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25 Oct

La Grèce pourrait devenir une source importante d’approvisionnement en énergie verte pour les pays du Sud européen

Varsovie – La Grèce pourrait devenir une source importante d’approvisionnement en énergie verte pour les pays du Sud européen à condition d’accélérer la cadence de réalisation de nouveaux projets d’énergies renouvelables et les interconnexions, en plus d’un effort pour actualiser les textes réglementaires relatifs au stockage d’énergie, a déclaré le président du groupe grec « Terna Energy », George Peristeris,

S’exprimant dernièrement lors d’une Assemblée générale du groupe, M. Peristeris a estimé que la Grèce a pris du retard dans la réalisation des objectifs fixés en matière de pénétration des sources d’énergies renouvelables.

Cette situation explique, selon lui, pourquoi le pays dépend encore largement des combustibles fossiles importés de l’extérieur avec des conséquences très négatives sur le coût énergétique en Grèce, estimant que si le plan relatif notamment aux sources d’énergies vertes a été mis en œuvre à temps, « tous les problèmes rencontrés auraient été résolus rapidement ».

Voici le Bulletin de l’écologie de l’Europe orientale

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Pologne :

L’Académie nationale des sciences agronomiques de l’Ukraine a annoncé, mercredi, la signature d’un accord de coopération avec l’institution agricole chinoise « Huanvan co », pour la location d’environ 300 hectares de terre noire pour une période d’exploitation de 49 ans.

L’Académie ukrainienne a expliqué que l’objectif de l’accord n’était pas l’exploitation de ces terres mais la « conservation des terres noires, l’une des plus fertiles au monde et le financement de projets scientifiques concernant cette terre, surtout que des terres semblables connaissent un rythme effréné et hasardeux d’exploitation ».

L’accord de coopération entre Pékin et Kiev vise également à « soutenir la recherche scientifique de l’Académie ukrainienne dans les domaines de l’environnement et de l’agriculture, et entend à tirer profit des expériences chinoises qui constituent une référence mondiale en la matière », a indiqué l’Académie, ajoutant que « la location du terrain en question n’est pas destinée à des fins commerciales, mais cherche à protéger les spécificités naturelles de l’Ukraine ».

Cet accord « jette les bases d’une coopération stratégique entre des scientifiques ukrainiens et chinois dans les domaines du développement agricole pour garantir la sécurité alimentaire et la protection du sol de toute exploitation incontrôlée », a souligné la même source, notant que l’Ukraine a déjà scellé des accords similaires dont « les objectifs ont été palpables en termes de protection du patrimoine naturel de l’Ukraine et de ses spécificités environnementales ».

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Russie

Une mission scientifique russo-américaine a effectué une étude sur l’apparence et le comportement d’une centaine d’ours polaires sur la péninsule russe de Chokotka et sur l’île de Frankel.

« La mission a été organisée dans le cadre de l’accord signé par la Russie et les Etats-Unis, intitulé « Coopération pour la conservation de la faune et de la flore, et de l’environnement », a déclaré le porte-parole de la réserve de l’île de Frankel, surnommée la « Maison de naissance des ours ».

La mission russo-américaine a dressé un bilan de l’année 2018 auprès de 466 ours blancs et 68 familles d’ours, étudié leur état et compté le nombre de femelles et de mâles.

Les membres de la mission ont parcouru une distance de 948 kilomètres répartis sur 15 pistes à la recherche d’ours sur la péninsule russe de Tchoukotka et sur l’île Frangel, a indiqué la même source, faisant état de l’amélioration de l’état du pelage de l’ours par rapport à l’année dernière et la baisse de sa férocité à l’égard des humains

Les espèces sont désormais calmes et ont un poids supérieur à la norme, ont souligné les scientifiques qui ont expliqué ces découvertes par l’augmentation de la température et l’abondance de nourriture dans la région.

Turquie

Le ministre turc de l’Energie et des ressources naturelles, Berat Albayrak, a affirmé que la société allemande d’énergie « EWE », considérée comme l’une des plus grandes entreprises mondiales dans le domaine énergétique, compte réaliser en Turquie des projets d’investissements d’une valeur totale de 120 millions d’Euros.

Le ministre turc a rappelé que le directeur général du groupe « EWE » avait affirmé que son entreprise réalisera des investissements en Turquie avec un montant de 120 millions d’Euros, estimant que cette décision est un signe de confiance envers l’économie turque.

Dans un communiqué, la société indique que ses investissements en Turquie vont cibler les domaines des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.

Citant son directeur général, la société souligne que le but visé à travers ses activités dans le secteur des technologies de l’informatique et de l’efficacité environnementale consiste à réaliser un grand développement en Turquie, notant que l’investissement de 120 millions d’Euros constitue un facteur de confiance dans l’économie turque.

 

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