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19 Fév

France : Lancement la 6-ème campagne de labellisation des ÉcoQuartiers

Bruxelles – Les ministères français de la Transition écologique et solidaire et de la Cohésion des territoires viennent de lancer la 6-ème campagne de labellisation des ÉcoQuartiers, qui s’adresse aux collectivités, aux aménageurs et aux citoyens porteurs d’un projet d’aménagement durable.

Cette initiative vise l’aménagement du territoire en prenant en compte simultanément plusieurs enjeux majeurs : transports, énergies, bâtiments, mode de vie, mixité sociale, déchets, nature en ville, biodiversité… tout en y associant les citoyens afin de s’orienter vers le bien vivre ensemble, indique le ministère de la Transition écologique et solidaire.

Elle concerne tous les types de projets neufs ou en rénovation, opérations de grandes agglomérations ou encore dans des zones rurales en France comme en Outre-Mer.

Les priorités de cette sixième campagne de labellisation sont le maintien d’un rythme soutenu d’engagement des projets avec un objectif de 100 nouveaux projets d’EcoQuartiers engagés dans la démarche tous les ans et une implication accrue des citoyens à la démarche.

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– A l’instar d’autres grandes agglomérations françaises, la ville de Rennes (ouest) devra mettre en place en périodes de pic de pollution, la circulation différenciée, un système basé sur la vignette Crit’Air, qui classe les véhicules en fonction de leur année de fabrication et la norme antipollution qu’ils respectent.

Les automobilistes de Rennes devront ainsi s’équiper d’une vignette, sorte de certificat de qualité de l’air, qui permet de distinguer les véhicules en fonction de leur niveau de pollution. Ils devront l’apposer sur les pare-brises de leurs véhicules.

Les modalités d’application de ce dispositif à Rennes ne sont toutefois pas encore connues, puisqu’il n’entrera en vigueur qu’à l’hiver 2018/2019.

Chaque ville en France a en effet sa propre réglementation dans ce domaine.

A Paris, par exemple, les véhicules les plus polluants ne peuvent pas circuler entre 8 et 20 heures du lundi au vendredi. A Lyon, après deux jours de pollution, seuls les véhicules dotés d’une vignette Crit’Air peuvent circuler.
Par ailleurs, voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Occidentale pour la journée du lundi 19 février 2018:

Madrid, – Un groupe de chercheurs espagnols prendront part prochainement à l’expédition MicroAirPolar, qui s’inscrit dans le cadre de la 31ème Campagne antarctique espagnole, menée en Antarctique pour étudier la dispersion et la colonisation des micro-organismes.

Cette mission, financée par l’Agence espagnole de la recherche, connait la participation d’une équipe multidisciplinaire de chercheurs de l’Université autonome de Madrid (UAM) et de l’Agence étatique de météorologie.

Les scientifiques espagnols mèneront leurs travaux de recherche durant les mois de février et de mars dans le Refuge international de Byers, relevant de l’équipe logistique de la Base antarctique espagnole Juan Carlos 1er.

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-Les rapports des experts municipaux de la mairie de Caceres (ouest) ont paralysé le projet d’ouverture d’une mine de lithium à ciel ouvert de Valdeflores, les responsables du projet n’ayant pas fourni les rapports obligatoires et les études d’impact sur l’environnement.

De leur côté, les entreprises Technologie Estrémadure du Lithium (TEL) et Plymouth Minerals, chargées de développer ce projet de mine, ont indiqué aux fournisseurs locaux l’arrêt de l’exécution du projet jusqu’au règlement de «questions administratives», tout en soulignant que cela ne signifie pas l’abandon de cet investissement.

Les ONG écologistes rejettent ce projet de mine à ciel ouvert, affirmant qu’il aura un impact négatif sur l’environnement local dans une zone riche en biodiversité.

Lisbonne – Une délégation de l’Assemblée de la République (parlement) se rendra ce lundi à Retortillo, en Espagne, pour évaluer l’impact de l’installation de ce qui pourrait être la seule mine d’uranium à ciel ouvert près de la frontière portugaise d’Almeida.

« Il y a un risque de contamination par voie aérienne et aussi hydrique, à travers le bassin hydrographique du Douro, puisque tous les ruissellements se jettent dans la rivière », a déclaré Pedro Soares du Bloc de gauche, qui fait partie de la délégation portugaise.

Les députés se rendront sur le site où l’entreprise (Berkeley) a l’intention d’opérer et maintiendront des contacts avec les autorités locales.

Le gouvernement portugais a déjà demandé des informations à ce sujet, a déclaré le député, ajoutant que les autorités espagnoles n’ont pas déclenché le mécanisme commun d’évaluation environnementale.

Dimanche, les conseillers locaux portugais de la région se sont réunis pour discuter de la situation.

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