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12 Jan

Le géant énergétique danois Ørsted annonce un bénéfice d’exploitation d’environ 22,5 milliards de couronnes en 2017

Copenhague – Le géant énergétique danois Ørsted, anciennement Dong Enregy, a annoncé un bénéfice d’exploitation d’environ 22,5 milliards de couronnes en 2017, ce qui représente une amélioration par rapport à ses prévisions les plus récentes d’environ 21 milliards.

« Cette augmentation est principalement attribuable aux solides bénéfices de nos parcs éoliens en mer en exploitation au cours de la dernière partie de l’année, notamment des vents plus forts et une accélération de la production des nouveaux parcs éoliens offshore Race Bank et Walney Extension », précise un communiqué de la compagnie.

En outre, les résultats des accords de partenariat sont meilleurs que prévu en raison des progrès réalisés et de la baisse des coûts des contrats de construction de Race Bank et de Walney Extension.

Enfin, les résultats des activités de portefeuille gazier dans la division Distribution et solutions clients sont meilleurs que prévu, notamment en raison de l’incidence positive de la valeur du gaz entreposé au cours de la dernière partie de l’exercice.

Ørsted publiera son rapport annuel pour 2017 le 1er février prochain.

.- La société danoise DALL Energy a été parmi les entreprises primées pour sa solution de four à biomasse, lors du Salon Bluetech Award, qui a eu lieu à Beijing le mois dernier pour la troisième fois depuis son lancement en 2014.

« Dall Energy peut désormais se targuer de remporter un prestigieux prix finaliste en Bluetech Award pour son four à biomasse, le Dall Energy Multifuel Furnace », a affirmé Jens Dall Bentzen, directeur général de la compagnie danoise.

Dall Energy a déjà remporté « The Clean Tech Price 2011 » au Danemark, « The European Inventor Award 2011 » en Hongrie et « Innovation Award 2010 » en Espagne.

« Ce fut un grand plaisir de recevoir le Bluetech Award et la reconnaissance avec elle. Je crois que le prix ouvrira de nouvelles portes aux partenaires et aux clients en Chine », a indiqué M. Bentzen.

« Le lendemain de la cérémonie de remise des prix, j’ai eu deux réunions avec des partenaires potentiels à Beijing, et tous les deux ont dit que le prix est très bon pour la promotion de notre technologie », a-t-il poursuivi.

Lancé par la Clean Air Alliance de Chine, le prix BlueTech célèbre et promeut des technologies internationales de qualité de l’air. La Clean Air Alliance de Chine apporte également un soutien important en aidant les lauréats à accélérer leurs activités sur le terrain et à contribuer à la gestion de la qualité de l’air en Chine.

Le prix BlueTech évalue environ 200 technologies de l’air propre provenant de 16 pays et les examine et les analyse pour leurs résultats réels, leurs avantages environnementaux, leurs performances technologiques et leurs viabilité financières. Le Dall Energy Furnace a été récompensé pour ses nombreux avantages par rapport aux autres fours à biomasse moyens, en l’occurrence ses émissions de poussière réduites de 90%, l’émission de CO réduite de 90%, les émissions de NOx de 25% et la flexibilité du combustible et des coûts d’entretien réduits.

.- Le Parlement des îles Féroé (territoire constitutif du Royaume du Danemark) a adopté un projet de loi visant à réformer les politiques nationales de pêche.

Le projet de loi, intitulé La loi sur la gestion des ressources marines, stipule que toutes les ressources vivantes dans les eaux des îles Féroé appartiennent aux habitants du territoire et que les licences de pêche ne peuvent jamais devenir des propriétés privées.

En outre, les licences de pêche ne peuvent pas être échangées directement entre acheteurs privés. Pour changer de mains, les licences doivent être vendues via des enchères publiques.

La réforme de la pêche est l’un des principaux objectifs du gouvernement depuis son entrée en fonction en 2015.

« La réforme est une étape historique, marquant une nouvelle ère dans L’industrie de la pêche des îles Féroé », s’est réjoui le ministre des Pêches, Høgni Hoydal.

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.- Tallinn – Enefit Solutions, filiale d’Eesti Energia, fournit 900 tonnes de structures métalliques pour la construction d’une centrale à biocarburant au Royaume-Uni.

La deuxième commande, composée principalement des canaux de gaz et de tuyauterie, a quitté le port de Sillamäe la semaine dernière.

La société a travaillé sur les plans et la production de pièces métalliques pour la centrale depuis le premier semestre 2017. Une première commande de pièces a quitté l’Estonie en mai l’année dernière, et une troisième est prévue pour avril.

La plupart des pièces produites par Enefit Solutions sont des canaux d’air et de gaz.

« Participer à des projets internationaux de grande envergure comme celui-ci est une aubaine pour les employés et l’entreprise, tout en ajoutant une compétence et une expérience supplémentaires », a déclaré le PDG Ott Licht, cité dans un communiqué de son entreprise.

Enefit Solutions a été impliqué dans le projet par le biais du consortium technologique international Sumimoto Foster Wheeler, qui participe à la construction de la Billingham Biomass Power Station, l’une des plus importantes du genre au Royaume-Uni. La capacité prévue de la centrale est de 299 MW, ce qui est comparable à la capacité de l’une des centrales d’Eesti Energia, et le coût de la centrale de Billingham est d’environ 650 millions de livres, soit 770 millions d’euros.

Enefit Solutions est le principal développeur, producteur et mainteneur de solutions technologiques pour les centrales électriques et les usines d’huile en Estonie. Comme sa société mère, Enefit Solutions est finalement détenue par l’État, et la réalisation optimale de ses capacités implique également de participer à des projets à l’étranger.

L’année dernière, l’entreprise a construit plus de 2.000 tonnes de structures métalliques.

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.- Helsinki – La cellulose de bois a le potentiel d’être un futur super matériau capable de remplacer les matières premières fossiles telles que le plastique et les fibres synthétiques ou même le coton, selon les conclusions d’une nouvelle étude publiée par le Centre finlandais de recherche technique (VTT).

De nouvelles perspectives ont été mises en avant en la matière, grâce au projet de recherche approfondi et multidisciplinaire (DWoC) menée en Finlande sur les chaînes de valeur dans le monde de la cellulose, a déclaré VTT dans un communiqué.

Le projet a débouché sur des innovations et des modèles commerciaux, en particulier pour les besoins des petites et moyennes entreprises dans les domaines du logement et du textile, de la construction et de l’architecture, ainsi que de la santé et du bien-être.

« Les défis du développement durable nous forcent simplement à faire les choses différemment: des recherches ont été faites dans le monde depuis un certain temps, mais nous avons maintenant réussi à trouver des matériaux fonctionnels et des technologies qui rendent le changement possible », a déclaré le professeur Pirjo Kääriäinen de l’Université Aalto.

« Les résultats de notre projet de recherche, basé sur de nouveaux biomatériaux, constituent une percée majeure dans le monde entier. La Finlande a le potentiel d’être une véritable force de changement dans l’avenir des matériaux », a-t-il estimé.

Le projet de recherche DWoC, en cours depuis 2013, vise à accélérer la transformation de l’industrie forestière finlandaise en un écosystème dynamique de bioéconomie et à accroître l’utilisation de la cellulose, en particulier dans les produits de haute valeur.

Le projet de recherche a combiné l’expertise de designers, d’architectes, de spécialistes des matériaux et de professionnels. Dans le même temps, un solide réseau de biomatériaux a émergé en Finlande.

Le projet de recherche a développé de nouveaux types de matériaux biodégradables, testé l’impression 3D de la cellulose par diverses méthodes et développé de nouvelles technologies de fabrication telles que l’impression de mousse et le recyclage du papier en fibres textiles.

Il en résulte des concepts et des idées de produits ainsi que des innovations technologiques prometteuses. Au cours du projet, par exemple, des chaussures biodégradables et une bicyclette en nanocellulose ont été présentées, ainsi qu’un fil imprimé directement en pâte de cellulose, fabriqué par la société Spinnova Oy, qui a démarré début 2015 sur la base de l’innovation.

Les partenaires de recherche du projet sont l’Université Aalto, l’Université technique de Tampere TUT, le Centre de recherche technique VTT de Finlande SA et l’Unité de gestion de l’Université de Vaasa.

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.- Oslo – Les premières commandes du camion électrique Tesla Semi sont réalisées par une société en Norvège, un pays considéré comme référence mondiale pour le marché du tout électrique.

« Nous nous efforçons de privilégier les énergies renouvelables, et nous sommes persuadés que les voitures électriques et à hydrogène seront les véhicules du futur », a déclaré à la presse Tore Bekken, PDG de la société ASKO.

La présentation de ces nouveaux véhicules de Tesla a été faite pour la première fois en Novembre dernier. « Il y a encore des questions sans réponse, mais ASKO souhaite être précurseur. Les camions devront bien sûr répondre aux exigences d’une utilisation efficace et fiable », a précisé Tore Bekken.

La société ASKO détient actuellement plus de 600 camions de livraison à travers le pays.

Les premiers véhicules sont attendus en 2019 aux États-Unis. Le PDG d’ASKO espère une livraison des premiers Semi pour 2020..

D’après Tesla, les Semi seraient capables d’effectuer plus de 800 kms à plein avec une seule recharge.

L’entreprise américaine précise également que le camion sera alimenté par 4 moteurs indépendants qui individuellement auront un très faible coût d’énergie par kilomètre.

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