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26 Oct

Suède : fourniture de 10 pylônes en bois de Modvion

Stockholm- Le constructeur éolien suédois Rabbalshede Kraft a signé une lettre d’intention pour la fourniture de 10 pylônes en bois de Modvion destinés au projet précédent Fagremo dans le comté de Vastra Gotaland.

Les tours en bois lamellé pour les turbines de 240 mètres de hauteur seront fabriquées localement à Toreboda.

« En utilisant des tours Modvion en bois modulaires, nous évitons les difficultés logistiques, réduisons le poids et abordons une énergie éolienne totalement neutre en carbone », a déclaré Peter Wesslau, directeur général de Rabbalshede Kraft.

Si le projet aboutissait, a-t-il ajouté, Modvion pourrait éventuellement livrer d’autres tours à Rabbbalshede Kraft d’une valeur estimée entre 500 et 900 millions de couronnes suédoises (47 à 84 millions d’euros) au cours des cinq prochaines années.

Le directeur exécutif de Modvion, Otto Lundmand, a déclaré que le remplacement des tours en acier par du bois réduirait les émissions de carbone.

« L’acier est plus résistant que le bois par volume, mais notre bois lamellé-collé est 55% plus résistant que l’acier par kilogramme. Plus nous construisons grand, plus la réduction de poids est positive », a-t-il ajouté.

.- L’Université suédoise des technologies Chalmers a mis au point un nouveau concept pour les piles en aluminium en collaboration avec l’Institut national de chimie de Slovénie.

L’idée a le potentiel pour des applications à grande échelle, y compris le stockage de l’énergie solaire et éolienne. En outre, par rapport aux batteries lithium-ion actuelles, le nouveau concept des chercheurs pourrait entraîner une réduction sensible des coûts de production.

« Les coûts matériels et les impacts environnementaux que nous envisageons dans notre nouveau concept sont bien inférieurs à ce que nous voyons aujourd’hui, ce qui les rend utilisables pour des utilisations à grande échelle, telles que les parcs à cellules solaires ou le stockage de l’énergie éolienne, par exemple », a expliqué Patrik Johansson, professeur au département de physique de Chalmers.

« De plus, notre nouveau concept de batterie a une densité énergétique deux fois plus grande que celle des batteries en aluminium à la pointe de la technologie », a-t-il ajouté.

Un groupe de recherche basé à Ljubljana a remplacé le graphite par une cathode organique à nanostructure, constituée de la molécule à base de carbone anthraquinone, qui permet une densité d’énergie plus élevée dans la batterie.

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