ActualitésInde: 18 districts sont touchés par la sécheresse (Gouvernement de l’Etat de Jharkhand)

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21 Nov

Inde: 18 districts sont touchés par la sécheresse (Gouvernement de l’Etat de Jharkhand)

New Delhi, 21/11/2018 (MAP) – Le gouvernement de l’Etat de Jharkhand (Est de l’Inde) a déclaré mardi que 18 districts sont touchés par la sécheresse.

Une communication a été envoyée à cet égard au gouvernement central pour demander une aide urgente, a déclaré un responsable de la gestion des catastrophes à la suite d’une enquête menée par le gouvernement local.

Selon les données de l’enquête, le Jharkhand a reçu en moyenne 72% de précipitations en 2018, mais dans certains endroits, comme Pakur et Koderma, le taux était inférieur à 50%.

Le manque drastique de précipitations a affecté les semis de paddy (riz) et endommagé d’autres cultures, a ajouté le responsable.

Vietnam

Alors que les crimes liés aux espèces sauvages peuvent générer des profits presque équivalents à ceux du trafic de drogues, d’armes à feu et d’êtres humains, ils deviennent rapidement une menace pour le Vietnam, selon la Wildlife Conservation Society (WCS) Vietnam.

Selon un rapport sur les violations de la faune sauvage et l’application de la loi au Vietnam de 2013 à 2017 réalisé par la WCS et le Département des statistiques de la justice pénale, le Vietnam a enregistré plus de 1.500 crimes liés aux espèces sauvages et saisi plus de 41.300 kg d’animaux sauvages de janvier 2013 à décembre 2017.

Quelque 1.460 personnes ont enfreint la réglementation sur la protection de la faune, dont 432 ont été traduites en justice pour inculpation. Le pays a collecté 692.340 dollars d’amendes pour ces violations, selon le rapport.

Par ailleurs, près de 10 tonnes d’écailles de pangolin et d’ivoire de contrebande en provenance du Nigéria ont été découvertes dans un conteneur de déchets de plastique au port de Tien Sa, dans la ville de Da Nang (centre) en octobre dernier. C’était l’une des plus importantes saisies de produits issus d’espèces sauvages du pays depuis plusieurs années.

Indonésie-Malaisie

La Malaisie assurera la Présidence du Conseil des Pays producteurs d’huile de palme (CPOPC) pour une période de deux ans à compter du 1er janvier 2019, prenant ainsi le relais de l’Indonésie, relèvent des sources médiatiques.

La Malaisie et l’Indonésie, qui représentent à eux deux plus de 80 pc de la production mondiale de l’huile de palme, ont par ailleurs renoncé à participer aux discussions menées à Bruxelles sur le changement indirect d’affectation des sols dû aux agro-carburants.

Les travaux de la rencontre pourraient, selon les deux pays asiatiques, représenter une discrimination contre l’huile de palme sur le marché européen, dans le cadre de la nouvelle directive européenne sur les énergies renouvelables.

Australie

Le géant énergétique australien Woodside a exhorté le gouvernement à réintroduire un système de taxe carbone, emboitant le pas à de géants miniers qui souhaitent agir face au changement climatique.

« Nous avons besoin d’un prix pour le carbone, nous devons nous assurer d’obtenir l’énergie la plus efficace », a indiqué mardi soir Peter Coleman, Directeur général de Woodside, premier producteur de pétrole et de gaz australien.

Il s’agit là d’un revirement complet par rapport aux prises de position passées du groupe, qui avait fait campagne contre un système dit de « prix du carbone » des travaillistes prévoyant que certaines entreprises versent une taxe par tonne de CO2.

« Nous pensons qu’il y a une volonté d’agir, et maintenant, et nous devons avoir un débat constructif sur la stratégie politique », a ajouté M. Coleman.

Les anglo-australiens Rio Tinto et BHP, les deux plus grands groupes miniers du monde, ont déjà appelé à l’instauration d’une taxe carbone.

Le milliardaire de la high-tech Mike Cannon-Brookes, co-fondateur du groupe de logiciels Atlassian, a lancé il y a quelques jours une campagne en faveur de l' »énergie verte » pour réclamer plus d’énergies renouvelables. Celle-ci fait son effet sur les réseaux sociaux.

Chine

Les autorités du nord-est de la Chine ont commencé à patrouiller dans un parc national pour assurer la protection des tigres et des léopards menacés d’extinction.

Le bureau de gestion du Parc national des tigres et des léopards du nord-est a lancé la campagne mardi à Hunchun, dans la province du Jilin. Les autorités locales patrouilleront dans les montagnes du parc et élimineront les pièges posés par les braconniers. Des postes de patrouille seront également implantés pour mettre fin aux activités potentielles de braconnage.

Le parc s’étend sur plus de 1,46 million d’hectares dans les provinces du Jilin et du Heilongjiang, aux confins de la Russie et de la Corée du nord.

Grâce aux efforts du gouvernement, le nombre de tigres de Sibérie et de léopards de l’Amour a augmenté. La Chine compte actuellement 27 tigres de Sibérie sauvages et 42 léopards de l’Amour.

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