivi M. Guissé.

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Burkina – Les 13 pays- membres du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sècheresse au sahel (CILSS) ont célébré, mercredi à Ouagadougou, la 33è Journée de l’Organisation.

A environ quatre décennies d’existence, le CILSS continue de livrer le combat contre les perturbations climatiques et la déforestation grandissante.

Organisée sous le thème « L’importance des produits forestiers non-ligneux dans le renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des moyens d’existence des ménages vulnérables au Sahel et en Afrique de l’Ouest », cette Journée vise à promouvoir davantage les produits issus de la nature.

« Du fait du changement climatique, plus de 40% des populations souffre de malnutrition », a déclaré le porte-parole du ministre burkinabè de l’Agriculture.

Les produits forestiers non-ligneux permettent d’accroître la diversité alimentaire, économique et écologique. Ils sont également des éléments- clé de renforcement de la résilience des ménages ruraux, selon les participants à ce conclave.

–L’Office national burkinabé de l’eau et de l’assainissement (ONEA) a organisé, mercredi, la Journée écocitoyenneté sur les berges du barrage de Ziga, dans la commune rurale de Nagréongo, région du Plateau Central, 20 000 plantes utilitaires ont été mises en terre.

« Eco-citoyenneté enfantine ONEA 2018 ». C’est sous ce thème que s’est tenue, cette année, la campagne de reboisement des agents de l’ONEA et de leurs familles, sur les berges du barrage de Ziga.

Ce reboisement a pour objectif de lutter contre l’érosion hydrique et de contribuer à une amélioration de la qualité de vie des populations riveraines. Cela va aussi protéger les prises d’eau du barrage contre 25 000 m³ de boue d’envasement.

–Le Burkina célébrera la Journée mondiale de la protection de la couche d’ozone (16 septembre), a annoncé le ministère de l’Environnement et de l’Economie verte.

Selon un communiqué du ministère, la célébration de cette Journée, instituée en 1994 par l’Assemblée générale de l’ONU, sera marquée par des activités de formation des techniciens frigoristes et des douaniers.

Il est également prévu un atelier national sur l’amendement de Kigali au Protocole de Montréal et une journée porte-ouverte au Bureau national ozone.

L’édition 2018 de la Journée mondiale de la protection de la couche d’ozone aura pour thème « Gardons la tête froide et poursuivons nos efforts ».

Cette célébration intervient avant l’entrée en vigueur de l’amendement de Kigali au Protocole de Montréal relatif à la réduction de la production et de la consommation des hydro-fluoro-carbones.

 

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