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06 Oct

Chili/modernisation du système de transport en commun : présentation des nouveaux autobus

Buenos Aires – Le président Sebastián Piñera, en compagnie de la ministre des Transports et des Télécommunications, Gloria Hutt, a présenté mercredi les nouveaux autobus qui renouvelleront le système de transport en commun de la région métropolitaine.

« Un pays civilisé a besoin d’un système de transport public de qualité, d’assurance et économique, propre et durable. Et c’est ce que vise notre projet de remplacer le tristement célèbre Transantiago, pour un nouveau système de transport en commun appelé « Transport du troisième millénaire », a déclaré le Président lors d’une cérémonie organisée sur la Plaza de la Constitución, en face du Palais de la Moneda.

Le président a visité l’un des nouveaux véhicules « Euro VI », équipés d’une technologie plus propre et d’une consommation de carburant très efficace, ce qui confirme les efforts du gouvernement pour continuer à progresser dans le respect de l’environnement.

« Nous aurons bientôt 3.000 autobus dotés de la technologie Euro-6. C’est-à-dire que la moitié des bus qui traverseront Santiago auront une nouvelle technologie propre et de haute qualité », a déclaré le chef de l’État chilien.

Ces actions font partie du plan de transport du troisième millénaire, qui vise l’intégration des transports par bus et par train en tant que pierre angulaire de la modernisation du système de transport en commun au Chili.

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Argentine :

Le secrétariat de l’environnement et développement durable a participé à la quatrième journée consacrée aux problèmes de l’environnement organisée par le gouvernement de Buenos Aires sur le thème « Biodiversité: approches et perspectives à étudier à l’école ».

Intervenant à l’ouverture de cet événement le directeur de l’éducation environnementale au sein du secrétariat de l’environnement et du développement durable, Javier Goldstein, a relevé que « Préserver la biodiversité est un défi et une nécessité ».

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Brésil:

Le Sénat étudie, via sa Commission constitution, justice et citoyenneté, un projet de loi portant sur l’imposition de peines privatives de liberté aux personnes qui rejettent le lixiviat (liquide libéré lors de la décomposition de déchets organiques) dans les rivières ou le sol.

Selon le rapporteur de la proposition, le sénateur Jorge Viana, cette pratique est déjà punie de manière générique par la loi relative aux infractions environnementales, mais en raison de l’expansion de ce comportement, il y nécessité de l’ajouter à la liste des infractions de pollution passibles d’une peine d’emprisonnement de un à cinq ans.

« Le déversement du lixiviat par les camions de collecte d’ordures est devenu une pratique de plus en plus courante dans de nombreuses municipalités brésiliennes. Le lixivat est extrêmement nocif lorsqu’il est déversé sans prendre les précautions appropriées et contamine le sol et les ressources hydriques », lit-on dans le texte du projet de loi.

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Colombie :

Les côtes de l’Ile caribéenne de San Andrés sont envahies par le poisson-lion communément appelé rascasse volante, rapporte la presse locale.

Les eaux de l’île abriteraient au moins un million d’individus de ce poisson venimeux, vorace et qui n’a quasiment aucun prédateur, selon des estimations du Groupe d’économie environnementale de l’Université des Andes.

Le poisson-lion est en train de causer d’énormes dégâts aux écosystèmes marins, alors qu’il n’existe aucun « remède » pour freiner son expansion, selon la même source.

D’après des scientifiques, ce poisson est capable de dévorer des espèces plus grandes que lui. Les femelles peuvent pondre tous les quatre jours jusqu’à 30.000 œufs.

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Pérou:

Les cinq tremblements de terre enregistrés entre jeudi et vendredi dans la région d’Espinar dans la région de Cuzco s’expliquent par l’existence de failles géologiques actives, a indiqué l’institut géologique du Pérou, en faisant état de l’existence de 53 failles géologiques à Cuzco.

« Les failles géologiques sont des fractures de la croûte terrestre qui génèrent des tremblements de terre lorsqu’elles se déplacent », a indiqué le géologue Carlos Benavente dans une déclaration à l’agence de presse péruvienne Andina.

L’Institut géologique a publié, en 2013, une étude sur les risques de séismes à Cuzco et avait révélé 53 failles géologiques actives dans la région, a-t-il poursuivi, en relevant que la ville de Cuzco est l’une des zones les plus vulnérables aux tremblements de terre en raison de la présence de failles géologiques actives à proximité.

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