ActualitésLe géant énergétique suédois Vattenfall annonce le changement de son identité visuelle

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27 Mar

Le géant énergétique suédois Vattenfall annonce le changement de son identité visuelle

Copenhague – Le géant énergétique suédois Vattenfall a annoncé, lundi, le changement de son identité visuelle marquant ainsi « la volonté de permettre à tous de vivre sans fossiles en une génération », alors même que « la gestion globale de la marque Vattenfall est en cours de rationalisation ».

« Aujourd’hui, Vattenfall est une entreprise différente à bien des égards, par rapport à il y a seulement quelques années. Une entreprise dont le but est de jouer un rôle de premier plan dans la transition vers une société sans fossiles, en travaillant de manière ciblée pour faire le nécessaire avec ses clients et partenaires », souligne la compagnie dans un communiqué.

Il y a un an, Vattenfall s’est engagé dans un parcours interne de changement en définissant son rôle et la valeur sociale qu’il apporte.

Le rebranding est réalisé pour des raisons professionnelles et reflète une nouvelle version de Vattenfall avec de nouvelles offres et valeurs.

« En tant qu’entreprise leader, nous voulons nous projeter d’une manière moderne et claire et nous appuyer sur nos forces. C’est ce que nos clients et le monde qui nous entoure attendent de nous », a affirmé Karin Lepasoon, responsable des communications chez Vattenfall.

Des enquêtes ont montré comment Vattenfall peut rationaliser sa commercialisation en renforçant sa marque.

« En devenant plus clair, nous espérons avoir un plus grand impact et ainsi utiliser plus efficacement chaque couronne dépensée pour le marketing à l’avenir. Un autre élément de ce processus de rationalisation est que nous réduisons également le nombre de nos marques, actuellement jusqu’à 25, et nous allons maintenant les remplacer par une seule marque Vattenfall mise à jour », explique Lepasoon.

Vattenfall a porté le même logo depuis 1992. Pendant ce temps, l’entreprise a subi des changements fondamentaux. Ayant débuté en tant que société suédoise d’électricité et d’énergie, elle est aujourd’hui l’un des groupes énergétiques les plus importants d’Europe. Son objectif est clairement de promouvoir un style de vie plus respectueux du climat.

Des études de marché basées sur plus de 3 000 répondants en Suède, en Allemagne, en Finlande et aux Pays-Bas ont montré que l’image de marque de Vattenfall – éléments tels que le logo, les photos et les couleurs – n’a pas suffisamment différencié l’entreprise.

« Nous avons vu que nos concurrents et le marché de l’énergie dans son ensemble véhiculaient plus ou moins le même message et se ressemblaient beaucoup. Le sentiment évoqué par notre nouvelle image reflète maintenant ce qui nous différencie et ce que nous sommes réellement », a souligné la même responsable.

Le nouveau design de la marque ne concerne pas seulement le nouveau logo. Les couleurs, les photos, le son et la musique dans les vidéos, et bien d’autres éléments en font également partie. Le nouveau logo est livré avec une toute nouvelle police ainsi que des couleurs différentes.

« Nous sommes convaincus que nous avons créé quelque chose qui sera pertinent pour nos clients et qui nous distinguera de nos concurrents, ce qui signifie que notre marque fera ce pour quoi elle a été conçue, à savoir faire avancer nos affaires et contribuer à une image claire et positive de Vattenfall », a-t-elle ajouté.

Le changement de l’identité visuelle aura lieu progressivement à partir de la fin du mois de mars, les sites Web de Vattenfall et la signalisation sur la plupart des sites les plus dominants seront modifiés. D’autres changements prendront un peu plus de temps.

Afin d’équilibrer les coûts et les effets, certains des éléments de marque ne seront pas modifiés avant la fin de leur cycle de vie. Cela s’applique, par exemple, aux véhicules, aux éoliennes, aux vêtements de protection, ainsi qu’aux logotypes dans des endroits moins visibles.

.- Les villes suédoises seront bientôt autorisées à interdire les vieux moteurs diesel de circuler dans leurs centres dans le but d’améliorer l’environnement et de lutter contre la pollution de l’air.

Le gouvernement de coalition social-démocrate-vert de centre-gauche n’a pas imposé lui-même de telles règles, mais a laissé la décision aux autorités locales.

Dès le début de l’année 2020, les villes et communes seront autorisées à créer des zones environnementales régulant les voitures dans les zones. Les voitures diesel répondant aux normes d’émissions Euro 5 et Euro 6 seront autorisées dans les zones, mais à partir du 1er juillet 2022, seules les voitures diesel Euro 6 seront autorisées.

Les voitures fonctionnant à l’essence seront autorisées dans les zones si elles répondent aux normes d’émission Euro 5.

Les normes d’émission de l’UE Euro 5 et Euro 6 sont entrées en vigueur le 1er septembre 2009 et le 1er septembre 2014, respectivement. Les nouvelles règles affectent donc les voitures plus anciennes.

En Suède, environ 1,3 voiture diesel serait affectée par les nouvelles règles. À Stockholm seulement, environ 50 000 propriétaires de voitures seraient évincés, selon les estimations officielles.

Les conseils seront également autorisés à créer une catégorie distincte de zones encore plus strictement réglementées ne permettant l’accès qu’aux voitures électriques, aux véhicules à pile à combustible et aux voitures fonctionnant au gaz naturel Euro 6.

Cependant, la décision d’imposer les zones environnementales est laissée aux autorités locales. Les partis au pouvoir à Malmö sont contre ; à Göteborg, même les partis du même côté sont divisés.

À Stockholm, l’opinion sur l’opportunité d’aller de l’avant avec les zones environnementales dès 2022 est divisée, et même alors, il est probable que cela n’affecterait que certaines rues, pas tout le centre-ville.

En tout cas, la Suède n’est pas le seul pays à proposer de telles règles dans un débat qui fait rage sur les moteurs diesel. En Allemagne, un tribunal de première instance a statué le mois dernier que les villes peuvent imposer des interdictions de conduire diesel.

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L’opérateur énergétique italien Fri-El Spa, client de longue date du fabricant danois des éoliennes Vestas, a passé deux nouvelles commandes pour l’installation de 51 MW en Émilie-Romagne et en Sardaigne.

« Les deux projets ont été remportés lors de la vente aux enchères de 800 MW en Italie fin 2016. Avec cette nouvelle commande, Vestas a remporté plus de 950 MW de commandes auprès des quatre enchères italiennes depuis 2012 », indique lundi un communiqué de Vestas.

Situé en Émilie-Romagne, le projet Albareto comprend la fourniture et l’installation de six turbines V117-3.3 MW, tandis que le parc éolien Medio Campidano est constitué de 14 turbines V110-2.0 MW.

Rainer Karan, directeur général de Vestas en Italie, en Grèce et dans la région MENA, a souligné « le large éventail de ventes aux enchères de Vestas en Italie et la relation de longue date avec Fri-El comme clé pour la signature de ces nouvelles commandes ».

« La confiance de Fri-El Spa en nous nous a permis d’entrer dans la négociation au début du processus, ce qui s’est avéré être le principal facteur de différenciation dans la construction d’une enchère gagnante lors de la vente aux enchères », a-t-il relevé.

Les commandes comprennent également un contrat de service de deux ans. La livraison de la turbine pour les deux projets est prévue au quatrième trimestre de 2018.

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.- Helsinki – Une étude l’Université de la technologie de Lappeenranta (LUT) examine l’élimination des substances organiques nocives, telles que les résidus pharmaceutiques, l’énergie efficace des eaux usées en utilisant uniquement l’électricité.

Selon des tests pratiques, « la décharge par effet de couronne » peut réduire considérablement la charge environnementale des résidus pharmaceutiques, indique un communiqué de l’université finlandaise.

Selon les essais pilotes dans la dissertation de technologie chimique menés par Petri Ajo, spécialiste dans la technologie de l’environnement, « les résidus pharmaceutiques, leurs variantes et d’autres composés similaires se dégradent facilement à partir des eaux usées, car le processus est non sélectif ».

La décharge par effet de couronne est basée sur le contact instantané produit par une décharge électrique entre une zone de plasma et de l’eau.

Dans ce phénomène, les molécules d’eau et l’oxygène dans l’atmosphère créent des oxydants forts qui dégradent les composés organiques en eau et en dioxyde de carbone.

L’étude a examiné la formation d’oxydants sur l’interface plasma-liquide-gaz et leur comportement dans le processus.

L’étude a également révélé que la reformation momentanée de substances pharmaceutiques peut être considérée comme une partie normale de la chaîne de réaction dans le processus de purification.

Les résidus pharmaceutiques ont été dégradés à partir des effluents des usines de traitement des eaux usées de Toikansuo à Lappeenranta et de la fondation Rinnekoti à Espoo et des eaux usées non traitées de l’hôpital central de South Karelia.

Les résultats ont fourni de nouvelles informations importantes sur l’oxydation à haute efficacité énergétique, ce qui est également important en termes de développement ultérieur de la technologie. L’efficacité du processus dépend, par exemple, de la température, des débits, des retards et de la localisation du processus dans la chaîne de traitement des eaux usées.

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.- Oslo – Malgré des objections de certains partis de centre-gauche, le parlement norvégien a approuvé l’adoption des règles énergétiques de l’Union européenne, permettant à l’extérieur de l’UE de rester membre à part entière des marchés européens.

Le gouvernement minoritaire de centre-droit craignait que le rejet du troisième paquet énergétique de l’UE, conçu pour améliorer les flux d’énergie et améliorer le contrôle réglementaire, ne menace les relations étroites avec l’UE.

Au cours des 24 dernières années, les entreprises norvégiennes ont bénéficié d’un accès égal au marché avec les entreprises de l’UE via le traité sur l’Espace économique européen, en échange de l’adoption par le pays de la réglementation du marché commun de l’UE.

Les politiciens et les syndicats craignaient que la Norvège ne perde le contrôle de ses abondantes ressources hydroélectriques.

Pour obtenir le soutien de la réglementation, le gouvernement a trouvé un compromis d’avance avec le principal parti travailliste d’opposition, promettant que tous les câbles électriques reliant la Norvège à d’autres pays devraient être la propriété de l’Etat.

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