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28 Déc

La qualité de l’air en Belgique est stable

Bruxelles- Après s’être améliorée au cours de la dernière décennie, la qualité de l’air en Belgique est stable ou en lent progrès. On est cependant loin des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, rapporte, jeudi, le journal belge Le Soir.

L’air s’est légèrement mieux porté en 2017 en Belgique, indique le journal se basant sur les derniers chiffres encore provisoires publiés par Celine, la cellule interrégionale de l’environnement.

Aucune station de mesure n’a franchi la valeur limite journalière européenne pour les particules fines PM10. L’Europe impose de rester en dessous de 35 dépassements du seuil de 50 microgrammes/m3.

Ce constat est de mise pour la quatrième année consécutive en Flandre et à Bruxelles, et pour la troisième année en Wallonie. C’est la station de Marchienne-au-Pont qui s’approche le plus du seuil fatidique avec 33 jours de dépassement enregistrés en 2017.

Voici, par ailleurs, le bulletin de l’écologie de l’Europe Occidentale pour la journée du jeudi 28 décembre 2017:

– Les véhicules les plus polluants seront recalés à Bruxelles, qui devient à partir du 1er janvier, une zone basse émission, indique Le Soir.

ll va y avoir du changement dans l’air à Bruxelles, à partir du 1er janvier 2018. Dès ce lundi, les véhicules les plus polluants seront bannis du territoire régional. Le changement ne sera pas trop perceptible dans un premier temps car seules les quasi-épaves seront interdites. Mais chaque année jusqu’en 2025, le curseur sera relevé afin de ne laisser, en 2025 que les véhicules les plus «propres» en circulation, précise le quotidien.

La mesure concerne aussi bien les véhicules diesel que les motorisations à essence les plus vétustes. La zone « basse émission » s’applique sur tout le territoire de la Région, 24 heures sur 24 et sept jours sur sept. Le contrôle de son respect sera assuré par 70 caméras « intelligentes » capables de reconnaître les plaques d’immatriculation. A terme, elles seront 176. Ces caméras seront placées aux entrées de la Région, mais également sur quelques principaux axes routiers de la capitale.

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Madrid, – Les précipitations enregistrées ces dernières semaines en Espagne ont amélioré légèrement les réserves d’eau des barrages, mais ne sont pas suffisantes pour mettre fin à la situation de sécheresse que vit le pays ibérique, la plus forte depuis le début de ce siècle, selon des données du ministère de l’Agriculture, de la pêche, de l’alimentation et de l’environnement

Les barrages espagnols vont terminer l’année 2017 sur un taux de remplissage de 38,15 pc, le plus bas pour cette période de l’année depuis 1995. La situation est particulièrement critique dans certains bassins hydrauliques du nord-ouest, notamment celui du fleuve Duero, qui se trouve à 31,38 pc de sa capacité, soit son plus faible niveau depuis trente ans.

Les dernières précipitations ont par contre permis d’améliorer la situation dans certains bassins du nord, qui se trouvaient également dans une situation très précaire.

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-L’accès au parc national de Sierra de Guadarrama, situé entre les régions de Madrid et de Castille et Léon (centre), ainsi que les activités d’élevage extensif et d’exploitation des forêts menés au niveau de cet espace naturel seront désormais régis selon des critères environnementaux, conformément à un projet de plan de gestion de ce parc visant à éviter les effets indésirables sur la nature.

Ce projet, adopté par les gouvernements des régions de Madrid et de Castille et Léon, est le fruit d’un vaste processus de participation citoyenne coordonné par les experts des deux régions et par l’organisme de gestion des parcs nationaux, a indiqué la région de Madrid dans un communiqué.

Ce plan apporte une régulation des activités comme la gestion des forêts, l’élevage extensif, la pratique du cyclisme ou encore l’alpinisme, en vue de protéger l’environnement de cet espace naturel.

Lisbonne – La quantité de déchets urbains produits au Portugal a diminué en 2016, après trois années consécutives de hausses, la proportion de collecte sélective étant « considérablement inférieure » par rapport à 2015, selon l’Institut national des statistiques (INE).

Les statistiques environnementales de l’INE au titre de 2016 montrent que 4,8 millions de tonnes de déchets urbains ont été collectées cette année, en baisse de 15.000 tonnes par rapport à l’année précédente, ce qui se traduit par un ratio de 464,5 kilogrammes générés par habitant, contre 464,4 kilos enregistrés en 2015.

« En 2016, la diminution des déchets municipaux générés inverse une tendance qui a duré trois années de hausses consécutives », indique-t-on de même source.

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– L’association environnementale Quercus a déclaré récemment que le rapport technico-scientifique indiquant que les microalgues sont responsables de la mortalité des poissons dans le Tage, à Vila Velha de Ródão, confirme scientifiquement la contamination de l’eau du fleuve.

« Les analyses ne trompent pas, il y a une contamination [de l’eau], et le poisson est mort à cause de l’eutrophisation qui est un phénomène de pollution. » Il n’y a aucun doute « , a déclaré Samuel Infante de Quercus.

Le responsable associatif a réagi ainsi au rapport technico-scientifique du Laboratoire de pathologie des animaux aquatiques appartenant à l’Institut portugais de la mer et de l’atmosphère (IPMA), qui indique que les microalgues sont responsables de la mortalité des poissons sur le Tage, à Vila Velha de Ródão, dans la commune de Castelo Branco.

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Le ministre français de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, vient de signer le décret permettant le classement total du site de la roche de Solutré, de la roche de Vergisson et du Mont de Pouilly (centre-est), site remarquable qui mérite la reconnaissance nationale.

Le site classé constitue un outil adapté à ce territoire exceptionnel, a indiqué le ministère de la Transition écologique dans un communiqué, notant que par cette protection souple et efficace, le ministre souhaite garantir la qualité de ce site au paysage insolite et pittoresque.

« La qualité de ce site se trouve à présent dotée d’une protection cohérente, qui couvre l’ensemble du paysage formé par ces monuments naturels. Je sais pouvoir compter sur les acteurs de ces territoires engagés pour transmettre ce patrimoine naturel et culturel aux générations futures », a affirmé Nicolas Hulot, cité par le communiqué.

Ce classement est l’aboutissement d’un travail de protection entamé au début du XXe siècle, selon la même source qui précise que caractérisé par des associations végétales remarquables, il représente également un des plus grands gisements préhistoriques européen.

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