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14 Juil

Pérou: Un déversement de pétrole signalé dans une section du pipeline traversant la région de Loreto Norperuano

Buenos Aires – Un déversement de pétrole a été signalé mercredi dans une section du pipeline traversant la région de Loreto Norperuano (jungle péruvienne du nord), ont annoncé les autorités locales, indiquant que des mesures ont été appliquées afin de ne pas affecter les communautés autochtones.

Le déversement a eu lieu au kilomètre 59 de la canalisation Norperuano, dans le district de Urarinas, région de Loreto, a déclaré l’Agence péruvienne pour l’évaluation et le contrôle de l’environnement.

Des actions de suivi sont en cours afin de déterminer la cause du déversement et de vérifier la mise en œuvre du plan d’urgence.

Le Norperuano pipeline est l’une des œuvres majeures du Pérou. Construit il y a quatre décennies, il achemine du pétrole brut de la région amazonienne à Piura vers la côte sur une distance d’environ 800 km.

Voici le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud pour la journée du vendredi 14 juillet :.

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Argentine:

Une étude menée par le Conseil national des recherches scientifiques et techniques en Argentine a mis en garde contre les niveaux élevés de l’herbicide « glyphosate » dans les rivières de la province de Chaco au nord du pays.

Selon l’étude ces niveaux élevés sont le résultat de la mauvaise utilisation des produits chimiques agricoles ce qui constitue une violation du droit élémentaire à avoir l’accès de l’eau de qualité.

Un Tribunal fédéral a refusé d’accéder à une demande soumise par des activistes environnementaux en vue de l’arrêt de l’utilisation de l’herbicide « glyphosate » dans tout le pays en raison des dangers qu’il représente.

Les activistes avaient demandé l’interdiction de la pulvérisation aérienne de l’herbicide et la mise en place d’une zone de sécurité de 5 kilomètres autour des terres traitées au « Glyphosate », particulièrement près des zones habitées, des rivières et des zones de pompage de l’eau de puits.

 

Voici le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud pour la journée du vendredi 14 juillet :

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Des experts argentins ont appelé à l’augmentation de la superficie des zones protégées dans le pays pour freiner la disparition d’espèces menacées d’extinction en raison de l’activité humaine et la destruction de leur habitat naturel.

L’Argentine compte 444 réserves naturelles publiques ou privées, soit 12,16 pc du territoire argentin, ainsi que 42.500 réserves marines représentant 2,8 pc du territoire maritime argentin.

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Brésil:

Une cinquantaine de personnes ont perdu la vie au Brésil en 2016 parce qu’elles ont combattu des projets miniers ou agricoles qu’elles jugeaient néfastes pour l’environnement, selon un rapport publié jeudi par l’organisation « Global Witness ».

Il ressort de ce rapport que le Brésil et la Colombie comptent le plus grand nombre de morts avec près de 49 et 37 personnes tuées, note l’ONG, en relevant que le nombre de meurtres et de pays concernés par la violence contre les militants écologistes est en hausse.

En 2015, l’ONG avait compté 185 personnes tuées dans 16 pays et une année plus tard, ce nombre a atteint 200 meurtres dans 24 pays.

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Le parc national de la Chapada Diamantina est situé dans la région de Diamantina, de l’état de Bahia, au nord-est du Brésil.

Créé en 1985 après décret fédéral, il couvre une région de 1 520 km2 et comprend les municipalités principales d’Andaraí, Ibicoara, Itaetê, Lençóis, Mucugê et Palmeiras.

Son nom a été donné par le géologue allemand Ludwig von Eschwege au XIXè siècle. Chapada est un mot brésilien faisant référence à un type de formation géologique d’une hauteur dépassant les 600 m et qui présente une partie plane en son sommet.

Diamantina fait référence à l’activité de recherche de diamants qui a eu lieu dans la région, au milieu du XIXè siècle.

La région est composée de roches sédimentaires qui se sont déposées il y a 1,8 à 0,7 milliard d’années.

La Chapada Diamantina regorge de multiples grottes qui font l’intérêt croissant des spéléologues et plus de 130 grottes ont été cartographiées et répertoriées.

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Chili:

En raison de la persistance des mauvaises conditions de ventilation et afin de préserver la santé de la population de la Municipalité métropolitaine de Santiago, les autorités en charge de l’environnement ont instauré ce vendredi 14 juillet plusieurs mesures restrictives pour la préservation de la qualité de l’air dans la capitale chilienne et ses environs.

L’interdiction de circulation des véhicules sans étiquette verte dont les plaques terminent avec les chiffres 1, 2, 3 et 4 entre 7H30 et 21h00 dans la province de Santiago et ses communes avoisinantes.

De plus, l’utilisation des poêles à bois et le brûlage agricole sont interdits. Parallèlement, la suspension de sports de plein air est recommandée.

 

 

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