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14 Déc

La Pologne compte rejoindre le Pacte mondial pour l’environnement

Varsovie – La Pologne compte rejoindre le Pacte mondial pour l’environnement, a indiqué le ministre polonais des Investissements et du développement, Jerzy Kwieciński, en marge la 24ème Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 24) qui se tient à Katowice dans le sud de la Pologne.

La Pologne va s’associer au Pacte mondial pour l’environnement « en vue de coopérer dans la lutte contre le changement climatique et atteindre les objectifs durables de l’ONU », a dit le ministre polonais, notant que cette décision a été prise par le gouvernement polonais le 29 novembre dernier.

« Nous appelons toutes les entreprises de tous les secteurs et de toutes les régions à fixer leurs objectifs scientifiques à un nouveau niveau d’ambition, celui qui correspond à l’objectif de 1,5° C », a indiqué, pour sa part, la présidente et directrice exécutive du Pacte mondial des Nations Unies pour l’environnement, Lise Kingo.

Avec le Pacte mondial pour l’environnement, la communauté internationale se doterait pour la première fois d’un traité à caractère général, couvrant l’ensemble des domaines de l’environnement.

Grèce

Le réseau grec de sites « Natura 2000 » comprend 241 Sites d’intérêt communautaire (SCI) et 202 Zones de protection spéciale (ZPS).

La superficie totale du réseau s’élève à environ 4,29 millions hectares, dont 3,60 millions ha de terres (27,2 pc de la partie terrestre de la Grèce) et 691.605 ha sont des zones marines (6,12 pc des eaux territoriales).

Les sites « Natura 2000 » sont pour la plupart vastes et dispersés dans toute la Grèce, un pays dont la biodiversité est l’une des plus riches en Europe.

Le réseau « Natura 2000 » rassemble des sites naturels ou semi-naturels de l’Union européenne ayant une grande valeur patrimoniale par la faune et la flore exceptionnelles qu’ils contiennent.

La constitution du réseau « Natura 2000 » vise notamment à maintenir la diversité biologique des milieux, tout en tenant compte des exigences économiques, sociales, culturelles et régionales dans une logique de développement durable.

Russie

La Russie et l’Allemagne envisagent de lancer, en avril 2019, un télescope spatial sous le nom de « Spectre-R-Guy » en orbite pour étudier l’univers.

Le lancement du télescope a été retardé à plusieurs reprises pour des raisons techniques, a indiqué jeudi la presse russe, précisant que le projet vise à étudier l’univers où le télescope effectuera des recherches physiques et physiologiques pendant sept ans et demi.

Selon la même source, le télescope effectuera pendant quatre ans une étude des étoiles et pendant les trois autres années et demie, il effectuera l’observation d’objets spatiaux individuels.

Des scientifiques russes et allemands ont collaboré pour la création du « Spectre-R Guy », l’un des télescopes ayant été mis au point à l’Institut de recherche spatiale de l’Académie des sciences de Russie à Sarov et le second à l’Institut de physique Max Planck.

Le télescope est actuellement en phase finale de tests, relève la même source, soulignant qu’il ne s’agit pas du premier projet scientifique commun entre les deux pays.

L’Agence spatiale allemande a officiellement rejoint en 2018 les expériences conjointes russo-américaines visant à simuler des vols vers la Lune et Mars.

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