Gabon : saisie d’espèces d’animaux intégralement protégés

Dakar – La brigade des Eaux et forêts de Franceville (Sud-est) a procédé dernièrement à la saisie d’espèces d’animaux intégralement protégés.

Il s’agit d’un porc-épic, d’une antilope à bande dorsale noire et trois chevrotins aquatiques dont deux boucanés, rapporte la presse notant que ces animaux venaient d’être abattus au village Mbouma-ondama par cinq braconniers présumés qui ont été également arrêtés.

Il s’agit d’une petite saisine en quantité mais importante en termes de qualité, a indiqué le directeur provincial des Eaux et forêts du Haut Ogooué, Serge Morel Manembe.

Sénégal :

–Le chercheur sénégalais Cheikh Mbow, expert en télédétection et sciences de l’environnement, préconise la valorisation des études de cas pour mieux faire face au changement climatique, le Sénégal devant encore beaucoup à faire dans ce domaine sur le plan fonctionnel.

« Malheureusement, les réponses au changement climatique ne sont pas à la hauteur des défis. Je pense que le Sénégal dispose, sur le plan structurel, des instituions qu’il faut, mais sur le plan fonctionnel, on a beaucoup à faire », a-t-il soutenu dans un entretien avec l’APS.

Le changement climatique étant une question transversale, « je crois que le ministère chargé de l’Environnement est un cadre trop étroit pour l’approche système requise pour faire face à ces questions complexes », a fait valoir l’universitaire, qui a enseigné pendant plusieurs année à l’Institut des sciences de l’environnement de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.

Burkina :

–L’Autorité du bassin de la Volta et ses partenaires intervenant dans le domaine de la gestion des ressources naturelles, se sont réunis récemment à Ouagadougou.

Cette initiative, une recommandation formulée par les participants présents à la présentation de l’interface en 2017, entend corriger les imperfections de l’outil et le vulgariser auprès des responsables des services d’information géographique des différents organismes de bassins transfrontaliers.

L’Autorité du bassin de la Volta est une institution créée par six Etats africains. Ce sont le Bénin, le Burkina, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali et le Togo.

Elle répond à la vision de la fédération des efforts autour de la gestion intégrée des ressources en eau pour qu’elles soient profitables à toutes les populations.