Pologne : Un fort taux de pollution enregistré à Varsovie en 2016

Varsovie – Le ministère polonais de l’Environnement a indiqué, lundi, que la réduction de la pollution de l’air dans la capitale Varsovie laisse entrevoir la possibilité de lutter contre ce problème conformément aux normes en vigueur dans différents pays européens.

La pollution de l’air des grandes agglomérations et des villes moyennes est pratiquement normale, en raison de la hausse du trafic routier, du développement industriel, de la croissance démographique et de l’utilisation intensive des équipements de chauffage durant la période de froid, ajoute la même source dans un rapport périodique.

Selon la même source, l’année 2016 a enregistré un fort taux de pollution sur une période de 180 jours, notant que le problème de la pollution de l’air à Varsovie est lié au climat rigoureux d’où la difficulté de se passer des systèmes de chauffage.

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Autriche :

L’Association des hôpitaux de Vienne représente depuis des décennies un exemple vertueux en matière de protection de l’environnement.

Dès 1996, l’analyse des achats conduit à exclure des appels d’offres les produits dangereux pour l’environnement. La formation du personnel fait chuter de 23 pc la quantité de produits d’entretien utilisée, générant une économie de 66.000 euros par an.

Éléments essentiels de l’infrastructure sociale et des soins de santé, les hôpitaux civils de Vienne participent au projet dit  »les achats verts de Vienne ». Ils travaillent en partenariat direct avec les achats publics de la ville dans le domaine de l’eau, des transports/trajets, des émissions de gaz à effet de serre, de la qualité de l’air, de la gestion des déchets et des espaces verts.

Ce projet transversal vise à réduire l’impact environnemental de la capitale et de son hôpital. Depuis 2005, l’hôpital vit un réel changement de paradigme. Son organisation est basée sur les trois principes d’économie, d’humanité et d’environnement, mais il ne s’agit plus d’économiser l’argent : il s’agit de mieux l’investir.

Bulletin de l’écologie de l’Europe orientale/2
Texte

Turquie :

La température moyenne de la mer en Turquie a augmenté d’environ un degré Celsius au cours de ces 50 dernières années, une conséquence du changement climatique, selon le département d’ingénierie météorologique de l’Université technique d’Istanbul cité par la presse locale.

La mer de Marmara, qui relie la Méditerranée et la mer Noire, a connu la plus grande variation avec une température moyenne de 15,1 degrés Celsius en 1970 contre 16,2 en 2016.

C’est après 1998 que sa température a grimpé de 0,8 degré. Le cas de la mer Noire est similaire à celui de la mer de Marmara en termes de chiffres avec une moyenne de 15,3 degrés en 1970 et 16,4 en 2016.

Les moyennes méditerranéennes ont également augmenté d’un degré, passant de 21 en 1970 à 22 degrés l’année dernière.

La Turquie subit les conséquences, plus ou moins graves, du réchauffement de la planète au cours des dernières années, des niveaux de chaleur saisonniers aux fortes précipitations.

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Russie :

Le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a signé un décret gouvernemental pour l’établissement d’une réserve naturelle en mer Baltique appelée « Ingermanland », du nom de la région historique située dans la Russie actuelle, au bord du golfe de Finlande, entre le sud du lac Ladoga et le fleuve Narva.

La réserve préservera les habitats traditionnels des oiseaux migrateurs empruntant la mer Baltique et des habitats de nidification des oiseaux d’eau gris.

La réserve couvre une gamme d’îles en mer Baltique et les eaux adjacentes et est composée de 9 zones isolées. Elle a une superficie totale de plus de 14 mille hectares.

En raison de la pression humaine élevée dans le golfe de Finlande, la création de cette réserve est une mesure importante pour la sauvegarde des oiseaux migrateurs.

Le projet vise à mettre en œuvre le plan d’action HELCOM pour la mer Baltique, adopté en novembre 2007 lors de la réunion des ministres de l’environnement des pays membres à Cracovie (Pologne), ainsi que d’un certain nombre de conventions internationales.

HELCOM tend ainsi à protéger le milieu marin de la mer Baltique contre toutes les sources de pollution par le biais d’une coopération intergouvernementale entre le Danemark, l’Estonie, la Finlande, l’Allemagne, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Russie, la Suède et la Commission européenne.