Des restes d’une nouvelle espèce de dinosaure découvertes en Argentine

Buenos Aires- Des paléontologues argentins et espagnols ont découvert récemment les restes d’une nouvelle espèce de dinosaure ayant vécu voici 110 millions d’années en Argentine, près de la Cordillère des Andes.

Cet animal herbivore de 12 mètres de long vivait dans une zone désertique, située aujourd’hui dans la province de Neuquén, réputée pour ses sites paléontologiques et ses gisements pétroliers, ont annoncé les médias locaux.

José Luis Carballido, chercheur du Musée Egidio Feruglio, situé à Trelew (en Patagonie) a affirmé que les chercheurs ont trouvé la plupart des os du crâne, une grande quantité de dents, en relevant que cette découverte a permis d’effectuer une reconstitution très complète du squelette du dinosaure.

Par ailleurs, les scientifiques ont annoncé la découverte, sur le site des fouilles, de deux spécimens de dinosaures plus jeunes de 6 et 7 mètres de long, en relevant que ces animaux se déplaçaient en groupe et ont été tués au même moment.

Par ailleurs , Voici le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud pour la journée de mardi 06 novembre 2018 :

Brésil :

La production d’énergie éolienne au Brésil a atteint 14 gigawatts (GW) de capacité installée, selon des chiffres annoncés, lundi, par l’Association brésilienne de l’énergie éolienne (Abeeólica).

Au total, la capacité installée s’élève à 14,34 GW produits par 568 parcs éoliens et plus de 7.000 turbines éoliennes installées dans 12 États, précise la même source, en relevant que la capacité totale installée de l’énergie éolienne équivaut à celle d’Itaipu, la plus grande centrale hydroélectrique du Brésil.

Les Etats de la région du Nordeste (nord-est) regroupent l’essentiel de la production, avec à leur tête l’Etat de Rio Grande do Norte, qui affiche une production de 3.949,3 mégawatts (MW) pour 146 parcs éoliens, suivi de Bahia, qui compte 133 parcs et affiche une capacité de production installée de 3.525 MW et de Ceará, troisième, avec un production de 2.049,9 MW et 80 parcs.

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Colombie :

L’instauration, en juin 2017, d’une taxe graduelle de 20 pesos sur les sacs en plastique dans les grandes surfaces a permis, six mois après son entrée en vigueur, de collecter 10,460 milliards de pesos (environ 3,289 milliards de dollars US) qui ont été alloués à projets visant la préservation de l’environnement.

Ces chiffres ont été publiés en marge de la présentation, récemment, à Santa Marta d’un décret local visant à interdire l’usage et la vente des sacs en plastique dans cet île touristique des Caraïbes, rapportent les médias locaux.

Au bout de 12 mois de l’entrée en vigueur de cette taxe, 71% des ménages ont réduit leur consommation de sacs en plastique, ajoute-t-on.

S’exprimant à cette occasion, Silvia Gomez, directrice de Greenpeace Colombie, a estimé que « l’idéal serait une interdiction totale des sacs en plastique. La réglementation est positive, mais elle insuffisante ».