ActualitésEgypte: Inspection d’une zone polluée à l’huile brut à Suez, au niveau de la région Cap Chqi

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16 Fév

Egypte: Inspection d’une zone polluée à l’huile brut à Suez, au niveau de la région Cap Chqi

Le Caire – Les services égyptiens en charge des affaires environnementales sur la mer Rouge ont inspecté récemment une zone polluée à l’huile brut à Suez, au niveau de la région Cap Chqir, suite à une information faisant état d’une fuite sur un pipeline d’une compagnie pétrolière.

Selon le directeur de l’administration centrale des catastrophes au ministère de l’environnement, il s’agit d’une zone polluée à l’huile brut d’une longueur de 500m et sur une largeur de 20m dans une région désertique loin du rivage, notant que la compagnie propriétaire a fermé le pipeline en question pour réparation et procédé à l’évacuation de quelque 150 m3 d’huile brut à sa station de stockage.

Voici, notamment, le bulletin de l’écologie du Monde arabe pour la journée de jeudi 16 février :

Qatar :

–Le ministère qatari de la municipalité et de l’environnement a signé récemment avec l’Organisation arabe pour le développement agricole (OADA) un accord pour la mise en œuvre d’un projet relatif à l’étude de l’utilisation sécurisée des eaux usées traitées dans l’irrigation des cultures fourragères et son impact sur les viandes et produits laitiers.

Dans une déclaration à la presse, le Directeur général de l’OADA, Tarek Benmoussa Zadjali, a affirmé que le Qatar figure parmi les pays arabes pionniers en matière de traitement des eaux usées et leur utilisation dans la production du fourrage.

Arabie Saoudite :

–La ville saoudienne de Buraidah (centre) abrite depuis hier mercredi les travaux du Congrès de la société saoudienne des sciences agricoles, organisé par l’Université Roi Saoud, en collaboration avec la direction régionale des affaires agricoles.

Le programme de ce conclave est axé sur des débats autour de l’avenir de l’agriculture, de l’eau et de l’environnement conformément à la Vision-2030, rapporte le journal ‘’Al-Iqtissadiya’’, faisant état de la participation d’experts et spécialistes dans le domaine de l’eau et de l’environnement.

Bahreïn :

–Les particules fines dont la plupart proviennent du vent chargé de poussière et des émissions de gaz produites par les usines sont l’un des principaux polluants de l’air à Jubail, en Arabie saoudite, selon une étude réalisée à l’Université du Golfe arabe à Manama, intitulé ‘’Évaluation de la qualité de l’air dans la ville industrielle de Jubail, au Royaume d’Arabie Saoudite’’.

L’étude recommande à cet égard une reconsidération des normes de la qualité de l’air en Arabie Saoudite, selon les critères de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mettant l’accent notamment sur la nécessité d’opter pour la modélisation en vue d’identifier l’impact des installations industrielles et d’autres polluants atmosphériques sur les zones résidentielles.

Emirats arabes unis :

–Les grands projets innovants en cours à Dubaï dans les domaines de production de l’électricité et de l’eau et l’amélioration de leur efficacité devront permettre d’économiser jusqu’à 60 milliards de dirhams et de réduire les émissions de dioxyde de carbone de 201 millions de tonnes à l’horizon 2030, a indiqué un responsable à l’Autorité de l’électricité et de l’eau à Dubaï.

La capacité productive de l’eau dessalée à Dubaï devrait ainsi atteindre en 2030 environ 750 millions de gallons par jour, contre 470 millions actuellement, a-t-il indiqué dans des propos relayés par les médias, soulignant que l’augmentation de l’efficacité opérationnelle de la séparation du processus de dessalement de l’eau de celui de la production de l’électricité permettra d’économiser près de 13 milliards de dirhams d’ici 2030 (1 dollars = environ 3,67 dirham émirati).

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